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Le bel été dardait ses rayons. Ernesto travaillait dur. Gay ne signifie pas fainéant ou lâche. Il avait vite adopté la 22 LR pour supprimer les zombies. Grâce à un raid sur un silo des environs , nous avions du colza. Et les filles pressaient une huile pure dans un pressoir à main qui finissait dans des jerrycans pour faire rouler les voitures. J’avais gardé ma camionnette, Ernesto avait pris celle du vieux Mercier, un retraité acariâtre que l’on avait trouvé mort et relevé dans son salon à côté du cadavre de sa saloperie de clébard qu’il avait déjà à moitié bouffé. Le hameau se portait bien, avec son vaste jardin qui produisait les légumes, les huit moutons entretenant les herbages sous la garde de Suzy. Suzy se déplaçait exclusivement à quatre pattes, avec des sortes de bottes en cuir et des mitaines. Elle dirigeait les animaux avec de petits cris et des sortes de sifflements. En fait, elle n’avait pas le choix. Après plusieurs mois pliés, les tendons de ses genoux s’étaient naturellement rétractés et elle ne pouvait plus tenir debout. Elle appréciait manifestement sa condition actuelle, passée de chienne fouettée en toute occasion à gardienne de troupeau. Le gros plug n’était plus nécessaire, son cul était toujours ouvert et elle devait s’accroupir plusieurs fois par jour pour expulser sa pâtée en enlevant momentanément sa queue. Avec ses cordes vocales abîmées par ses hurlements et les viols buccaux, elle ne pouvait plus parler et poussait pour communiquer de petits cris . J’avais effectué le chemin inverse dans l’évolution. Je jouais parfois avec elle, lui lançant une balle. Je finissais par la sauter, généralement, pour passer le temps.
Je passais beaucoup de temps sur le sommet du château d’eau pour observer le monde. J’y avais monté un télescope, et je voyais clairement la communauté à sept kilomètres. C’était des babas cools , qui piégeaient les zombies dans des fosses, et les tuaient à l’arc. Ils avaient quelques vieilles pétoires, et nous avaient troqué les moutons contre un fusil à pompe et quelques boîtes de munitions. Je vis la bande armée leur tomber dessus un après-midi. C’était un groupe dépenaillé qui massacra les hommes et viola les femmes. D’une pression sur ma radio, je composais le code d’urgence, pour que chacun prenne sa place de combat et se regroupe vers la maison, l’endroit le plus sûr du hameau. Je regardais le sac de nos voisins par ces brutes sans imagination. Une des femmes s’enfuit, tenant une gamine par la main. Je vis le signe que fit un grand barbu à plusieurs de ses hommes. Ils étaient malins. Ils laissaient fuir quelques survivants pour que ceux ci les conduisent directement sur les voisins. J’hésitais à abattre les deux fuyardes , surtout que les barbares étaient une petite centaine. Mais de toute façon, ils nous trouveraient. Deux hommes se lancèrent sur les traces des fugitives . Je les vis poser des marques , de petits bouts de sac plastique ou de tissus. Je les désignais à Kévin. Il hocha la tête. Il avait son fusil de sniper gros calibre. Je lui donnais le sens du vent. Il pointa son arme. Le coup de feu retentit dans le silence. Un des deux pisteurs s’effondra. L’autre avait entendu le coup de feu, mais ne pouvait en discerner l’origine. Il se tourna dans tous les sens. Je tournais mon regard vers les pillards. Ils avaient entendu, aussi, et je vis le chef tendre la main, approximativement en direction de notre hameau. Ils se déployèrent sur plusieurs centaines de mètres, gardant les femmes prisonnières au centre, entourées de quelques hommes en armes. Les femmes portaient le ravitaillement et des objets divers dans des hottes qui les faisaient plier sous le fardeau. Je dis à Ernesto de préparer l’ouverture de la carrière. Les deux fuyardes couraient vers le hameau. Elles avaient à présent plus d’un km d’avance sur le pisteur et trois sur le groupe qui avançait avec prudence. La ligne était impressionnante. Je passais à la maison. Maria, Aurélie, Nadia et Suzy levèrent des yeux inquiets. Je les rassurais. Ces cons arrivaient par la plaine. Ernesto et Christelle balisaient Erzurum Escort le chemin vers la plaine.
Et le mouton était presque là bas .
Les deux revinrent vite . Je les grondais un peu pour le temps perdu, mais Ernesto avait contrôlé le câblage une dernière fois. Je remontais sur le château d’eau. Le jeune tireur était toujours en position. Le pisteur gagnait du terrain sur la femme et la fillette, surtout que la fillette n’allait pas bien, elle avait du mal à marcher. Je ressentis une brève poussée de compassion pour cette petite qui fabriquait de jolis bracelets en laine.
Je dis à Kévin de se faire le pisteur au niveau du bosquet, pour inciter les autres à la prudence. Quand la ligne des assaillants fut visible à l’oeil nu , je donnais le top à Ernesto. Il actionna le boitier, qui clignota en rouge, avant de passer au vert. Les fuyardes se rapprochaient. La ligne d’attaque aussi. Après trente minutes, le mouton affolé déboucha sur la plaine. Mené par son instinct, l’animal se rapprochait des hommes. Un des assaillants le récupéra. Il le caressa puis releva la tête. Les premiers zombies sortaient de la forêt. Je souriais. Ces gens étaient morts. Ils ne le savaient pas encore, mais ils étaient au bout du chemin. La femme et la fillette avaient atteint les premières défenses passives . La femme s’arrêta et examina les repères. Je lui souhaitais de se souvenir des codes couleurs. Il leur restait moins de cent mètres à faire. Maria attendait à côté de la porte au bout du chemin, pour soigner ce qui pouvait l’être. Sara avait ouvert une petite bicoque pour qu’elles se reposent. On verrait après pour ce qu’elle voulaient faire.
La Horde de morts déferlait à présent. Certains avançaient plus vite que les autres. Les humains firent ce que n’importe qui feraient en pareil cas. Ils ouvrirent le feu. C’était crétin. Il faisait encore grand jour, et les zombies étaient aveuglés par le soleil. Leur tirer dessus était la pire connerie à faire. Trois des assaillants plongèrent dans un fossé, alors que la ligne se brisait et que le chef faisait pivoter le groupe central vers la droite. À six km de là, il y avait l’autoroute, et ses morts vivants coincés dans un bouchon et des séries de carambolages. C’était l’enclume. Le marteau, c’était la Horde derrière eux. Fatalement, les zombies, reviendraient sur la plaine, et finiraient dans la carrière. Il suffisait de fermer le pont levis qu’Ernesto avait électrifié, et ils constitueraient notre piétaille. C’était aisé de se défendre, mais cela voulait dire rester petit. Ne pas s’étendre dans l’espace. Nous n’allions jamais cultiver la plaine. Notre univers se résumait à un km carré. Je descendis vers les autres en bas, suivi de Kévin. J’allais à la porte où les survivantes de nos voisins pleuraient dans les bras de Maria ,Sara et maman, dont je soulignais la désobéissance. Farida me dit que c’était elle qui avait demandé à maman de venir, pour consoler et rassurer la petite. Je hochais la tête. La petite savait ce qu’il lui en coûterait . Et maman aurait une sodo sans préparation. Je ne pouvais pas permettre le moindre écart. À l’abri derrière nos murs et nos pièges, la discipline aurait pu avoir tendance à se relâcher. Maria serra la petite fille dans ses bras. Elle était un peu plus jeune que Farida et Margot , et manifestement traumatisée. La femme était une brune ,et sa vaste robe ne permettait pas de juger son corps. Elle semblait un peu maigre, avec des hanches étroites. Son cul était un peu plat. Mais cela ferait de la viande fraîche. Mes femmes étaient trop habituées à mon autorité. Cette soumission était positive, mais pas tant que ça, ça manquait de piquant. Elle n’était pas la mère de la gosse. Séverine regardait les femmes nues avec des sandales les entourer avec surprise. Je les conduisis à la petite maison pour les visiteurs. Cette maison était ceinte d’une haie d’épineux absolument redoutables. Je ne voulais pas qu’elles circulent dans le hameau. La porte était en fer, avec des pointes au dessus du battant. C’était une prison, avec l’eau, Erzurum Escort Bayan l’électricité et tout le nécessaire. Séverine poussa Fanny dans la maison en se confondant en remerciements. Le lendemain matin, j’étais avec Kévin et Christelle quand les survivants qui s’étaient cachés se relevèrent. Ils avaient déployé des couvertures sur leurs trous. C’était un garçon et une fille, très jeunes. Notre attaque les prit complètement par surprise.
Le soir venu, alors que les zombies pullulaient à nouveau dans la plaine, je me mis au dessus du trou où patientait la fille. Elle était nue, et accrochée bras en l’air dans un puisard de deux mètres cinquante. J’attirais son attention par un petit sifflement. Elle leva les yeux. Elle portait une courte crête blonde. Sa chatte était rasée. Elle avait peur. Je fis glisser l’échelle et la tirais vers moi.
Elle était grande, avec un anneau dans le téton gauche.
-Qu’est-ce que vous allez faire? Demanda-t’elle.
-Ça dépendra de toi. Répondis-je. Mais ça va être dur.
Elle fixa ses pieds nus et sales. Je la remis à Priscilla pour qu’ elle la passe au jet. Maria l’examina ensuite à la recherche de maladies. Puis je l’attachais par les poings et les chevilles à un anneau scellé dans la terrasse. Ernesto amenait le garçon. Il avait un type métis et devait sortir de ces creusets de populations multiples propres à la banlieue parisienne. Ses cheveux courts étaient frisés et sa barbe rasée de frais bleuissait ses joues. Il avait le teint mat et un visage un peu ingrat. Lui aussi passa au jet, à l’examen, et attaché à un autre anneau, reprenait de l’assurance. Je m’installais sur une chaise et appelait Farida. La petite vint.
-Tu as désobéi. Dis-je.
Elle hocha la tête.
-Viens là.
Elle se plaça en travers de mes genoux. Séverine, qui était là aussi voulut dire quelque chose, mais maman l’arrêta d’un geste.
Je relevais la robe de la petite, et fit siffler ma badine. Les petites fesses nue de la petite cheftaine de la maison se couvrirent de chair de poule. Au premier coup, elle gémit et se mit à pleurer. Au quatrième, elle supplia. J’allais jusqu’à dix. Puis, avec tendresse, je la relevais et l’embrassais. Je dis l’importance de l’obéissance, mais je lui dis aussi qu’elle avait eu une bonne initiative. C’était pour cela que j’avais retenu les coups. Elle me remercia. Je la remis à Christelle pour qu’elle aille adoucir le feu de mes coups avec des glaçons. Je me tournais vers les deux voisines qui avaient échappées à la bande des pillards .
-Vous les reconnaissez?
Fanny regardait le jeune barbare avec effroi.
-C’est lui qui m’a fait mal, là. Dit elle en montrant ses fesses à travers sa robe.
-Bien, il est à vous, Séverine et Fanny. Que voulez-vous qu’on lui fasse?
-Je veux qu’il crève, mais qu’il souffre avant. Dit Séverine. Vous devriez le battre avec votre cravache.
-Non, répondis-je, ma badine est un outil clément de maintien de l’ordre.
Le gamin perdu ne broncha pas quand je fis claquer le fouet à côté de lui. Il endura les dix premières zébrures sur son dos sans presque broncher. Je sentis un relâchement dans son corps, pendu les deux poignets liés en croix quand Ernesto me toucha la main. Je le regardais et il fit passer son majeur gauche dans le rond formé par son index et son pouce droit. Je souris et acquiesçais. Le jeune brigand se débattit quand Ernesto le tira en arrière, et encore plus quand celui-ci força ses reins. Le portugais le prenait comme un soudard, alors que je connaissais la délicatesse dont il pouvait faire preuve. C’était réellement très impressionnant. Le gars gémissait d’humiliation. Quand du sperme tâché de merde commença à lui couler entre les jambes, je donnais le fouet à Séverine. Bientôt, le prisonnier eut le dos ensanglanté et la peau arrachée.
Je le sortais de son inconscience en lui passant le fouet électrique sur les testicules.
-Tu as quelques chose à dire?
-Elle, dit-il, en montrant la fille qui assistait au supplice Escort Erzurum de son complice avec des yeux effrayés. C’est Tania,la fille de Fritz, l’un des adjoints du chef. Et elle suçait pour avoir ce qu’elle voulait.
-Salaud.
-Prouve ce que tu dis et tu auras une mort brève.
-Dans ses affaires, elle a un papier rose. C’est un permis de conduire. Vous verrez, elle se sert juste après les chefs. Ce qu’elle aime, c’est couper les couilles des prisonniers.
-Et toi?
-Je suis avec eux que depuis quelques semaines, j’ai droit qu’aux restes.
-Enculer une gamine, c’est les restes? M’étonnais je.
-Faut prouver qu’on est un dur.
-Tu l’as prouvé.
Je fis signe à Séverine de reprendre, mais cette fois-ci, il était attaché au cadre également par les chevilles. Ses cuisses se trempèrent de sang lorsque le fouet claqua sur les chairs tendres entre les jambes. Il gémissait sans discontinuer. Je lui plantais des petits coups de couteau dans l’abdomen, juste pour le plaisir. Il mourut d’un coup peu après que Katia lui ait fouetté l’entrejambe. Je pris le marteau et lui plantais un clou à béton dans le front avant que le virus zombie ne le relève.
-Maman, nous avons un compte à régler.
-Comment? Demanda -t’elle.
-Sur la table extérieure, sur le dos. Farida, rentre les petits, puis revient.
J’étais dur, cette mise à mort précédée de torture m’avait émoustillé. Elle tenait ses jambes au niveau des genoux, pour bien s’exposer. Je pris mon sexe en main et le guidais vers le cul offert. Je me ravisais et mit un peu d’huile dans le petit orifice. Elle se détendit. Je la pénétrais sans brusquerie. J’allais et venais longuement, dans l’onctuosité de ce rectum accueillant. Lorsque je déchargeais , maman poussa un petit cri ravi.
Je lui souris.
-La faute n’était pas grave. Dis-je.
Je me rajustais, et me tournait vers Séverine qui s’écartait pour laisser passer Suzy qui venait spontanément lécher l’entre fesse de maman.
Séverine regardait Suzy avec un air effaré.
-Suzy faisait partie d’un groupe qui nous a rendu un piège en se faisant passer pour des survivants qui appelaient aux secours. Expliquais je. Maintenant, c’est notre chienne. Viens là, Suzy.
L’interpellée vint se placer devant moi, assise sur ses fesses. Je lui urinais dans la bouche.
-C’est pratique. Dis-je. Son collier lui tient le cou, si on lui enlevait, sa tête ne tiendrait plus droite. Et elle a été attachée si longtemps qu’elle est obligée de rester à quatre pattes.
-C’est horrible.
-Pas du tout. Tu es bien avec nous, hein, Suzy?
Suzy sourit. Elle avait un joli sourire. Elle partit poser une petite crotte dans le seau dédié, dans un coin du jardin.
Puis elle remit son plug et revint se coucher à mes pieds. Séverine restait sans voix.
-C’est ce que vous allez faire avec Tania?
-Je ne sais pas. Dis-je. Il faut qu’on en cause. On a perdu un mouton, hier, et même si le bouc a bien travaillé, il ne reste que sept moutons. Et on n’a pas besoin d’une deuxième chienne.
-Vous en parlez comme si vous étiez sûr de la briser.
-Mais Je n’ai aucun doute. Il va falloir davantage de ressources si vous restez.
-Nous pouvons?
-Bien sûr, après tout, nous vous sommes redevables. C’est vous qui avez attiré cette bande d’assassins dans notre piège. Pensez-vous que quelques choses sont récupérables dans votre installation?
-Les poules. Elles se sont sauvées quand ils ont attaqué, mais elles ont dû revenir.
-Nous irons voir demain.
Je lui expliquais les conditions pour intégrer notre communauté. Elle fut effrayée. C’était normal, ça la changeait des libertaires mollassons d’avant. Par contre, puisque Fanny n’était pas sa fille, la petite était la bienvenue. Je l’enfermais seule dans sa petite maison. Sur la terrasse, Tania gémissait , tandis que ses trois orifices accueillaient des godes de taille variables. Je l’attachais à quatre pattes et lui posait le premier collier de Suzy. Le gode buccal était ingénieux. Il était fixé à un anneau et faisait baver, ce qui évitait la sécheresse buccale qui avait failli avoir de grave conséquences pour Suzy. Il suffisait de le tirer pour profiter de la bouche de Fanny. Kévin en avait profité. Vu la flaque sous la jeune fille, elle ne savait pas encore bien boire.