La nana d’un poteLa nana d’un pote

Big Dicks

La nana d’un poteCe soir-là, j’avais convié mon pote Julien et sa nouvelle copine à boire des verres chez moi. Elle s’appelait Laure. Elle avait dans les vingt-cinq ans. Julien et moi avions passé la trentaine. Nous avions pas mal bu et ils étaient repartis aux environs de minuit. Mon téléphone a bipé à peine une demi-heure après. Je me suis demandé qui pouvait m’appeler à une heure pareille.C’était Julien.Son nom sur mon écran, puis sa voix :« Elle est en route pour chez toi. »J’ai répondu :« Quoi ? »Il a continué :« Laure va se pointer chez toi, je l’ai foutue dehors. »« Je ne comprends pas… »« Sur le chemin du retour, reprit Julien, elle n’a pas arrêté de parler de toi, de ton super appart’, de ton mode de vie, des bouquins que tu écris, tout ça. Elle était sous le charme et ça m’a gonflé. Ça m’a renvoyé dans la figure le fait que je ne fous rien de ma vie. Alors je lui ai dit que si tu étais tellement passionnant comme mec, elle n’avait qu’à aller dormir chez toi. On s’est engueulés grave et je l’ai foutue dehors. Elle ne va pas tarder à sonner chez toi. »« Mais attends, Julien, je ne vais pas héberger ta nana… »« Fais ce que tu veux, je ne t’en voudrai pas. Je vais te dire un truc : ça fait à peine deux semaines qu’on est ensemble, mais si c’est pour qu’elle flashe comme ça sur mes potes, je préfère en rester là avec elle. »« Attends… », dis-je.« Faut que j’aille dormir, je suis crevé. On se refait signe. »Et il a raccroché.J’ai voulu le rappeler aussitôt, mais ma sonnette a retenti.J’habitais au premier étage. J’ai ouvert une fenêtre et j’ai trouvé Laure sur le trottoir, les yeux levés vers moi.Elle m’a dit :« Je suis désolée, Antoine. Avec Julien, on s’est pris la tête et… »« Je sais, dis-je. Je t’ouvre. »J’ai pressé le bouton d’ouverture et j’ai suivi les pas qui montaient les marches. J’ai ouvert la porte avant qu’elle frappe.Elle m’a dit :« Julien n’a pas apprécié que je… »« Il vient de m’appeler, je sais ce qui s’est passé. Entre. »Elle n’était pas très grande. Un agréable visage et des cheveux bouclés châtains, coupés au-dessus des épaules. Pendant la soirée, j’avais plusieurs fois lorgné sur ses seins, car ses tétons pointaient sous le tissu de son tee-shirt kaki. De tout petits seins, à l’évidence. Elle portait un jean un peu large et des tennis. Une fois dans le salon, elle m’a dit :« Il m’a même pas laissé le temps de prendre une veste, il m’a foutue dehors en me traitant de tous les noms. Tout ça parce que je parlais trop de toi, apparemment. Je m’en suis pas rendue compte, j’avais bu, lui aussi, alors ça a dégénéré. Je connais personne dans cette ville et… »« Tu veux une tisane ? » dis-je.Elle a soupiré et répondu :« C’est une bonne idée. »Je lui ai tourné le dos et suis allé dans la cuisine. Elle m’a suivi.La situation était surréaliste.« C’était une chouette soirée, dit-elle. C’est vrai que j’ai apprécié de faire ta connaissance et de t’écouter parler de tes romans, de ta vie, tout ça… Mais c’était pas une raison pour me foutre dehors. »« Julien est impulsif, surtout quand il a bu, répondis-je. Demain, vous en reparlerez ensemble avec les idées claires. »« Avec ce qu’il m’a dit ce soir, je n’ai pas très envie de le voir demain. »« Qu’est-ce qu’il t’a dit ? »Elle a hésité, puis répondu :« Que j’étais une salope. Que j’étais juste bonne à me faire enculer. »« Je vois », dis-je.« Et que puisque c’était comme ça, je n’avais qu’à aller me faire foutre Escort chez toi. »Je n’ai pas répondu.J’ai fait bouillir de l’eau et préparé deux tasses. Laure n’ajouta rien, elle suivit mes gestes. On regagna le salon et elle reprit le fauteuil qu’elle avait occupé pendant la soirée. Je pris le mien, en face d’elle, de l’autre côté de la table basse. On s’est allumé une cigarette.Ma tête tournait toujours à cause de l’alcool. Celle de Laure aussi, on le sentait à sa façon de grignoter des syllabes en parlant. Il était une heure du matin.Elle a dit :« J’aime bien ton appart’, je m’y sens bien. Ta déco, des bouquins et des BD de tous les côtés, j’adore. »« J’aime bien cet endroit aussi, même si ce n’est pas grand du tout. Et je t’avoue que je n’ai pas l’habitude d’héberger quelqu’un. Je n’ai rien prévu pour ça et… »« Tu as un lit à une seule place ? » dit Laure.« Non, c’est un lit deux places. »« Tout va bien alors. »J’ai mis un temps à réagir :« C’est un peu bizarre comme situation, tu ne trouves pas ? Tu es la nana de mon pote. »« J’étais la nana de ton pote, rectifia-t-elle. Il m’a dit qu’il ne voulait plus me voir. Et même si les choses venaient à s’arranger, on peut considérer que pour l’instant on n’est plus ensemble. Ça soulage ta conscience ? »« Mouais… » dis-je.« Détends-toi, reprit Laure. J’espère juste que cette histoire ne va pas compromettre ton amitié avec Julien. »« Ça laissera forcément des traces. »« De toute façon, c’est lui qui l’a voulu. Ce sera à lui d’assumer. Et je suis vraiment désolée de m’incruster comme ça en pleine nuit. »« Tu n’allais pas dormir sous un pont, dis-je. A ce propos, je m’en fume une dernière et j’irai me coucher. Je suis vraiment naze. »« Moi aussi », dit Laure en portant sa tasse à sa bouche.Ma chambre était minuscule. Le matelas occupait les trois quarts de l’espace. Laure m’y a suivi et j’ai allumé la lampe de chevet. Quand je me suis retourné, elle était en train d’ôter son tee-shirt. J’ai vu ses seins apparaître et j’ai détourné le regard pour défaire ma ceinture.C’est à ce moment-là que Laure m’a dit :« Je dors à poil, j’espère que ça ne t’ennuie pas ? »Je l’ai regardée. Elle était en train de baisser son pantalon. Dessous, elle portait une culotte noire, taille basse. Le temps que je rassemble les mots pour lui répondre, je me suis mis à bander.Je lui ai dit :« Pas de soucis. »Elle a posé son pantalon sur le sol en disant :« Et toi, tu dors comment ? »« En caleçon, en général. »Elle n’a rien dit. Elle a baissé sa culotte. Elle ne s’épilait pas, mais elle coupait ses poils très courts, si bien que sa toison formait un petit voile gris sur sa peau très claire. Elle a soulevé le drap et s’est glissé dessous. Je l’ai rejointe sans tarder, en caleçon. Puis j’ai éteint la lumière. Le temps que nos yeux s’accommodent à la pénombre, Laure a dit :« Je suis encore un peu ivre, tu sais. »« Moi aussi, rassure-toi, dis-je. »Nous étions tous les deux allongés sur le dos. Elle était à ma gauche.Elle a ajouté :« Si Julien n’avait pas piqué sa crise, en arrivant chez lui, on aurait baisé. C’est certain. On baise tous les jours, et aujourd’hui on ne l’avait pas encore fait. Il m’aurait prise, c’est sûr. Ça t’embête que je te dise ça ? »« Non », dis-je.Elle a continué :« Avec mon ex, ça ne collait pas. On le faisait tous les trois jours, et moi ça ne me suffisait pas. Du coup, dès qu’il s’absentait il fallait que je Escort Bayan me branle. Il fallait que je me soulage. Je te choque ? »« Non. »Elle a laissé passer quelques secondes, puis elle a repris :« Je me branlais, ou alors je le trompais. Ça ne pouvait pas durer bien longtemps comme ça, alors j’ai préféré le quitter. J’ai vraiment besoin de baiser au moins une fois par jour. Deux si possible. Et toi ? »Je fixais le plafond du regard. Il y avait une longue lézarde dans le plâtre, qui traversait la pièce d’un angle à celui opposé. Je l’observais surtout le matin, avant de me lever. J’habitais ici depuis trois ans, et cette faille s’était légèrement élargie entre temps. Parfois je me demandais si je n’allais pas finir par me prendre le lit de mon voisin du dessus sur la figure, tôt ou tard.J’ai répondu :« Ça va faire quinze jours que je ne l’ai pas fait. »« La dernière fois, c’était avec qui ? » me demanda aussitôt Laure.« Une femme rencontrée via Internet. Il m’arrive de tchater sur des sites, pour passer le temps, j’avoue. »« Il n’y a pas de mal à ça, dit-elle. Vous l’avez fait chez toi ? »« Oui. »« Dans ce lit ? »« Sur le lit, au bord. Au niveau de nos pieds. »« Elle avait quel âge ? »J’ai souri dans la pénombre et répondu :« Presque dix ans de plus que moi. »« Tu les aimes plus âgées que toi ? »« Pas particulièrement. C’est arrivé comme ça. On s’est croisés sur ce site, on a papoté plusieurs jours de suite et on a eu envie de se rencontrer. »« Et de baiser », dit Laure.« Voilà. »J’ai senti qu’elle remuait légèrement sous le drap.Je bandais.Elle a dit :« Tu m’arrêtes si je suis trop indiscrète ? »« Oui, ne t’inquiète pas. »« Tu l’as prise comment au bord du lit ? »J’ai soupiré en souriant :« En levrette. »« Mmmh… fit-elle. A poil ? »« Elle avait gardé son soutif. »« Elle avait un joli cul ? »Je souriais toujours en parlant, car je revoyais la scène en question. Un dimanche après-midi où il pleuvait.J’ai répondu :« Joli, non. Elle avait une bonne paire de fesses. Je me souviens qu’au moment où elle s’est mise à quatre pattes sur le lit, je me suis dit : oh putain, ce pétard. »« Et tu l’as baisée. »« Oui. »« Tu avais mis une capote ? »« Oui. »« C’est elle qui l’avait exigé ? »« Non, j’en ai mis une automatiquement. »« Moi, je préfère le faire sans capote », dit Laure que je sentais toujours remuer doucement à mes côtés. « Moi aussi », dis-je.Une sirène de police a traversé la ville, au loin, longuement, puis le silence est revenu. Un silence complet dans cette chambre au plafond lézardé. J’étais dans mon lit avec la nana d’un pote. Une nana à poil qui bougeait sous le drap.J’ai fini par lui dire :« Qu’est-ce que tu fais ? »Elle m’a répondu sans délai :« Je me touche la chatte. Ça t’ennuie ? »« Non. »« Sinon je peux arrêter et on dormira. »« Non, dis-je. Continue. »« Ça te fait quoi que la nana de ton pote se touche dans ton lit ? »J’ai ravalé ma salive avant de répondre :« A ton avis ? »« Ça t’excite ? » dit-elle.« Evidemment. »« Pourquoi tu n’enlèves pas ton caleçon ? Tu as peur de culpabiliser la prochaine fois que tu verras Julien ? De toute façon, il sait que je dors à poil. Il sait que je ne supporte pas de porter quelque-chose sur moi en dormant. »Je n’ai rien dit.J’ai enlevé mon caleçon et l’ai balancé dans les airs.Le silence est retombé, jusqu’à ce que Laure dise :« Julien a raison à moitié. »« C’est-à-dire ? »« Je ne suis pas bonne Bayan Escort qu’à ça, il se trompe sur ce point. Mais c’est vrai que j’aime me faire enculer. Et toi, tu aimes enculer ? »« Je ne l’ai pas fait depuis quelque temps. »« La dernière fois, c’était qui ? »J’ai soupiré :« Une ex. On s’est croisés en ville, on a discuté et on a décidé de se faire une soirée. On ne s’était pas vus depuis… quatre ans, je crois. »« Et tu l’as enculée… »« Oui, elle adore ça. »Je percevais toujours ses lents mouvements sous le drap. Quand à moi, j’effleurais ma queue raide du bout des doigts.Laure a dit :« Tu accepterais de m’enculer ? »J’ai laissé des secondes s’écouler avant de répondre :« Oui. »« Cool, dit Laure. Tout de suite ? »« Je veux bien te prendre en levrette, avant. »Elle n’a rien dit. Elle a repoussé le drap sur son corps et s’est redressée. J’ai fait pareil. Elle s’est mise à quatre pattes et j’ai deviné la forme de son cul dans la pénombre bleutée. Un beau petit cul et une zone d’ombre creusée à la jonction de ses fesses. J’ai posé mes mains sur ses reins. J’ai approché ma bite de la zone d’ombre, puis mon gland gonflé à bloc a cherché l’entrée de sa chatte. Les doigts de Laure l’ont guidé et il s’est enfoncé en elle, comme dans un pot de miel. Elle a poussé un long gémissement et je me suis mis à faire des va-et-vient dans sa chatte. Ses doigts tripotaient la pénétration.Elle m’a dit :« Putain, ça fait du bien. »Je n’ai rien répondu. J’ai continué mon mouvement.Elle a ajouté :« Elle est grosse et dure. Ne décharge pas tout de suite, hein ? Je préfère que tu le fasses dans mon cul. »Deux minutes plus tard, mon gland a forcé l’entrée de l’anus de la nana de mon pote. Il s’est enfoncé jusqu’au fond et Laure s’est mise à pousser des cris dans la nuit, dans la ville silencieuse. Je ne me suis pas retiré pour gicler. Je l’ai fait tout au fond, en griffant les fesses de Laure qui se masturbait le clitoris pendant ce temps. J’ai attendu d’avoir fini pour ressortir ma queue, mais je bandais toujours, alors je l’ai reprise par la chatte. Laure avait joui une fois, et elle le fit une deuxième fois, sans tarder, tandis que du sperme s’échappait de son anus pour couler sur ma bite. Je l’ai étalé, sans cesser d’aller et venir en elle.J’ai eu une pensée pour Julien.J’en ai aussi eu pour d’autres nanas que j’avais baisées de cette façon, par derrière, sur ce lit et sur d’autres. Des culs se sont mis à défiler dans ma tête, y compris celui d’une caissière de Monoprix que j’aimais bien. Je ne lui avais jamais parlé, mais je faisais tout le temps en sorte de passer à sa caisse. Tôt ou tard, j’allais lui adresser la parole, et peut-être que quelque-chose aurait lieu entre nous, ou pas. En tout cas, j’avais bien envie de la voir se mettre à poil dans ma chambre, un jour ou l’autre.J’ignore à quoi pensait Laure dans ces instants. Elle se masturbait en gémissant. On ne sait jamais à quoi l’autre pense pendant ces moments-là. Ça ne nous regarde pas. Chacun pense bien à ce qu’il veut. A qui il veut.Laure et Julien se sont remis ensemble quelques jours plus tard.Puis ils se sont séparés à nouveau.Laure est revenue chez moi et je l’ai encore enculée. Je dirais quatre ou cinq fois. Puis elle a disparu de la circulation, si je puis dire. je n’ai plus eu de nouvelles d’elle en tout cas. J’ai continué à faire des soirées avec mon pote Julien.J’ai continué aussi à rencontrer des inconnues via Internet. Il y en a que j’ai enculées, et d’autres qui n’aimaient pas ça. Mais en pénétrant l’anus de celles qui aimaient, il m’est arrivé de songer au cul de Laure.On ne saura jamais à quoi l’autre pense.Jamais.Et c’est très bien comme ça.:::

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