Nouvel Horizon Ch. 01Nouvel Horizon Ch. 01

Blowjob

Perdu dans mes pensées et impatient de rentrer je donne mes coordonnées au pharmacien sans me poser de question. Sans doute pour un des médicaments que j’ai achetés. Jusqu’à ce qu’il me demande d’une voix assurée s’il peut m’appeler meo. Je sors de ma torpeur, le regarde interloqué. Son regard est fixe derrière ses lunettes, je bégaie. Il me demande si ma femme, pour qui j’ai pris l’ordonnance, est au courant de mes photos postées sur un site de rencontre sado maso? Je balbutie qu’il doit se tromper? Sans me quitter du regard, il m’indique le site et le pseudo meo que j’utilise en effet. Il m’a repéré il y a quelques semaines déjà, et attendait l’occasion. Il connaît bien ma femme aussi et est certain qu’elle sera ravie de découvrir tout cela. Je cède, je lui demande ce qu’il veut, je dois le suivre dans l’arrière-boutique. Je n’en mène pas large, il est impressionnant, la quarantaine, plus grand que moi et de façon évidente très sportif.

« Viens me sucer!

– Je… non je ne sais pas, je n’ai jamais…

– C’est l’occasion, tu es une petite salope qui s’ignore, tu vas voir.

– Je ne peux vraiment pas…»

Je suis désemparé. Il me prend par le col et me force à m’agenouiller, mes pensées se brouillent, je n’arrive plus à réfléchir. J’ouvre son pantalon, je le baisse ainsi que son caleçon. Son sexe est déjà presque dur, de belle taille, en tous cas bien plus gros que le mien, épilé. Je le trouve beau, je sens le mien frémir ce qui me couvre de honte, heureusement il ne peut pas le savoir. L’odeur est forte, je suis un peu dégouté, mais j’avance la bouche, j’obéis alors qu’il ne me dit plus rien, je lèche doucement le bout de son sexe, la chair est molle, c’est étrange. Je le décalotte, l’engouffre dans ma bouche, me concentre sur ce que j’aime en l’aspirant, le massant de mes lèvres et de ma langue. Il devient dur, et vraiment gros, quel sexe! A genoux, je le caresse d’une main tandis que je le suce avidement, voulant accélérer le supplice. Je n’ai aucune excitation, je me sens avili comme jamais, même si cela peut correspondre à des fantasmes que j’aurais, je réalise que la réalité est bien plus désagréable. Mal aux genoux, à la mâchoire, la fellation est répétitive, et il ne semble pas prêt à jouir.

Il me demande de le regarder en continuant à le sucer, il a son téléphone, me demande de sourire, fait des photos. A nouveau la honte et l’excitation que je ressens dans mon slip. Je sais que j’aime la perversion, mais là je ne m’y attends pas. Je masse ses couilles, doucement, enfin je le sens vibrer, la jouissance suit rapidement, je reçois tout en bouche, et sans respirer j’avale, je suis certain que cela lui plaira. Moi cela me révulse, toucher même mon sperme m’a toujours dégouté. Tout doucement, je lèche les dernières gouttes pour le nettoyer. Stupidement je me sens fier de moi, alors qu’il n’a pas dit un mot et se rhabille. Nous voici à nouveau devant le comptoir. Il me demande mon téléphone, déverrouillé, et sans même protester je le lui tends. Il regarde différentes informations, note des téléphones et des mails, ceux de ma femme, de personnes au travail, je devrais me rebiffer mais je ne fais rien, je me sens tétanisé, il sourit de mon attitude. Il me le rend, sans avoir besoin de formuler la moindre menace, et me tend du microlax et me dit d’utiliser cela la prochaine fois que je viendrais.

Je me sens mort de honte et je pars en courant. J’ai pourtant une envie démentielle de jouir et sans comprendre pourquoi je me mets dans un coin et masse discrètement mon sexe, je jouis dans mon slip en pleine rue en quelques secondes, je me sens sale et dégradé, mais mon excitation n’est qu’à peine calmée. Rentré à la maison je me précipite pour supprimer mon compte sur ce site de rencontres sm. Je ne cherche pas à faire des rencontres, mais juste à fantasmer un esclavage, nourrissant ainsi mes masturbations répétées.

Enervé mon mot de passe n’est pas reconnu! Perdu dans mes pensées et ma honte, je n’ai pas réalisé qu’il a dû se connecter sur le site et changer mon mot de passe, ainsi que l’email de contact. J’utilise un autre pseudo que j’ai pour vérifier, et avec horreur je découvre que mon profil s’est enrichi de belles photos prises il y a quelques instants seulement. Je suis bien plus reconnaissable encore que sur les photos que j’avais mises. J’ai joué au feu et je me suis bien brûlé. Dans mon profil j’apparais maintenant comme homosexuel et fou de la bite, totalement soumis! Je ne sais quoi faire, nous sommes très libres dans notre sexualité avec ma femme, mais déjà le côté soumis risque de la choquer après 10 ans de vie commune, mais alors fou de la bite moi qui déteste les hommes. Pourtant je suis terriblement excité de la situation, j’ai toujours mon slip rempli de sperme séché, et mon sexe dur enfermé dedans. Je me caresse à nouveau et c’est sans doute la jouissance la plus honteuse que j’ai jamais eue. Je sens mon sexe baigner dans son liquide, et malgré le dégoût et la jouissance, mon excitation ne semble pas se calmer.

Il ne se passe rien de particulier les jours suivants, Escort Esenyurt mon esprit lui est complètement encombré par ce qui s’est passé. Je pourrais tout avouer à ma femme, ce serait le plus simple, mais c’est la honte qui m’envahit à cette pensée alors qu’elle a toujours eu un regard admiratif à mon égard. J’ai été fou de m’exposer ainsi, mais c’est bien ce que je cherchais, cette adrénaline du risque, sauf que je me suis fait prendre. Mes masturbations n’y font rien, je reste excité et remplis d’envies folles. Je lis et relis la notice du laxatif et je comprends quel usage il veut en faire. Je suis surpris car il ne me donne pas le sentiment d’être homosexuel. Dominant, oui, c’est certain.

Je n’y tiens plus, je ne sais pas ce qui m’attend, mais je me dis que mieux vaut savoir que de rester ainsi dans une attente mi angoissée, mi excitée. Le matin je prends le laxatif, je me vide comme jamais. Cela ne fait rien pour diminuer ma honte. Comme j’ai pu le lire sur internet, je me nettoie ensuite bien le cul à l’intérieur et à l’extérieur. Je me mets même un peu de crème. J’ai l’idée d’emprunter un gode de ma femme : nous ne faisons presque plus jamais l’amour mais très souvent elle se fait jouir avec moi, se godant et se faisant aspirer par son womanizer. Le gode m’ouvre doucement, c’est agréable, j’ai toujours aimé. Ainsi je suis certain que cela ne sera pas douloureux.

Je suis complètement dingue, je vais presque avec soulagement subir ma première vraie sodomie. Par défi, ou aussi parce que j’en fais toujours trop, je décide d’aller à la pharmacie sans caleçon ni chaussettes, advienne que pourra. Je respire fort et je rentre dans la pharmacie.

Il est à son comptoir avec deux ravissantes pharmaciennes que je connais de vue. Je dis bonjour à tout le monde et attend qu’il soit libre pour me rapprocher.

« Que désirez-vous? ma voix est stressée

– L’air surpris il me regarde, c’est vous le client que souhaitez-vous? Que puis-je pour vous? »

J’en bégaie de désarroi. Je suis complètement idiot. Son regard froid me fixe, sans rien dire, me décomposant un peu plus.

« Revenez quand vous saurez ce que vous voulez méo. »

Je recule, je voudrais lui dire qu’il faut arrêter de jouer, mais je ne sais même pas de quel jeu il s’agit. De me redonner accès à mon profil, de supprimer les informations qu’il possède, mais l’idée ne me traverse pas l’esprit. En fait ce que je veux c’est qu’il me prenne comme sa chienne. J’en bégaie de honte :

« Je voudrais que vous me preniez comme votre chienne Monsieur. »

Je murmure ma supplique, il me regarde sans un mot, me fait un signe pour le suivre à l’arrière et ferme la porte. D’un regard je me mets à genoux, je sors son sexe, je le lèche sans aucune réticence ni hésitation cette fois-ci. Je suis excité, fébrile, angoissé, j’ai terriblement envie qu’il me fouette les fesses, mais je ne lui dis rien. Son sexe grossit rapidement dans la bouche. Il me fait relever puis pencher sur une table, je dois baisser mon pantalon puis l’enlever. Toujours aucun mot, j’écarte mes fesses pour être le plus impudique possible, il me prend d’un coup, m’arrachant un cri, il est gros.

La douleur est tellement vive, mais s’atténue rapidement, se transforme en plaisir, en une sensation de plénitude, d’être totalement possédé. Les coups de boutoir sont violents, je dois m’accrocher à la table. Cela dure encore et encore. Il me fait tourner la tête, prend des photos compromettantes. Enfin il me claque les fesses, cela me soulage de ma tension, même si la brûlure est bien là. Il sort complètement et rentre à nouveau bien violemment, c’est barbare, violent, je sens des fourmillements de folie dans mon sexe, comme si je jouissais mais sans jouir, je soupire, je râle, cela dure un temps infini.

Il se retire sans avoir jouis, me force maintenant à mettre la tête entre mes jambes et à écarter mes fesses pour montrer mon cul tout ouvert, en faisant une photo d’une obscénité folle. Puis se caresse doucement, faisant monter son plaisir. Il prend mon pantalon resté par terre et jouis à l’intérieur en se déversant dedans. Il est magnifique, j’ai envie de cette bite incroyable, tandis que la mienne, dure comme jamais fait bien pâle figure. Enfin il me dit un mot, m’ordonne de jouir dans ma main. Il ne me faut que quelques mouvements pour lui obéir, j’ai des étoiles dans les yeux, la jouissance est énorme, profonde, et mon sperme bien plus abondant et liquide que d’habitude, j’en ai plein les mains.

Il m’ordonne de me faire un shampooing avec et de me rincer les mains dans mes cheveux. Je le regarde horrifié. Ses yeux sont toujours aussi froids, déterminés, je n’ai pas le choix, j’obéis. La sensation est désagréable, voire horrible, mes cheveux pleins de sperme qui sèche déjà, mes mains collantes, je me dégoûte. Et une fois encore ma masturbation n’a pas calmé mon excitation et mon désir. La boule au ventre de désir ne cesse de grossir.

Il me fait mettre à genoux, me filme tandis que je décline mon identité, que je décris Esenyurt Escort Bayan ce qui vient de se passer, et que je lui demande humblement de bien vouloir me prendre pour salope à son service. Il me demande quelles limites je veux mettre, je réponds aucune, totalement fiévreux de ce que je viens de vivre. Mon sort est scellé, la vidéo sera sur mon profil avant même que je sois de retour à la maison, mais peu importe à cet instant, j’ai enfin le sentiment de vivre.

Dans une seconde vidéo, il m’indique les premières règles que je dois suivre, plus aucune masturbation et même interdiction de toucher à mon sexe. Plus de relation avec Marie, ma femme, sans son autorisation. Un mail matin et soir pour lui dire ce que je fais mais aussi pour l’exciter en décrivant de nouveaux désirs et tortures que j’aurais à subir. Si son excitation tombe mon carnet d’adresse aura une copie de mon profil sur le site. C’est sa seule menace. Tous les matins trois lavements pour être une salope bien propre, et régime alimentaire très strict, j’ai le droit à un café le matin et un repas équilibré au déjeuner, plus de dîner. A moi d’expliquer cela à ma femme. Je réponds à oui à tous ces ordres en les répétant, j’embrasse ses chaussures, il est resté habillé, et je le remercie de me prendre.

Remettre mon pantalon est une épreuve, même si c’est le sperme de mon nouveau Maître, je suis quand même dégoûté par l’odeur et la sensation. Je sors de la pharmacie sans regarder personne, rempli de honte, me demandant ce que les deux jeunes femmes pensent qu’il s’est passé pendant près d’une heure dans le bureau. Je n’arrive pas à penser, je suis d’une totale fébrilité. Je ne comprends pas d’avoir accepté tout cela. Je me sens coupable vis-à-vis de Marie.

Les semaines passées ont été un peu compliquées à mettre en place, en particulier avec Marie qui n’a pas manqué de voir de nombreux changements. Sans doute le changement le plus crucial est que je suis toujours préoccupé et moins connecté à elle, ce qu’elle a ressenti immédiatement. Nos séances de masturbation réciproque ont beaucoup évolué puisque je ne puis plus me toucher, et j’ai inventé le fait d’avoir envie de lui donner du plaisir, aussi je la lèche longuement, la caresse, ou simplement la regarde se faire jouir. Elle en a été étonnée au début, puis a su en prendre du plaisir en se faisant jouir sur mon image frustrée, les couilles pleines, le sexe dur comme le roc, mais restant inassouvi alors qu’elle peut jouir tant qu’elle peut. C’est quelque chose de nouveau et elle comme moi sommes sidérés de la puissance de ses orgasmes qu’elle enchaîne alors frénétiquement.

Cette frustration sexuelle chez moi l’excite beaucoup et ses images pour jouir sont de plus en plus dégradantes pour moi. Comme si je lui communiquais ma situation humiliante de salope soumise. Elle m’avoue que jamais elle n’a joui si fort qu’en m’imaginant ne plus jamais avoir droit de jouir mais de devoir la servir sans arrêt. Evidemment cela me trouble, Marie n’a rien d’une femme autoritaire.

Il a fallu aussi la convaincre de voir mon sexe épilé, un ordre de mon Maître. Elle l’est depuis longtemps et je lui ai révélé que j’y songeais depuis longtemps. Elle tente de me sonder pour comprendre mes changements, mais finalement se contente de mes explications, acquiesçant sur le fait que oui mon sexe est plus attirant ainsi, même s’il n’est plus utilisé, ni par elle ni par moi. Ni même par mon Maître. Je ne dis pas que je ne me suis pas un peu touché, le plus souvent par inadvertance, mais je me suis retenu de me faire jouir. C’est vraiment difficile, et je ne pense plus qu’à cela. En riant elle me dit que je devrais l’enfermer dans une cage de chasteté. Cette idée me venant d’elle me choque. Suis-je donc si vulnérable. Mais déjà elle n’y pense plus.

Enfin, pour compliquer le tout, il me faut prendre mille précautions pour que ma femme ne voit pas mes fesses qui sont marbrées chaque jour de la semaine. Un train train s’est mis en place, mon Maître vient chez moi en fin de matinée, je travaille à la maison, et je dois le recevoir nu, le sucer longuement, me faire fouetter avant de me faire enculer et qu’il décharge dans mon cul maintenant bien ouvert. Il faut dire que je dors toutes les nuits avec un plug que je cache dans ma table de nuit, et dont le diamètre a déjà évolué deux fois sur un mois. Je m’y suis habitué de façon assez étonnante et je crois que cela me manquerait maintenant. Cela dit je dois faire tout ceci à l’insu de ma femme ce qui me remplit de culpabilité et m’empêche de profiter pleinement de cette situation.

Le plug m’excite et je rêve de calibres encore plus importants, ceux qui m’empêcheraient même de me redresser, restant à 4 pattes comme la chienne que je suis. Mais je ne peux me toucher et c’est sans doute la torture la plus difficile, sentir mon sexe tendu comme un arc sans avoir le plaisir même de toucher sa raideur. Maître me dit que vu sa taille je ne perds rien. Il est vrai que le sien doit bien faire le double du mien.

Mon Maître Esenyurt Escort ne souhaite pas que je parle à ma femme, et la menace que d’autres personnes soient au courant est suffisante. Chaque semaine des photos plus compromettantes sont prises, comme mon cul rempli des brosses à cheveux de ma femme ou de canette de coca cola, mon visage rempli de sperme, ou moi pris par devant et derrière en même temps quand il est venu avec un de ses employés. Ma réticence aux hommes reste, et cela m’est donc très humiliant de subir tous ces assauts, de devoir embrasser son employé à pleine bouche me dégoûte. Et pourtant j’obéis et je fais du zèle, chaque semaine je commande de nouveaux accessoires sur un site gay sm pour le surprendre, j’ai envie de lui donner envie, je me sens désiré d’une certaine façon même si c’est contre mon gré. Je m’enfonce et je me noie, mais jamais je n’ai été aussi excité et aussi bien.

L’absence de repas le soir me fait perdre rapidement du poids, mais aussi du muscle. Mes fesses dont j’étais si fier sont devenues bien molles et les coups de cravache en sont d’autant plus douloureux. Je me sens plus faible et vulnérable et cela semble plaire à mon Maître. Moins à ma femme qui est de plus en plus perplexe, ne comprenant pas ce que je fais et pourquoi je le fais. Je ne me suis jamais ouvert à elle sur ce côté soumis, je crois qu’elle ne comprendrait pas, ayant l’image de l’homme virile naturellement ancrée. Je commence à trouver vraiment difficile cette double identité et je ne sais pas comment cela pourrait évoluer. Je sens bien que mon Maître n’a pas tellement envie d’aller plus loin, ses visites se font toujours quotidiennes, mais cela semble un rythme et il ne souhaite pas pousser plus avant. Je suis tiraillé avec une distance qui se met avec ma femme, même si nos câlins un peu spéciaux nous rapprochent énormément. Inconsciemment elle devient plus directive avec moi, et moi totalement soumis même si cela n’y paraît pas, à la fois pour la décharger, répondre à ses attentes et lui faciliter la vie. Ce n’est pas seulement la culpabilité, mais j’y trouve aussi une forme d’exutoire à mon désir sexuel.

Après m’avoir longuement limé, joui dans mon sexe et même vidé sa vessie au plus profond de moi, Maître me demande d’organiser un dîner chez moi avec ma femme et la sienne, dès le samedi suivant. Je le regarde interloqué, mais je suis assez bien dressé maintenant pour savoir que je dois obéir sans rien dire, je commence déjà à cogiter comment présenter cela à ma femme. Curieusement cela m’excite énormément et me plaît de sortir de cette routine que je trouve finalement assez glauque.

Sans surprise elle me regarde bizarrement, sachant que nous avons une vie sociale particulièrement limité. Je lui explique qu’à force de discuter quand je passe à la pharmacie, j’ai eu une impulsion sans trop comprendre, mais je pense qu’ils devraient nous plaire. Je ne connais pas sa femme ceci dit. Je lui promets que je vais m’occuper de tout et qu’elle n’aura rien à faire. Je suis néanmoins fébrile quand la sonnette retentit, et découvre sa femme qui n’est autre qu’une des préparatrices de la pharmacie. Je me sens gêné, sachant qu’elle est sans doute au courant de ma relation avec son mari. D’autant qu’elle ne me regarde même pas en tendant son manteau et offre un grand sourire à ma femme. Mon Maître fait de même, sans me saluer, ce qui me décontenance.

Les conversations ont déjà démarré sur les chapeaux de roue, tandis que j’offre les apéritifs et prépare le dîner. Ma femme semble aux anges, courtisée de façon très ostentatoire par le couple d’invités qui semblent captivés par tout ce qu’elle dit. Il est vrai qu’elle s’est faite très jolie et même sexy, ses jarretelles se devinent sous sa robe noire sous laquelle elle ne porte aucun soutien-gorge. Elle me fait envie ce soir, surtout de la sentir désirée ainsi, et mon sexe durcit de savoir que je n’en ai pas le droit. Je me trouve de plus en plus tordu. Je fais le service et personne ne semble se rendre compte de ma présence, j’en suis un peu vexé. Un regard de mon Maître me rappelle à l’ordre et je comprends que c’est ma place, même devant ma femme, cela m’humilie et m’excite en même temps. Lorsque nos convives partent, ma femme est aux anges et est devenue la meilleure amie de Claire la femme de mon Maître. Je ne comprends pas de quoi il retourne, ni l’objectif de mon Maître.

Ma femme est super excitée d’avoir été ainsi admirée et flattée pendant toute la soirée, elle a envie de jouir et envie de jouir salement. Elle s’assoit sur mon visage et me commande de la lécher tandis qu’elle tord mon sexe et écrase doucement mes couilles. Les orgasmes s’enchaînent et je ne peux me retenir de jouir, cela fait tellement longtemps. J’ai peur de la punition que je recevrai pour ce manquement, même si je n’y suis pour rien.

Sans un mot pour moi, ma femme se couche et s’endort tandis que je vais me nettoyer, un peu perdu par cette distance entre nous. Je réalise que ce dîner semble s’être passé normalement pour elle et que je fasse tout et soit transparent conforme à ma personnalité. Je me sens un peu perdu, sans doute aussi l’éjaculation qui a fait baisser ma libido d’un coup. Ma femme m’apprend qu’elle passe le week-end prochain avec Claire dans une thalasso qui a offert un package pour deux à la pharmacie et que son mari ne veut pas utiliser. Le dîner a été un succès.

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