Une journée à l’enversUne journée à l’envers

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Une journée à l’enversHistoire trouve sur le netJournée à l’envers Je suis sur le quai de la gare, attendant ma fille Elsa, nous allons passer une semaine de vacances près de la mer. Cette année est la troisième fois que nous nous retrouvons en été pour un court séjour ensemble. Je vis seul, séparé de mon ex-épouse, et durant l’année, je ne la vois pas souvent. Nous avons connu une vie de famille agréable jusqu’à ses 11, 12 ans. Puis cela s’est dégradé et il y a eu de plus plus de petits conflits. J’ai mal vécu aussi la crise d’ado d’Elsa, notre relation s’est distendue. Mais, c’est du passé, maintenant qu’elle a un peu plus de 18 ans, j’espère avoir un rapport plus adulte avec elle. Le train entre en gare et à la descente des voyageurs, je peux l’apercevoir. Grand signe de la main. Franc sourire de sa part et dit : — Salut papa, je suis contente d’être arrivée. Ce fut long. — Bonjour toi, moi je suis content de te voir. — C’est loin le camping parc?? J’ai envie de m’écrouler et de ne plus penser … — Non, une petite demi-heure de route à peine. Tes valises dans le coffre et on démarre, zou?! — Génial, en route alors. Nous voici enfin au calme sur la terrasse du bungalow savourant un rafraîchissement bien mérité. Elsa, couchée sur le transat, en bikini, les yeux mi-clos se délecte de la caresse du soleil. Je me surprends à la regarder et me rends compte que son corps de jeune ado a évolué. C’est devenu une jeune femme et les courbes de son anatomie sont … harmonieuses. Je me rappelle l’expression qu’on avait étant jeune : il n’y a rien à jeter. Très vite, je reviens à la réalité, c’est ma fille?! La soirée se passe vraiment agréablement, après le resto, un dernier verre à profiter du paysage. Mes craintes sur notre entendement difficile sont évanouies, c’est comme si nous commencions une nouvelle étape. Je m’endors heureux. Le lendemain, nous organisons notre journée. Elsa a envie de farniente et moi j’ai plutôt envie de bouger. Donc chacun de son côté et on se revoit en fin d’après-midi. Je la retrouve rayonnante, ravie de sa journée. Pendant que je prépare le repas, on se raconte des anecdotes mutuelles. Éclats de rire. Moi je raconte des histoires de ma jeunesse, elle ses aventures avec des copines et copains. La complicité est revenue entre nous. Le jour suivant, c’est le même programme, elle de son côté et moi du mien sauf que c’est Elsa qui prépare le menu du soir. Délicieux. L’ambiance est encore enjouée, mais je sens comme un petit malaise. Je lui demande ce qu’elle désire faire : — Tu veux faire quoi, demain?? — Je sais pas trop … J’ai envie d’un truc un peu hors du commun … — Comme quoi?? Un truc sportif ou culturel ou … dis-moi.— Je voudrais passer la journée rien qu’à nous deux et qu’on fasse une chose un peu spéciale, originale… — Euh oui, moi aussi j’ai envie de passer plus de moments avec toi, raconte. — Hier tu as parlé de tes camps scouts, de la journée à l’envers et j’ai trouvé que c’était une idée marrante. Si on jouait à ce jeu?? — Oui, pourquoi pas … mais comment?? — Ben, c’est simple : je suis ta fille et tu es mon père. À l’envers, cela fait : je suis ta maman et tu es mon jeune garçon. Pour une journée. Alors t’en penses quoi?? — Surprenant … Mais pourquoi pas … Cela me tente d’essayer, pour être spécial … ça l’est. — Extra?! On va se marrer, je suis sûre hi hi. Donc okay?? — D’accord. — Une précision importante, tu seras un gentil garçon hein?! — Euh … oui. En m’endormant, je ne cesse de penser à ce qui va se produire demain. Un sentiment vécu naguère me revient en mémoire, ces journées étaient marrantes. On inversait les rôles, les scouts devenaient les chefs et s’occupaient de l’animation de la journée. Les chefs devenaient les cuistots, en ref on inversait les rôles. Ma fille devient ma mère?! bahis siteleri Dingue?! On va jouer comme des enfants … Quel jeu … En me réveillant, je me sens perplexe à propos de la journée qui s’annonce. Je dois jouer mon rôle le mieux possible. Disons que j’ai une douzaine d’années. Ma maman est affectueuse et je l’aime beaucoup. Mes copains la trouvent canon. J’en suis très fier. J’entends frapper à la porte de ma chambre : — Tu es réveillé mon petit chéri?? — Oui m’am. — Il faut te lever, c’est l’heure. Nous avons une belle journée qui s’annonce. Tu iras à la supérette chercher ce que j’ai commandé et moi je prépare le petit-déj. Ne traîne pas. — Compris, j’y vais. On se glisse dans la peau de nos personnages, c’est grisant. Elsa m’annonce l’emploi du temps du jour : balade avec pique-nique, que je dois préparer, ensuite visite d’un village typique de la région. La seule entorse à la règle du jeu : c’est moi qui conduis la voiture vu qu’elle n’a pas le permis. Nous voilà sur le sentier de randonnée, il y a peu de monde. Le paysage est une succession de plaines et d’endroits boisés. Elsa jette son dévolu sur un emplacement à l’ombre près d’une petite rivière pour manger notre pique-nique. Souvent nos regards se croisent pleins de malices. Conscients de l’étrangeté de la situation, nous prenons plaisir à assumer nos rôles. Le repas terminé, elle dit : — Bon on va se reposer un peu avant de repartir. Je vais m’allonger et tu peux jouer dans la rivière si tu veux. — Bon d’accord. Je fais donc trempette dans l’eau. Bien agréable vu la chaleur. Au moment de la rejoindre, j’ai un choc. Je la vois allongée sur le dos les seins nus. Une vision envoûtante. Des globes parfaits, fermes des tétons tous mignons. Comme si de rien n’était, elle me regarde en souriant : — Alors, dis-moi, tu t’es bien amusé?? — Oui. Mon attention est toujours focalisée sur sa poitrine et elle me fait la remarque : — Arrête de me regarder comme cela. Tu as déjà vu des femmes aux seins nus hein?! — Ben oui, mais pas ta poitrine à toi. — Que tu crois?! Mais évidemment, tu ne t’en souviens pas. Tu sais quand tu étais bébé, je t’ai allaité pendant des mois. J’ai le souvenir que c’était bien agréable. Bon, tu ferais bien de te sécher et de changer ton short mouillé. — Oui maman. Je lui tourne le dos et ôte le tissu. Étrange, je suis nu en présence de ma fille, euh de ma mère. Troublant. Elle dit en riant : — Ne fais pas le prude. Ton petit engin je l’ai vu très souvent, retourne-toi. Surpris un bref instant, je m’exécute. Tout naturellement, je me sèche les parties intimes devant elle. Mon engin, comme elle dit, commence à gonfler et Elsa ne rate pas une seconde du spectacle. L’érotisme de la situation est perceptible. J’apprécie de plus en plus cette journée. Un stratagème s’installe dans mon cerveau, car j’en veux davantage. Je veux toucher ses seins. J’étends la serviette et me couche près d’elle. D’une voix un peu timide de jeune freluquet, je lui demande : — Maman?? — Oui mon grand … — Je voudrais … euh … — Quoi?? — Faire comme quand j’étais bébé … — Je ne comprends pas, explique. — Je voudrais téter ton sein … — Hein?? Mais … enfin je ne crois pas que c’est bien convenable cela … — Allez, s’il te plaît. Juste faire semblant … — Euh … Bon d’accord, mais juste pour cette fois-ci. Il faut être tout doux mon bébé, vas-y. Bingo?! Doucement, je m’approche de ces fruits offerts. À l’instant où mes lèvres enserrent son téton, un soupir mutuel se fait entendre. Sensualité. Je suce en fermant les yeux, le bout de la langue tourne autour du minuscule relief qui s’érige, un peu. Punaise que c’est bon. Bruits de succions et de murmures de plaisir à peine contenus. Des minutes divines. Je finis ma dégustation et dis : — Merci maman?! — De rien, mon petit bonhomme, canlı bahis siteleri t’es satisfait maintenant?? — Oh que oui?! — Bien. Bon il faut partir, on va continuer la balade. Durant l’après-midi, nos regards se croissent souvent remplis de désirs, de complicité. Nous vivons une aventure inédite et ô combien prometteuse pour la suite. De retour au bungalow, Elsa dit : — Tu ferais bien de prendre une douche pendant que je prépare une collation. — Oui maman, j’y vais. Sous le jet d’eau, je me caresse le sexe en repensant à ses seins. J’en veux plus. Tout absorbé à mon imagination, j’entends frapper à la porte et vois Elsa entrer. J’ai oublié de tirer le rideau de douche et le moment de surprise passé, je continue mon attouchement sans pudeur, elle me mate en souriant. — Oh pardon, je ne voulais pas te déranger. Je t’apporte une serviette propre. Tu sais je voudrais m’excuser pour toute à l’heure, quand j’ai parlé de ton petit engin. Je sais que les garçons sont très sensibles aux remarques à propos du sexe. Ton engin, enfin je veux dire ton pénis est très bien. Je dirais même qu’il est bien développé pour ton âge. Je suis sûre que les filles que tu vas rencontrer vont apprécier ta virilité. D’ailleurs j’ai lu dans un magazine que parmi certains jeunes de ton âge, c’est la mode de rester imberbe pour les poils pubiens. Chez les filles comme chez les garçons. Bon je te laisse terminer, la collation est presque prête. Un peu abasourdit par son discours, je me sèche en pensant : quelle bizarre idée, enfin pour les mecs. C’est vrai que j’aime beaucoup le sexe épilé pour une femme, mais que certaines d’entre elles, dont ma fille, zut?! ma mère, aiment l’absence de poils chez nous … Comme je suis occupé de jouer un jeune puceau, je me rase les poils. Je veux lui montrer que je suis à la mode … hi hi. Le climat particulier est toujours présent entre nous pendant que nous mangeons. J’ai le sentiment que la dérive par rapport à la normalité augmente. Après avoir débarrassé la table, Elsa s’installe dans le canapé et lit une revue. Moi, pubère excité, j’ai de nouveau envie d’embrasser sa poitrine. — Maman?? Tu ne veux rien d’autre?? — Non mon chéri, tout va bien et toi?? Repus?? — Oui … enfin … pas tout à fait … J’ai encore soif. — Il y a le choix dans le frigo non?? — Euh … oui, mais … J’ai de nouveau envie de goûter ton … lait … — Mais dis donc?! Tu es un sacré gourmand hein. Je t’avais dit une seule fois. Mais bon, tu es si gentil avec moi que je ne peux pas te priver d’une espèce récompense disons. — Génial t’es une super maman?! — Et charmeur avec ça?! Je découvre que tu es un coquin. Elsa dépose la revue, se lève et déboutonne le haut de sa robe puis l’enlève. Ses sous-vêtements ne cachent pas grand-chose, couleur chair et pas mal transparent. Elle m’invite à dégrafer son soutien-gorge puis s’assied, les bras ouverts, me susurre : — Viens mon bébé, viens te nourrir chez ta maman pour devenir un grand et beau jeune homme. Dépose ta tête sur mes cuisses et bois autant que tu veux, viens. Yes?! Me voilà reparti au pays des dunes d’Elsa. Cette fois elle ne reste pas inactive, passe une ses mains sur mes cheveux et l’autre sur mon ventre et ma poitrine. Voyage au bord du paradis. Mes paluches ne restent pas sans bouger non plus, une s’aventure sur le sein libre et l’autre sur mon short qui dissimule à peine une belle érection. Je m’applique à explorer chaque centimètre de ce si doux et chaleureux buste, les soupirs mutuels s’expriment sans retenue. Elle m’embrasse le front, les yeux. L’envie me prend de me prodiguer des caresses génitales, pour être plus confortable, je baisse un peu mon short. Je m’astique la queue librement, doucement. Elle tourne visage vers mon entrejambe et s’exclame : — Oh, Mais dis donc… mais tu canlı bahis … t’es coupé les poils?! Je dois avouer que c’est fort agréable à voir, c’est pour me faire plaisir que tu as fait ça pour moi?? C’est adorable?! Tu sais tu peux continuer à te caresser. Normalement un fils ne fait pas cela devant sa mère, mais bon … on est en vacances et vu la situation présente, je comprends ton envie. Pour me faire plaisir, j’aimerais que quand arrivera ta jouissance on se regarde les yeux dans les yeux. Comment refuser?? En cet instant mon corps entier est érogène, même mon cerveau. Je vis un fantasme inconnu et tellement érotique. Il ne faut pas longtemps pour arriver au climax. — Maman je vais … — Vas-y mon fils. Montre à maman que tu es devenu un homme. Regarde-moi. Mes yeux plongés dans les siens, j’ai l’impression d’y voir une galaxie d’étoiles et je jouis.Aussitôt elle m’embrasse fougueusement la bouche. Notre premier baiser. Elsa me laisse à peine respirer, elle prend passionnellement possession de ma bouche. La frénésie finit par se calmer, elle a l’expression d’une femme comblée, heureuse. Ses doigts glissent sur mon torse et récoltent un peu de sperme, puis le déposent sur ses lèvres : — Viens goûter ta semence qui est sur ma bouche. Nouvelle sensation, je n’ai jamais expérimenté le goût de mon sperme. Ni bon, ni mauvais, mais sexuellement c’est émoustillant. Nous finissons par nous décoller. La soirée commence et après de tels débordements, nous avons faim. Maman m’invite au resto?! Il est périlleux de continuer notre jeu en public, mais c’est d’autant plus excitant. Notre jeu continue à voix basse. Au moment de rentrer chez nous, il y a encore cette fièvre entre nous. Elsa : — Bien mon petit chéri, il se fait tard, nous avons eu une journée bien remplie, il est temps de se reposer. Tu vas prendre une petite douche rapide et puis dans ta chambre. Je viendrai te faire un câlin pour t’endormir. — Oui maman, tout de suite. En rentrant dans ma chambre, j’enlève la serviette enroulée autour de la taille et devant un miroir sur pied j’observe mon sexe imberbe. Troublant. Ça lui fait un coup de jeune à mon zob. Je suis couché sur le lit quand elle toque et entre. Visiblement ravie de la scène. Elsa s’approche vêtue d’une simple nuisette, méga sexy. La transparence du tissu ne cache pas grand-chose de son intimité. La coquine s’approche satisfaite de son effet sur moi. Penche le visage vers mon oreille et murmure : — Je vais te faire un câlin dont tu vas te souvenir. Ne dis rien, juste apprécie. Sa bouche après un prude baiser sur mes lèvres explore ma poitrine, mordille doucement mes tétons, continue sur mon ventre. Sa langue s’attarde à fouiller mon nombril, puis sa joue entre en contact avec mon membre. Douceur. Je la regarde, non, la contemple et avec une mine lubrique elle me met en bouche inexorablement. Voluptueusement elle alterne gobage, léchage, branlette d’une main assurée et caresses sur mes bourses. J’ai déjà eu des fellations, mais celle-ci mérite la médaille d’or olympique. Je suis béat de désir.En plus, je la vois se doigter avec application, tantôt furieusement puis sensuellement. C’en est trop, j’arrive au point de non-retour et lui dis : — C’est trop bon … je vais … Quasi en criant :Maman?! Je viens. Elsa recule un peu le visage que je macule de semence. Elle continue à s’astiquer l’abricot intensément un moment et la vague de jouissance l’emporte. Il nous faut de longues minutes pour revenir à la réalité. Tellement intense. Elsa se relève et va vers la porte pour sortir. Je me précipite du lit et l’enlace : — Ma puce, mon amour, maman, je ne sais plus … quel jeu merveilleux … — Mon chéri, papa, je suis aussi perdue que toi … J’ai eu beaucoup de plaisir aussi. C’est simplement magnifique. — Dis-moi … On continue le jeu demain, j’en ai follement envie … — Moi aussi, si tu veux on continue… C’est fou, mais tellement bon, à demain mon trésor. Elsa, sa poitrine, sa bouche, ses yeux toutes ces images tournent en boucle avant de m’endormir.

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