Une Enquête Tourne MalUne Enquête Tourne Mal

Non Nude

Je m’appelle Jena Amande, je suis détective privé et je suis dans un sacré pétrin.
Je suis actuellement enfermée dans une tenue corporelle entière de la tête aux pieds faite, je pense, de latex. les seuls trous dans la tenue sont la pour me permettre de respirer (nez et bouche) et pour d’autres raisons sur lesquels je reviendrai (queue de cheval, bouche, tétons, vagin et anus). Je ne peux ni bouger les bras librement, ni les jambes ; les deux paires de membres étant fortement bien tenues ensembles par des liens que je ne vois pas (aucun trous pour les yeux, vous vous rappelez ?). Finalement un anneau caoutchouté retient ma bouche dans une position ouverte inconfortable.
“Glr … Glrg … Ghh …”
Ah oui ! J’ai actuellement un phallus dont je ne connais pas le propriétaire qui effectue des va-et-viens dans ma bouche.
Un sacré pétrin je disais …
“Ghhh … Gh !”
Oh non …
“Mfff … Mgfrfgf !”
Les mouvements s’arrêtent pour ne laisser que le gland dans ma bouche.
“Avale tout !”
Tout comme je peux sentir les pulsation de son membre sur ma langue je goûte aux acres jets de liquide masculin.
“Mmh !”
Ces liens sont vraiment solides, je ne peux quasiment pas bouger. Je dois être suspendu au dessus du sol.
Ma bouche est maintenant pleine de foutre. Les jets ne cessent pas pour autant.
Si je reste immob…
“AVALE !”
Ses mouvements reprennent sans que je ne sois réellement informé. Comme si il voulait que j’avale avec sa b…
“Gh … Gh … Gh …”
Je sens le sperme couler hors de ma bouche, mais je suis quasiment sûr qu’un peu est rentré dans ma gorge avec la b…
“Voilààà … Quelque chose à redire ?”
Espèce de salaud ! Tu ne me briseras jamais ! Où est Solène ?!
“E’è eu a’o ! U eu eu i’…”
Une baffe bien sauvage vient arrêter mon discours mal articulé.
Bon … Je vais profiter de ma tête qui tourne pour vous raconter comment j’en suis arrivé là.

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Tout a commencé il y a seulement 3 jours. Tant de choses arrivent en 3 jours.
J’étais détective, aimant les énigmes et pensant que la ville avait bien besoin de ça. J’ai toujours aimé cette ville et désiré la voir plus belle que jamais. Cependant c’est est aussi l’épicentre de la corruption, du trafic et crimes en tout genre.
Mais je savais que si je prenais mon courage et que j’allais aider les gens j’aurais sans doute la chance d’améliorer le tout. Mais il vous suffit de relire les précédents paragraphes pour comprendre que non.

Il y a trois jours, donc, j’ai pris une enquête comme une autre : une mère avait perdu sa fille, Solène, et les flics n’avaient rien trouvé.
Connaissant l’un des flics du commissariat j’avais souvent la chance de pouvoir reprendre les éléments des enquêtes pour les finir rapidement. Mais ce jour était un autre jour. Je me souviens encore de la conversation que j’eus avec le chef de poste ce jour là. Il faisait chaud, son bureau était fermée et j’étais seule, face à la montagne de muscle qu’était cet homme. Petite blonde aux cheveux long, attachés en queue de cheval, un simple t-shirt blanc et un jean sur mes talon haut, je me savais belle et bien formée : forte poitrine, lèvres joliment pulpeuse, regard bleu et charmant … Je plaisais et j’avoue en avoir joué. Mais face à moi se trouvait l’homme dont la carrure était aussi imposante que son regard d’acier.
“Où est Francis ?” Demandais-je que peu penaude.
“Francis a été muté suite à une fuite de données lors d’une enquête.” Mon sang se glaça.
Était-ce pour ça qu’il m’avait fait convoqué dés mon arrivée, savait-il pour moi et Francis ? …
Non, je n’avais pas les menottes aux mains et c’était une simple réunion.
“Très … Très bien.”
“En quoi puis-je vous aider mademoiselle Amande ?”
“Je suis détective privée et je suis à la recherche d’une jeune fille.”
“Ah … La petite Solène ? C’est bien ça ? Oui nous la connaissions bien au commissariat, son petit-ami est un de nos agents, elle passait souvent et ses charmes étaient appréciés par le personnel.”
Ne sachant comment réagir à cette dernière remarque de décida de passer outre.
“Comment cela se fait-il que l’enquête aie capotée ? Que savez-vous de sa disparition ? Avez-vous des indices ? Qui…”
“OULA ! Je vous stoppe directement ici ma petite. Je ne peux pas vous révéler ce genre d’informations. Surtout à une détective privée. Ce serait emek escort contre nos procédures.”
Quelque chose était louche. Il me convoquait, il savait qui j’étais, il connaissait Solène …
Je devais le pousser.
“Commissaire, tout le monde sait en ville que vous êtes corrompu, le maire vous a élu pour garder ce poste en bonnes mains et la mafia vous possède comme une poupée. D’ailleurs j’ai quelques clichés vous de vous et vos amis mafieux que je n’hésiterez pas à divulguer. Alors maintenant vous allez répondre à mes questions … Je n’ai pas le temps de jouer.”
Je vis que cette réplique, bien que fausse, l’avait mis mal à l’aise. Il se tortillait maintenant de mal-être dans son fauteuil de cuir. La chaleur l’avait fait rougir et de grosses perles de sueurs lui coulait le long du cou. Mais pourquoi son sourire restait-il si présent ?
“Très bien … Détective Amande. Ce qu’on va faire maintenant va être simple. Vous allez vous lever et vous diriger vers moi. Vous pouvez bien évidemment passer derrière le bureau où il vous faudra vous mettre à genoux. Cela vous aidera alors à m’enlever mon pantalon et mon boxer. Là vous devriez trouver ma bite. Actuellement je bande et suis dur comme fer, il faudra donc faire vite pour que ça ne ramollisse pas. Prenant sur vous je vais vous demander, avec gentillesse, d’ouvrir votre clapet menteur et suceur pour y enfourner mon gland. Ça devrait être dur au début, comme ma bite, mais le reste le sera d’autant plus. Vous allez enfoncer tout le long de mon chibre dans votre gorge entièrement jusqu’à avoir votre langue sur mes couilles. A ce moment précis, et seulement celui-ci, je vais vous demander de redire votre petit pitch que vous venez de me faire. Rien de bien compliqué vous en conviendrez, sauf pour ce qui sera de ma bite dans votre trou. Alors promis, je ne me concentrerais pas sur la prononciation. Comme je suis un homme bien, je prendrai sur moi et je répondrai alors à toutes les questions que vous poserez.”
Il s’était alors calé dans son fauteuil, plus confortablement, comme si j’allais effectuer ce qu’il venait d’énoncer.
Le long de son discours j’était rester coi. J’avais mal jugé cette homme ; tous les mouvements qui trahissaient un mal-être, ne l’étaient pas. Il était juste excité au point de m’ordonner de … Vous l’avez lu.

Je m’étais alors levé doucement, tentant de ne pas lui montrer ma colère grandissante. l’avait doucement remercié et avant que je ne fasse un autre mouvement il avait sorti de son tiroir une arme à feu munie d’un silencieux. Je me gela sur place.
“Je voudrais vraiment aider la petite Solène.” Me dit-il. “Et je pense que vous êtes la personne adéquat pour cela. Tu vas donc ramper jusqu’ici et enfourner ma bite.”
Impossible. Tout cela ne pouvait pas m’arriver. je savais que ma vie de détective allait apporter son lot de surprises, mais là j…
“Et plus vite que ça !”
Le seul son de sa voix me mit à quatre pattes. J’étais machinalement tombée sur mes membres et prise d’un instinct de survie je me dirigeais vers lui. Me faisant signe de m’y placer je rampais vers la petite alcôve que faisait le dessous de son bureau où je serais visible seulement par lui et à portée pour … Pour lui …
“Ne soit pas timide. plus tu t’y prends rapidement, plus vite ce sera passé.”
Je leva la tête pour voir son sourire carnassier et baissa le regard pour voir l’énorme bosse que faisait son pantalon. Mes mains fines vinrent jusque son entre-jambe et ouvrirent sa boucle de ceinture.
Son dard sortit tel un clown farceur de son pantalon pour venir me frapper le visage. Elle était énorme. je ne pourrais jamais mettre t…
“Pouvez-vous répétez vos questions détective ?”
Prenant mon courage à deux mains je fis de même avec son membre.
“T-t-t-t-t-t … Je n’ai jamais parlé de mains dans mes demandes. D’ailleurs …” Il leva son postérieur et saisit dans son dos un objet qu’il me mit devant le visage. “Enfile ça.”
Prenant les menottes je les fis passer dans mon dos où les cliquetis du mécanismes confirma mon attache.
“S’il-v… mmmh.”
Il mit son énorme main sur ma bouche.
“Chhhhut … Je n’ai ni langue sur les couilles, ni gorge autours de ma bite.”
Il prit alors ma queue de cheval de la main gauche et ma joue de la droite et me dirigea vers son gland.
“Aagmh …”
J’avais sa bite dans ma bouche. Le gout était aussi horrible eryaman escort que le sentiment que je ressentais au fond de mon corps. Mais forte d’un bon sens de la déduction je savais de quoi cet homme était capable. Et faire disparaître une jeune détective faisait parti de ses capacités. Qui plus est, si la chance me souriait, peut-être allait-il me révéler ce que je voulais savoir.

Je savais ce qu’il voulais et je pouvais terminer ça assez rapidement. Prenant appuie sur mes genoux je pencha tout le poids de mon corps vers lui, enfonçant rapidement tout son membre dans ma gorge. J’avais lu quelque part que l’on ne vomissait pas si l’on n’avait pas mangé la précédente demi-heure. Un savoir que je n’avais jusqu’alors jamais pensé utiliser.
Malgré cela le membre entier ne rentra pas. Je tirais la langue aussi loin que possible, mais je ne touchais pas le moins du monde ses parties génitales. Je ne pouvais plus respirer dans cette position.
“Oooooh oui. N’es-tu pas mieux ainsi ?”
Je levais les yeux sur son visage souriant. Il exultait d’une joie et d’un contentement facilement identifiable.
“Mmmmf.”
Mon mécontentement lui ne faisait que grandir, j’allais devoir recommencer.
“Mmmf ?”
Sa main gauche ne bougeait pas et je ne pouvais pas reculer ma tête, sa bite à moitié enfoncée dans ma gorge. D’un réflexe je leva les mains pour retrouver celles-ci coincer dans mon dos, bien attachées. Non !
“Voilààà …”
Non ! Ça ne pouvais pas finir comme ça ! Je commença à bouger, mais déjà mes mouvements étaient lourds sans oxygène.
“Ggggggh !”
Non ! Ma vue se troublait et je commençais déjà a ne plus sentir mes membres.
“Voilàààà …”
Je lâchais doucement prise avec la vie, laissant cette dernière s’échapper le long de son chibre. C’était donc comme ça que j’étais voué a finir : empalée sur une bite, incapable de respirer, incapable d’aider qui que ce soit.

Mais alors que je pensais tout fini les choses revinrent à la normale. Ma vue revint, mes membres pouvaient bouger et j’entendais ce qu’il se passait :
“Boss je suis désolé de vous déranger, mais…”
“Oui, ce n’est pas le moment !”
“Mais boss c’est par rapport à la petite Solène.”
“Tais toi et sort d’ici.”
“Mais boss, elle a faillie sortir de l’entrepôt et puis …”
“TAIS TOI ET SORS D’ICI !!!”
J’entendis alors des bruit de pas et une porte se claquer. Le fauteuil se recula et je décida de feinter mon évanouissement toujours effectif.
CLAC
Une baffe m’obligea à ouvrir les yeux.
“Allé inspectrice, votre travail n’est pas terminé, et j’ai bien besoin d’un remontant.”
Il avait pris son flingue dans la main et je voyais bien que le choix ne m’était pas donné. Sauf que cette fois-ci je savais à quoi m’attendre. Je savais quoi faire. Et je ne m’en réjouissais pas.
Toujours incapable de me mouvoir facilement j’avança sur mes genoux, tête basse, soumise. Je ne leva la tête que pour ouvrir ma bouche et accueillir son membre.
Cette fois-ci je pris bien le temps de prendre mon souffle avant. Une fois fait je leva mon menton aussi haut que possible en envoya tout le poids de mon corps sur le membre afin de battre ma propre gorge.
“Gmffff !”
“Ola ! Pressée d’en finir ?”
L’ignorant je continua à m’enfoncer sur son membre. Je sentis alors sa main dans mes cheveux et connaissant parfaitement sa signification, je tortilla ma tête et mon corps afin d’améliorer l’angle par lequel la bite prenait place au fond de mon gosier.
Et alors que ma volonté me poussait à continuer d’autant plus dans ma tâche je buta contre le bas du ventre de l’homme. Mon oxygène manquait alors je pris rapidement le pas et sortis difficilement ma langue sur ses bourses. Me voulant plus forte que lui je leva le regard vers lui.
“Gh … Gh … Gmf …”
“Oooooh oui …”
“GGH !”
“Oooooh … T’en fais pas je ne t’ai pas oubliée. Continue à lécher …”
Je savais mon oxygène bientôt à cours et n’hésita donc même pas à lui obéir, sortant d’autant plus ma langue et la passant sur ses couilles.
“Voilààà … Si tu veux retrouver ta copine je vais te donner une adresse. Et tout ce …”
Je commençais vaguement à perdre conscience, mais je sentis tout de même son membre pulser dans ma bouche.
“Ouuuh … Tout ce que tu devras faire c’est y aller et y demander : j’aimerai un travail. Ca …”
Il saisit alors ma tête avec ses deux mains.
“Sera esat escort …”
Il m’empêchait totalement de repartir en arrière et je sentais bien sa bite pulser.
“Suffisant !”
Je sentis alors le foutre chaud descendre le long de ma gorge. Je n’en voulais pas, je me tortillait, mais rien ni faire, il me tenait bien.
“Aaaaaaaah …”
Petit à petit ma vue se brouilla et je sombrais une fois de plus dans l’inconscient.

Une éternité ou que sais-je plus tard je me réveilla. Il n’y avait plus de menottes autours de mes poignets et de bite dans ma bouche. Je sentais cependant un acre gout au fond de cette dernière. Je reprenais conscience de mon environnement : une cellule de prison immense remplie de nombreuses têtes peu familières. Et par têtes c’est bien de bites dont je parle.
Voyant que je me réveillais toutes les formes autours de moi rangèrent leurs engins et se dispersaient. Je baissa le regard pour remarquer que j’étais assise au sol, contre un mur et que mon tee-shirt avait été remonté au dessus de mes seins, maintenant nus. Je saisis rapidement mon haut pour le rabaisser, mais une étrange sensation me frappa : mon haut, mes seins et mes mains étaient imbibés d’une liquide visqueux. Je fus saisi de stupeur quand je compris que tout le haut de mon corps, mon visage et mes cheveux étaient maintenant collant de sperme. Je n’avait donc rien pour m’essuyer et je tenta donc de me débarrasser du jus avec mes mains. Cela n’était absolument pas suffisant, mais je me sentais moins poisseuse.

En fouillant dans mes poches je trouva un papier sur lequel était inscrit une adresse. Le commissaire, aussi bâtard qu’il était, avait tenu parole.

“Extinction des feux ! On revient vous chercher demain matin ! Profitez des la nuit pour faire connaissance …” L’annonce du garde se termina par un rire tandis qu’il quittait la pièce et laissait tous les prisonniers en tête-à-tête.
Sentant de nombreux regards se tourner vers moi je compris rapidement que cela allait tourner au tête-à-queues pour moi …

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CLAC !
Un douleur sur les fesses me remets alors dans l’instant présent.
CLAC !
“Aaaah …”
Malgré le baillon-anneau et le reste de foutre dans ma bouche, les fessées provoquent ces petits cris, mi-plainte, mi-excitation et remi-plainte derrière.
CLAC !
“Aaaah !”
Mon corps est toujours immobilisé, ne laissant comme réaction que des spasmes inutiles.
“Bon, ma petite, je vais te laisser.”
Enfin … J’aurais peut-être le temps de vous raconter la suite.
“Mais je ne vais pas te laisser seule.”
Quoi ?
“J’ai quelques godes qui ne supportent pas de dormir seuls. Tu va donc passer la nuit avec.”
Et merde … J’espère au moins qu’ils ne vibrent pas.
“Si tu es sage je vais les laisser éteins. Qu’en dis-tu ?”
“I’ ‘ou ‘ai !”
Je sens des doigts sur mon visage et soudain la lumière revient. Comme je l’avais deviné je suis bien suspendue environ 1 mètre au dessus du sol, dans ce qu’il semble être un entrepôt vide. Face à moi une masse de muscles masquée et nue. Devant mes yeux un chibre dont la longueur me fait repenser le sens du triple-décimètre.
“Tu vas lécher mon engin des couilles au gland et je laisserai les godes éteins.”
L’homme me regarde avec un sourire carnassier. Je regarde son membre. Je suis totalement impuissante dans ma position, que ce soit par les liens ou l’anneau dans la bouche. Seule face à la merci de ce balourd. Je ne pense p…
“Très bien, c’est ton choix.”
QUOI ?!? Non, je réfléchissais ! S’il te plait … Ne …
Le premier gode rentre profondément dans mon vagin. Ce dernier est écarté d’un grand coup trop violent pour mes parois.
Laisse moi sucer ta bite ! S’il te plait ! Arrête ! Je ferai ce que tu veux !
Le deuxième gode s’enfonce dans mon cul d’une manière forte, mais lente, me laissant bien le temps de sentir l’énorme ustensile prendre place dans mon intérieur.
Pitié … Je ferai ce que tu veux ! Met moi quelques chose dans la bouche … Partout, mais p…
Les deux godes s’allument tous deux dans un son de vibration intense tandis que mon corps ressent d’un coup une vague de plaisir d’une intensité sans précédent.
“AAAAAAAAAHG !”
“Ah oui, j’oubliais …”
“AAAAGGMMMMH …”
Il met quelque chose dans ma bouche. C’est un tissu humide, au gout chaud et visqueux.
“Tous ceux qui ont pensé à toi ces derniers temps l’ont fait dans ce mouchoir, profite bien du gout.”
“Mmmmmgh !”
Finalement il remet en place le bandeau devant mes yeux, me cale quelque chose devant la bouche, que je ne puisse pas recracher, ressert tout mon harnais et commence à partir.
Bvvvvvvvvvrrrrrrrr …
“MMMMMH !”
“Bonne nuit …”

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