mûres59/cette retraitée me bouffait les couillesmûres59/cette retraitée me bouffait les couilles

Blowbang

mûres59/cette retraitée me bouffait les couillesJ’ai déjà raconté dans quelles circonstances ma queue s’est réjouie dans la chatte et la bouche de Katharina, une grande femme de 65 ans environ, ancienne blonde bourgeoise s’efforçant de paraître jeune.Nous n’avions pas grand’ chose à nous dire. Elle venait me voir l’après-midi pour se faire tirer, il n’y a pas d’autre terme.Elle avait été facile à séduire. Nous nous étions rencontrés au sein d’un groupe dans lequel j’étais naturellement mis en valeur.La barrière linguistique nous interdisait de longs discours.Lorsque nous avions échangé quelques mots la première fois, nous savions d’avance, peut-être sans en être bien conscient, que nous allions tirer du plaisir en emboîtant nos parties génitales.Lorsque nous parlions, c’était en fait nos sexes qui voulaient se rencontrer. Sa vieille chatte mal baisée devait lui dire: “Laisse donc venir sa bite en moi, regarde, il a l’air gentil, il est plus jeune que ton fils, et puis tu as tout de même quelques sentiments pour lui. Si ça se trouve, il a déjà envie de te la fourrer vigoureusement. Cela te changera les idées”De mon côté, j’étais excité par son allure d’ancienne séductrice. Sa coiffure soignée, de couleur presque platine, ses lèvres légèrement gonflées par le Botox, son corps svelte mais automnal me promettait des giclées mémorables. Il était clair que le premier rendez-vous nous permettrait tout de suite de basculer dans une intimité sensuelle. bahis siteleri La conversation tournait court, mais ses yeux gris-bleus et cernés de maquillage m’encourageaient à m’approcher de son visage.Nos bouches se rencontrèrent sans tarder. La langue de la vielle blonde exprimait d’humides promesses.Je ne crois pas utile de redire ce que j’ai déjà raconté.J’aime tout de même repenser aux sensations qui m’habitaient lorsque, depuis ma fenêtre, je voyais la petite voiture de Katharina se parquer devant chez moi. Il lui arrivait, à peine entrée, de s’agenouiller juste après m’avoir embrassé langoureusement. Elle devait aimer se sentir chienne, la bouche remplie par ma bite, toute soignée et pomponnée comme une bourgeoise qu’elle était, mais à genoux comme une pute, la bouche faisant office de vagin accueillant pour la bite d’un jeune homme qui la vengeait, sans le savoir, de de son mari.J’étais debout, tout habillé, la queue pulsant hors de ma braguette. Elle aussi, à genoux, les lèvres ourlées autour de mon gland, levant les yeux vers moi. En gardant nos vêtements, nous vivions une scène d’un érotisme particulier, que la nudité au lit n’offrait pas. C’est comme si nous mettions en scène un désir si puissant, si soudain, que nous n’avions pas eu le temps de nous déshabiller. Il fallait qu’elle suce, c’était une urgence. Nous ne pouvions pas attendre.En fait, nos rapports n’étaient pas si passionnels. Nous avions envie de baiser, c’est canlı bahis siteleri tout. Katharina était excitée de se voir jouer ce rôle de la vieille salope mariée qui se prend une giclée dans la chatte à la barbe de son mari.Ses fesses étaient jolies, satinées, mais molles. Ses seins tombaient tristement. Ses expressions involontairement mélancoliques tranchaient de manière excitante avec la vulgarité laquée des combinaisons en latex, des bustiers cochons que je lui faisais porter. Lorsque je l’avais pénétrée, ma grosse bite était la seule chose ferme et dure qui pulsait dans son corps.J’aimais la voir s’enfoncer un gode, les cuisses écartées sur mon canapé, tandis que je me masturbais debout, face à elle. Nous échangions des regards brûlants, retardant autant que possible le moment où je m’approcherais, tendant mon membre à ses lèvres fardées.Mais je n’étais pas suffisamment attiré par elle pour avoir envie de la lécher, moi qui pouvait bouffer certaines chattes avec frénésie. Elle mouillait beaucoup, la salope. J’imagine que son mari devait la sauter très régulièrement. C’était un chaud lapin, elle me le disait. Néanmoins, elle goûtait la nouveauté de ma grosse bite qui lui causait à chaque fois une délicieuse surprise, lorsque je posait ses longues jambes sur mes épaules, en pointant le bout sur le jardinet coquettement taillé de sa vulve.Après l’avoir minée assez longtemps, je commençais à débander. Elle n’était pas assez serrée, canlı bahis et je devais la retourner, solution toujours utile, pour la fourrer avec plus de sensation. Katharina en levrette était plus jouissive que Katharina en missionnaire.Le gros membre assez foncé faisait merveille entre les deux fesses blanches, tristes et molles, dont la vulve, gavée de bite, pleurait toute sa mouille.Comme elle était souple, je lui avait demandé une fois de se pencher en avant, debout, les jambes écartées. J’avais saisi ses hanches satinées, et debout, moi aussi, je la limais comme un ouvrier en plein forage.Après nos séances dans notre groupe, elle me raccompagnait à la gare dans sa petite voiture. Nous n’avions pas beaucoup de temps. elle se garait dans un chemin discret, derrière une sorte d’entrepôt. Je sortais alors ma queue pour qu’elle me suce, ce qu’elle faisait volontiers. Comme nous ne voulions pas faire de taches, je me branlais dans un préservatif, tandis que Katharina glissait sa langue de pute sur mes couilles. Le chatouillement provoqué par la langue de la vielle bourgeoise sur mes bourses accélérait la montée furieuse de ma semence. Je ne tardais pas à gicler délicieusement, avec la tête de Katharina couchée sur mes cuisses, Katharina ne bougeant que sa langue.Après un dernier baiser, je lui disais au revoir. Je prenais mon train. Aux toilettes, je me savonnais la queue, et non sans attendrissement, retrouvait sur mes couilles les traces humides de la salive de Katharina. Au même moment, elle devait être rentrée chez elle, embrassait peut-être son mari, qui ne se doutait pas que cette bouche qui lui parlait venait de faire jouir un homme en lui gobant les couilles.

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