Mon ExMon Ex

Amateur

J’ai passé les trois heures du voyage en TGV dans le wagon restaurant, assis sur le bord d’un tabouret. La journée va être longue et compliquée par la grâce de ma Femme. Ce matin avant de partir j’ai eu droit à un lavement de 3 litres en règle, répété jusqu’à ce qu’il soit nickel. A 6 heures du matin c’est un peu violent, mais ce n’est pas comme si je n’avais pas l’habitude. Je dois partir travailler toute la journée près de Marseille pour l’entreprise que dirige mon ex et ma Femme a imaginé pimenter un peu les choses.

Non qu’Elle soit jalouse, Elle sait qu’Elle me possède pleinement, mais par goût du jeu et perversion. Comme il est prévu que je passe la nuit dans la maison de mon ex, Elle veut être certaine que je pense à Elle. Ceci dit Elle n’a pas tort, nous pouvons être très bavards.

Je ne suis guère surpris de Son choix pour la cage de chasteté, malheureusement. C’est la plus petite en métal, agrémentée de dents acérées, je vais souffrir à chaque instant. La cage est maintenue plaquée contre mon pubis par une chaîne autour de la taille et une autre qui passe entre mes fesses. Elle enfonce dans mon cul lubrifié abondamment par du silicone, un gode en métal que j’adore autant que je redoute : sa taille est celle d’un très gros sexe, mais fortement évasé à la base. Ainsi il est plutôt confortable (j’aime être enculé surtout par un objet bien rigide) et quand je m’assois il vient dilater mon cul de façon démesurée et je me sens complètement ouvert et défoncé.

Je vais devoir le porter ainsi jusqu’à mon retour demain matin, cela va être terrible. J’ai une clé de secours, mais pas question de l’utiliser sans ordre de ma Propriétaire ! C’est assez rare que je sois ainsi contraint quand je travaille. Et cela m’excite et m’humilie à l’avance. Cela étant je doute de ma productivité et surtout de ma valeur ajoutée.

A genoux devant Elle avant de partir, je présente mon torse à ses doigts agiles. Les barrettes de mes tétons laissent la place à de lourds cadenas que nous adorons tous les deux, mais que je n’ai jamais portés en public. Je n’ose exprimer ma gêne : je vais devoir garder ma veste sinon ils se verront à coup sûr. Et le risque que mon ex les découvre est très fort. Je sens tout de suite le poids qui tire ma poitrine, et mon sexe, qui voudrait bander de cette excitation supplémentaire. Il ne fait que se blesser aux dents de sa cage. Il est temps que je termine de mettre mon costume et que j’attrape mon taxi. C’est certain cette journée va être longue.

Avant de partir, une dernière instruction de ma Femme, les yeux brillants, me donne à réfléchir pendant tout le trajet : je dois acquiescer à toutes les propositions de mon ex et réaliser toutes ses demandes. Me suis-je mis sans le vouloir dans un piège terrible? Déjà je suis incapable de réfléchir, submergé des émotions de mon corps.

L’intensité de la journée ne m’a pas permis d’oublier les contraintes de plus en plus présentes. Au moins le temps est passé très vite et nous roulons en direction de la nouvelle maison de mon ex. Le paysage est splendide et la sensation, assis dans le fauteuil de la voiture serait très excitante dans d’autres circonstances : le gode est complètement entré et m’écarte le cul comme jamais. Je pourrais en jouir en quelques secondes. Là j’ai surtout envie et besoin de gémir, de me mettre à 4 pattes.

Mon ex me propose d’enlever ma veste. Ma première réaction est de refuser puis je me souviens de ma dernière instruction et j’obéis à sa suggestion. Je comprends toute la perversité de l’ordre reçu de ma Maîtresse. Conduisant elle ne voit rien de mes cadenas pourtant déformant ma chemise blanche. Nous parlons pendant toute l’heure du trajet, ayant tellement de sujets en commun.

C’est en sortant de la voiture qu’elle voit mes cadenas et sa mâchoire se décroche. Je comprends alors qu’il n’y a pas de plan machiavélique de ma Femme, qu’Elle a juste voulu jouer et m’humilier. Et c’est réussi. Je rougis violemment. J’ai eu des relations SM avec mon ex, ce n’est pas un perdreau de l’année. Mais je l’ai longuement dominée et elle ne m’a dominé que quelques mois, ne prenant pas de goût à la chose. Elle sait bien entendu que je continue avec ma femme mais ne s’attendait pas du tout à ce que je sois ainsi aussi esclave et aussi impudique. Je la vois vraiment surprise et quand elle me demande de plus me montrer, je n’ai d’autre choix que de lui obéir. J’enlève ma chemise et sa stupéfaction comme mon humiliation ne font que croître.

Si elle peut bien voir maintenant mes tétons traversés de ces cadenas épais, elle découvre aussi le tatouage que j’ai sur le torse : une dame de pique avec la mention explicite de mon esclavage. Après un temps je la vois qui se met à rire. Me connaissant, elle sait que je vais à fond dans tout ce que je fais et trouve très drôle que le male alpha qu’elle a épousé se retrouve totalement asservi par une jeune petite brune qui le mène à la baguette. Elle me dit de me rhabiller et nous rentrons enfin dans sa superbe maison perdue dans les collines. Elle est déjà passée à autre çankaya escort chose. C’est l’avantage de mon ex qui d’abord est très tolérante, mais ensuite ne s’intéresse pas assez aux autres, moi y compris, pour chercher à creuser ou aller plus loin. J’ai quand même plus de mal dans la conversation ensuite.

Je m’installe dans la chambre d’ami et elle me propose d’aller prendre un bain dans la piscine. J’en meurs d’envie mais je comprends là toute la perversité de ma femme : je n’ai pas de maillot de bain et je ne peux refuser suivant Ses instructions. L’excuse de l’absence de maillot de bain est vite balayée, elle ne se baignant que nue dans sa piscine, je ferai pareil ! Cela fait bientôt 7 ans que je ne l’ai vue nue et cela fait remonter de nombreux souvenirs. Non pas que je puisse la désirer, tout cela est derrière nous, mais elle a pris du poids, beaucoup, et cela lui va bien. Sans aucun doute cela lui donne une stature dans son rôle de DG. Et ses seins, déjà magnifiques, sont de véritables obus fascinants. Sans me regarder elle plonge dans l’eau et ce n’est qu’en ressortant la tête qu’elle me découvre ainsi cadenassé. Cette fois-ci j’ai le droit à une remarque :

– J’aurais du me douter, mais là quand même c’est vraiment poussé. Tu n’as plus de sexe?

– La cage est vraiment petite, c’est vrai, mais si mon sexe est toujours là !

– C’est parce que ta femme n’a pas confiance?

– Oh si, je crois qu’Elle avait très envie de m’humilier.

– Je dois avouer que tu es pathétique ainsi, vraiment Et tourne-toi, montre-moi. Ah oui tu dois bien morfler de toute la journée.

– Oui en effet. Tu es choquée? Je suis désolé, tu sais ce n’est pas ma faute.

– Oh tu sais après toutes ces années avec toi et ce que tu m’as fait vivre, difficile d’être choquée. Plutôt amusée de te voir traité aussi bas comme une lopette toi qui te prenait pour un male alpha ! En fait elle a eu raison, comme cela je vois vraiment ce que tu es !

– Je ne sais pas quoi te dire.

– Plonge et vient nager, cela devrait un peu te soulager. Cela étant l’ensemble est saisissant et avec le poids qu’elle t’a fait perdre tu fais une très belle salope ainsi !

Curieusement, ce mot de salope me surprend dans sa bouche. Si nous avons pratiqué un sm extrême, elle est restée toujours pure et sans perversion. La souffrance et la contrainte étaient chez elle un besoin loin de toute perversité sexuelle. Et loin de tous clichés.

Sur la terrasse nous en sommes à notre deuxième apéritif, la nuit est splendide, je la sens pensive.

– Dis-moi, si tu avais aussi honte de paraître ainsi devant moi, pourquoi l’avoir fait? Cela t’excite?

– Non, je craindrais trop de contrarier notre relation. Elle est importante pour moi. C’est simplement que j’ai eu l’instruction de ma Femme de répondre à toutes tes demandes positivement quelles qu’elles soient.

– Quoi que je demande? Elle me regarde amusée.

– Eh oui quoi que tu demandes.

– Je veux que tu sautes sur un pied. Sans hésiter, je me lève et je saute sur un pied. Mes piercings rythment le saut et la sensation dans mon cul est à la limite entre l’insupportable et l’excitant.

– Rassieds-toi. Oh plutôt non, mets-toi nu, et à genoux, tu connais la position !

Les choses se compliquent. Je me déshabille et me mets les cuisses écartées, les paumes vers le plafond, la tête baissée. Je n’aime pas du tout la tournure que prend la situation tandis qu’elle se concentre sur son mobile. Je n’ai guère de doute avec qui elle échange actuellement. La tête me tourne avec l’alcool et je suis quand même excité de la situation. Je découvre que j’ai en fait toujours envie de mon ex, et que la voir ainsi fait naître plein de désirs.

Elle revient après s’être absentée un court instant, portant une valise. Je n’ose relever la tête la situation me met quand même mal à l’aise. Elle me tend une paire de bas et un corset noir :

– On va te faire toute jolie. Je me souviens que tu aimais bien cela, être en fille. Cela te rend encore plus ridicule à mes yeux. Qu’est-ce que tu peux être pathétique. Je rougis, et j’ai envie de pleurer, car je sais qu’elle dit ce qu’elle pense et venant d’elle c’est très compliqué pour moi de le supporter.

– Finalement c’est quand même étrange la vie. Tu vois je me faisais la réflexion ces dernières semaines que je n’avais pas fait le deuil de notre relation. Nous avons repris nos échanges de façon intense comme si tout allait bien entre nous, mais ce n’est pas le cas. Je t’en veux de ce que tu m’as fait vivre. Bien entendu toutes les pratiques dingues que tu adores, mais aussi de me planter après avoir soi-disant tout essayé. Je crois qu’en fait mon erreur est de n’avoir pas compris qui tu étais. Je pensais que dans la soumission tu voulais t’élever vers la pureté, mais ce n’est pas possible avec toi. Tu es juste une salope qui ne pense qu’à elle et son plaisir, et j’ai été bien trop gentille. J’aurais pu en profiter bien plus. Mais à l’époque j’étais encore cebeci escort illusionnée, et je crois que ce soir tu as fini de m’éclairer.

Tout en parlant, elle me serre le corset autour de la taille. C’est un corset féminin et la tension sur ma taille est très violente. D’autant qu’elle s’amuse à serrer, serrer et encore serrer comme si cela ne lui suffisait plus. J’aime cette sensation, à la fois d’être tenu, mais aussi de sentir son envie, son désir de me contraindre. Son souffle dans mon cou, ses mains sur mon dos. Je ne dis rien, je me laisse faire, j’écoute et je m’enfonce dans une humiliation que je n’ai jamais ressentie de ma vie. Mes pensées sont totalement bloquées, je suis empoisonné peu à peu par tous ses mots.

– Voilà tu es bien plus belle ainsi même si ta Femme a réussi à te faire perdre bien du poids. J’attache tes bas, tu adores quand j’en porte n’est-ce-pas, mais quelle contrainte. Hélas mes chaussures sont trop petites pour toi, impossible de te les mettre, mais cela aurait été bien de comprimer tes pieds de salope.

Je sais qu’elle a bu, jamais elle ne parlerait ainsi. Mais même ivre cela me choque, ce n’est tellement pas ce que je connais d’elle. Mes mains sont menottées dans le dos, c’est inconfortable les menottes me font mal. Les pieds subissent la même chose mais avec une barre pour les écarter de près de 1 mètre. Elle a plein de matériel dans sa valise à jeux apparemment. Je la vois boire à nouveau.

– Quand tu es parti, j’ai essayé de retrouver ces sensations avec d’autres hommes, mais c’était vraiment impossible. Alors j’ai trouvé le meilleur Maître du Monde, c’est moi. Je me domine moi-même, j’exsude ma rage et ma violence en me torturant. Ici je suis tranquille, je peux hurler de douleur comme je veux. Et aucun Maître n’est plus strict que je ne peux l’être. Mais si je retourne cette violence vers moi, je réalise ce soir que c’est à défaut de la retourner vers toi. Et tu viens de toi-même t’offrir pour quelques jours ! Quelle coïncidence inouïe. Ah oui quelques jours, ta femme m’a donné deux jours si je voulais. Et non pas juste cette nuit. Je crois qu’elle ne réalise pas comme j’ai changé. Certes tu lui appartiens mais pendant ces deux jours j’ai carte blanche. Je n’ai aucune limite d’aucune sorte.

Je n’ai rien à répondre, sinon qu’elle commence à vraiment me faire peur. Elle n’est pas dans la demi-mesure. Je suis certain que ma femme ne pensait pas mon ex avec autant de colère contre moi. Moi non plus ! Je n’ai plus rien à dire puisque le gros bâillon boule vient me remplir la bouche, il est serré si fort que j’ai déjà mal à la mâchoire.

– Tu sais je me souviens de tout ce que tu m’as fait subir. Et je ne t’en aurais pas voulu, au contraire je t’aurais remercié si tu ne m’avais pas laissée. Notre histoire c’était pour la vie. Ce ne sera pas la même chose puisque je n’ai que deux jours, et c’est court pour te briser. Mais c’est aussi très long. N’espère pas de petites séances et on papote après : je suis plutôt adepte des longues séances de torture qui s’enchaînent sans aucun répit, sommeil ou réconfort. Quand je pense ce que je te faisais subir pendant les quelques mois où tu t’es soumis à moi, j’ai été vraiment conne. J’aurais pu te briser comme tu me le demandais, mais bon. Je grandis ! Et là ce soir je sens un truc vraiment nouveau en moi, comme une mutation ! A 38 ans c’est un beau cadeau que me fait ta Maîtresse.

Un collier serré autour du cou, très serré même, je sens le sang monter au visage. Décidément elle fait tout très fort et je suis déjà très mal. Elle me tire par l’anneau du collier pour m’amener sous la pergola où plusieurs anneaux sont fixés aussi bien au sol qu’au plafond. Je marche à très petits pas, gêné par la barre d’écartement qui tire sur mes cuisses. Le plug en moi est insupportable et je ne peux plus rien faire pour me soulager. C’est ici qu’elle doit aimer jouer et faire de l’auto-bondage?

Je ne sais pas ce qu’elle a en tête mais je suis incapable de réfléchir, dans ces situations je suis totalement passif et obéissant. C’est ma nature. Une poulie est fixée à une poutre en hauteur, une courte corde passe par l’œillet et mes bras sont tirés dans mon dos, me forçant à me pencher en avant pour soulager la tension dans les épaules. Evidemment elle continue à tirer dessus, décollant mes bras du dos, tandis que j’ai du mal à garder mon équilibre, les pieds toujours tenus par la barre d’écartement.

– C’est bien ainsi que j’avais envie de te voir, le dos bien droit, les cuisses tendues et écartées, tu dois déjà sentir que cela tire. Et tes bras, mmmhhh cela m’excite de sentir comme tu dois être mal ainsi. Tu vas voir tu vas bien en profiter, tu t’en souviendras. Tu te souviens, tu voulais que je me souvienne de toutes tes punitions, et bien là tu vas t’en souvenir toute ta vie. Et bonne nouvelle, je vais pouvoir jouer avec ce que tu as de plus précieux, j’ai de beaux projets. Ton inconsciente de femme m’a indiqué où étaient les clés de secours et que je pouvais çukurambar escort en jouer comme je voulais. J’ai plein d’idées.

Elle fait le tour et vient se caresser devant moi, je la vois en effet trempée de ce que je subis. Malgré les douleurs atroces et ma respiration difficile, je la trouve très excitante jusqu’à ce qu’elle me colle son pubis sous le nez :

– Et là tu vois mon sexe ma salope? Tu le vois? Sa voix se fait stridente. Comment veux-tu que j’explique à mes amants les initiales que tu as tatouées là après m’avoir fait intégralement épiler? Et encore j’ai pu enlever les énormes anneaux que tu me faisais porter ! Tu marques mon sexe et puis tu me largues et tu penses qu’on va rester amis?!? Tu me diras dans deux jours si tu veux toujours qu’on soit amis. Enfin si tu arrives à parler. Tu n’as pas idée comme je t’en veux, et te voir là offerte, comme une pute, une vraie pute à chantier je suis certaine que cela t’exciterait. Mais là j’ai d’autres projets.

Je suis horriblement mal et je transpire d’angoisse. Je voudrais pouvoir bouger pour soulager mes mains ou mes bras mais cela n’est simplement pas possible. Je pleure silencieusement ce qui ne provoque qu’une salve de gifles douloureuses et violentes. Cela ne s’arrête plus c’est terrible, car je dois maintenir mon équilibre au risque de me disloquer les bras. La torture ne s’arrête pourtant pas là. Mes cadenas de tétons pendant bien tandis que mon dos est à l’horizontale. A chacun elle accroche des poids de 2 Kg ! Je n’en reviens pas, elle est folle et va tout arracher.

– Tu vas voir cela tient très bien, je les porte parfois ainsi avec des aiguilles dans les tétons. Mais je crois que c’est fini ce temp- là. Je préfère te mettre les aiguilles et les poids, aucune raison que je me punisse de toutes tes turpitudes. On dirait que tu m’offres une thérapie accélérée. Bon c’est vrai moi je les supporte une dizaine de minutes, toi je ne sais pas encore mais ce sera considérablement plus. C’est dingue comme cela me fait du bien de te voir ainsi, et je crois que je n’ai jamais été aussi excitée. C’est prodigieux. Et regarde la jolie badine que j’ai. Tu aimais beaucoup l’utiliser je crois. La recevoir c’est pas mal tu vas voir

Et j’ai vu. Par chance mon dos était inaccessible, mes fesses et cuisses étaient cependant un premier choix. Tout en me flagellant, elle se caressait et marqua plusieurs pauses après des râles de jouissance que je n’avais jamais entendus chez elle. Les coups pleuvaient mais avec bonheur je me sentis partir et décoller. J’aurais voulu que cela ne cesse jamais et d’une certaine façon je fus exaucé tant cela dura longtemps. J’étais même excité dans ma petite cage me torturant le sexe, elle se masturba même avec le sang qui coulait de mes fesses massacrées. Elle partit sans un mot, me laissant dans d’intenses souffrances, ayant l’impression que mes tétons allaient s’arracher. La nuit était tombée et je ne savais plus quoi faire pour moins souffrir, paniqué à l’idée d’arracher mes épaules dans cette position instable.

J’entends le bruit d’un plongeon, elle se baigne tout en me laissant souffrir dans mon coin. Je me sens totalement humilié et anéanti. Elle vient dans mon champ de vision nue, dégoulinante, sublime il est vrai. Je sens une détermination que je ne connaissais pas, et curieusement moins d’égocentrisme chez elle, j’ai l’impression que détourner sa violence vers moi l’ouvre du coup. En tous cas elle n’a jamais été aussi tournée vers moi qu’à ce moment. Pour mon malheur.

– Je te laisserai bien ainsi toute la nuit, mais je crois que ce n’est pas raisonnable, j’ai une autre idée plus amusante.

Elle ouvre le cadenas de ma cage, libérant mon sexe qui jaillit comme un diable en boite. J’en suis gêné. Le plug est aussi retiré, j’espère qu’il est resté bien propre, mais sans réaction de sa part, je suppose que oui. La sensation est incroyable, le soulagement intense est vite remplacé par une sensation de manque. Enfin la corde tirant mes bras en arrière est desserrée et le soulagement me fait tressaillir malgré la souffrance atroce de mes épaules. Je me redresse péniblement, les tétons toujours arrachés par les poids de 2 kg qui déforment mon torse.

Chaque mouvement est une souffrance. Les menottes sont détachées et vite rattachées devant, mis à genoux les mains attachées à un anneau au sol me forçant à rester à 4 pattes. Heureusement les poids reposent à terre et mes tétons sont soulagés. Je respire à nouveau, même si le corset me fait vraiment mal, je n’y pense que maintenant que les autres tortures ont disparues. Elle noue une cordelette à la base de mon prépuce, serrant comme une malade, avant de tirer sur l’autre bout et l’accrocher tendue à l’anneau de mes mains. La tension est faible et j’en suis soulagé, pour une fois qu’elle n’exagère pas !

Je suis naïf : elle sert autour de mes couilles un collier, fort pour qu’elles ne s’échappent pas. Une corde passée dans un œillet et mes couilles sont tirées vers le haut. Tellement fort que je me retrouve à lever les genoux et les fesses autant que possible. Je suis amené à lever les bras et écarter les mains pour garder mon équilibre au risque d’être suspendu par mes précieuses testicules. La position est grotesque, je tente de lever les fesses le plus possible, tendant à moitié les poids sur mes tétons déjà à vifs. Je hurle silencieusement dans le bâillon.

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