L’ouvrière Soumise Ch. 02L’ouvrière Soumise Ch. 02

Asian

Le piège se referme.

Trois semaines se sont écoulé depuis l’incident des pneus crevés, je trouve une enveloppe glissée dans mon vestiaire. C’est Marcel qui me demande de passer chez lui, à dix-sept heures, en sortant du travail. Il prétexte que j’aurais oublié quelque chose la dernière fois.

Je suis devant la porte de l’appartement de Marcel, je me décide à sonner.

– Entre, Nicole, c’est ouvert. Dépêche-toi! Dit une forte voie derrière la porte.

J’ouvre la porte sur le couloir où je ne vois personne.

Les jambes tremblantes et l’angoisse au cœur, j’avance vers la pièce éclairée. Il est là, assis dans un fauteuil, avec des yeux inquisiteurs et un regard sombre, dur et inquiétant.

La voix de Marcel, autoritaire et sans réplique retentit.

– Avance au milieu de la pièce, tiens-toi droite et écoute sans rien dire!

– Écoutez, je…

– Tais-toi! J’ai des photos de toi très édifiantes que j’ai prise lorsque tu es venu boire un perrier qui t’a excitée et rendu disons… Bien docile!

Tu vas être ma maîtresse, mon jouet sexuel ma petite Nicole. Je veux profiter pleinement de ta personne, je ferais de toi ma pute, tu comprends?

Je rougis violemment, incapable de soutenir son regard vicieux. J’aurais dû m’enfuir, mais je reste là, flageolante, à écouter ces propos insensés.

– Je désire t’entendre dire oui!

Il me dit que si je refuse, je recevrai des photos au travail, ne sachant pas qui allait ouvrir l’ordinateur et si ça ne suffit pas, mon mari, mes enfants et nos amis seront conviés à connaître mes talents cachés! Paniquée et ne sachant que faire, je me mets à pleurer en le suppliant de ne pas faire ça, et que je ferais ce qu’il me demandera même si dans ma tête tout va très vite, car je me doute qu’il n’y aura aucune limite!

C’est la fin de l’épouse modèle, il me fait passer à l’esclave soumise et avilie, me voila partie dans la déchéance la plus totale.

– Oui.

– Oui qui?

– Oui Monsieur.

– C’est mieux, ça… Tu m’appelleras Marcel, tu promets de m’obéir?

– Je vous le promets, que je lui réponds des sanglots dans la voix. Mais promettez-moi de me rendre les photos.

– Évidemment! Si tu m’obéis, personne ne les regardera. D’accord?

Je commence à imaginer ce qu’il va exiger de moi. A la façon de me déshabiller du regard, je ne peux me tromper sur ses intentions. Une bouffée de chaleur me monte à la tête.

– Oui!! Marcel, je suis d’accord…

– Bien, déshabille-toi!

Je souffle bruyamment, désespérée et résignée. Devant lui, par contre, sans le regarder, j’ôte ma veste, puis dégrafe sa jupe que je fais glisser, dévoilant mes jambes.

Je dégrafe mon corsage et me retrouve en soutien-gorge.

Je passe mes mains dans mon dos pour dégrafer le sous-vêtement. Mes seins encore fermes apparaissent, projetés en avant par mon attitude, les pointes érigées, à ma grande honte.

– Sensibles, ces seins! Ne bouge plus, que j’admire. Tire-toi les pointes, que je vois l’effet…

Je me mords la lèvre, porte mes mains à mes seins. Sous le pincement, je les sens se gonfler malgré moi. Les pointes étirées durcissent sous mes doigts. J’ai beau essayer de me maîtriser, mais je ne peux rien empêcher. Mon corps me trahit.

– Tire plus fort, qu’ils soient bien à l’horizontale!

– Vers le haut maintenant!

– Ne fait pas semblant de pincer, écrase-les biens sous tes doigts, sinon c’est moi qui vais les pincer, et là tu verras la différence.

Les larmes aux yeux, serrant les dents, j’obéis. Mes seins étirés vers le plafond me font mal, mais comment ne pas obéir, la menace est importante.

– Reste comme ça, je te dirai lorsque tu pourras arrêter.

Marcel reste ainsi plusieurs minutes à me dévisager et à profiter du spectacle.

J’ai des difficultés à rester ainsi, la douleur est de plus en plus lancinante. Enfin, Marcel se décide.

– Le slip maintenant!

Maladroitement, j’ôte mon slip qui rejoint les autres vêtements par terre. Mes seins me lancent, mais au point où j’en suis, je me sens capable de tout accepter.

Je n’ai plus que mes chaussures. Je croise mes mains sur mon pubis pour cacher mon sexe.

– Tu vois, ce n’est pas difficile. Mets donc tes mains sur la tête!

Je n’ai pas la force de résister. J’obéis sans réagir à ces ordres, je m’exécute.

Je suis nue, offerte. Mes bras levés me cambrent. Mon ventre et mes seins sont exposés sans pudeur. Les larmes aux yeux, je serre mes cuisses.

– C’est fini, cette attitude de mère, la pudeur? Tiens-toi bien droite, jambes écartées, mains dans le dos! Allez, obéis!

Résignée, je prends la pose indiquée.

– Voilà, c’est ça, comme une femme sans pudeur, que ça excite de s’exhiber à poil. Je n’ai pas raison?

J’hésite. Il répète sèchement :

– Ce n’est pas vrai, madame Nicole l’hypocrite? L’autre jour tu te donnais sans retenue!

– Oui!… Oui! Marcel!

– Je parie que tu es mouillée!

Il s’approche et se penche, ouvre mes lèvres intimes.

– Ta grotte est toute brillante! Montre-moi mieux ton mamak escort trou à jouir!

J’obéis, hoquetant de honte. Il a raison, mon ventre s’alourdit, une humidité impossible à cacher qui ramollit mes chairs. Et mes tétons dardent.

Debout, jambes bien écartées, je dois me pencher en avant, m’écarter les fesses à deux mains, exhibant la porte du jardin secret de mon ventre. Il vient me mettre un doigt dans l’anus.

-Tu vas te masturber!! Je veux t’entendre jouir.

-Je fais non de la tête. C’est au-dessus de mes forces. Il vient vers moi et me donne une claque retentissante sur la joue. Je vacille, le souffle coupé, tremblante de peur. Je ferme les yeux, il y a longtemps que je n’ai plus fait ça. Je suis folle de lui obéir comme ça.

Je fais alors ce qu’il exige, je me caresse , je masse mes lèvres intime avec deux doigts et masse du pouce mon clitoris dresser d’excitation, je commence à me masturber Au bout d’un moment, des frissons parcourent son corps. Je suis trempé. Je mets plusieurs minutes avant de me cabrer par le plaisir qui monte dans mon ventre.

– HUMMM!!! OOHH!!HUUMM….. .HUMMMM…… AHHHH. AHHHHHHH!!!

Je jouis les cuisses écartées.

Marcel vient coller ses lèvres sur ma bouche. Privée de volonté, je me résigne à la suite, en lui livrant docilement ma bouche. Je me laisse fouiller par sa langue agile. J’enfonce ma langue à mon tour, pour mimer un baiser passionné. Je me répète que je suis contrainte, mais mon corps réagit. Cela empire quand il me touche, palpe ses seins, mon ventre, mon cul… Je frissonne et ravale mes sanglots.

-Tu as de très beaux seins comme je les aime, bien lourd et pas trop gros! Je t’ai souvent reluqué au boulot. Dit-il en me les caressant.

Sa bouche vient gober un téton qu’il aspire, il pointe sous la succion, il le mordille en pétrissant l’autre sein, puis fait de même avec l’autre, malgré mon désarroi, je sens mon sexe s’humidifier encore plus. Je m’en veux d’être excitée par cette situation de soumission.

Sa bouche en petits baisers descend le long de mon ventre, ses mains descendent en me caressant le dos, je frissonne involontairement sous la caresse. Il s’accroupit devant mon pubis.

Sa langue me lèche de bas en haut en écartant mes grandes lèvres pour atteindre mon clitoris

qu’il fouette avec le bout de sa langue puis le pince avec ses lèvres, il durcit je le sens.

J’ai du mal à retenir un petit cri de plaisir qu’il me procure avec sa langue.

En se redressant il me pousse sur le bord du canapé, je me retrouve assise, la tête au niveau de son ventre.

Il ouvre son pantalon, baisse son slip d’où jaillit un sexe en érection de belle taille. Marcel passe ses mains derrière ma tête qu’il attire sur sa queue pour que je le gobe.

-Allez va y prend là dans ta bouche, ne me dit pas que tu n’as jamais une fellation à ton mari.

Le gland sur mes lèvres fermées, Marcel pousse ma tête en avant.

-Ouvre sinon! La menace claque comme un coup de fouet.

Ma bouche est à peine ouverte, que d’un coup de rein son gland vient cogner au fond de ma gorge, le nez dans ces poils pubien qui sentent fort, j’ai un hoquet à en vomir.

Ma tête entre ses mains va et vient sur sa bite à sa cadence, je salive énormément.

-Salope! Ta bouche est bonne, entoure ta langue autour du gland, masse moi les burnes.

La chaleur de ses mains dans mes cheveux, ses mots crus me font du bien.

Il savoure ma fellation quelques instants, puis me pousse en arrière, je tombe allongé sur le canapé les pieds au sol, il finit d’enlever son pantalon et son slip.

-Recule toi un peu, écarte les cuisses. Dit il sur un ton sec. Mes pieds quittent le sol en laissant tomber mes escarpins.

-Vous ne mettez pas une capote?

-N’ai crainte, je suis sain, je ne vais pas voir ailleurs, tu es la seule depuis bien trop longtemps.

Il se lève et positionne sa bite à l’entrée de mon vagin. Il se penche en avant et s’avance, frotte sa bite dans l’entrée de ma chatte, il enfonce d’un seul coup sa bite profondément dans mon puits d’amour.

Surprise, je pousse un cri.

– AAAAAHHH!

J’en ai le souffle coupé : je ne m’attendais pas à ça. Son sexe m’emplit sans difficulté.

C’est la deuxième fois qu’un autre sexe que celui de mon mari me pénètre. Je n’ai pas le temps de culpabiliser, car le plaisir monte dans mon ventre, je me trémousse d’avant en arrière et de droite à gauche.

Je vibre de plaisir à sentir cette grosse queue qui de nouveau remplit ma grotte affamée. Je jette ma tête en arrière, je me laisse baiser en souhaitant que ça dure le plus longtemps possible. La bite de Marcel ramone bien mon vagin et je sens de nouveau le plaisir qui monte dans mon corps.

Il ne faut pas longtemps avant que Marcel gémisse et, agrippé à mes seins, sa queue commence à décharger son sperme dans ma chatte qui palpite.

Les yeux fermés, je jouis aussi en enserrant sa taille avec mes jambes.

Marcel me regarde avec un sourire de mâle dominant.

-Toi tu as ofise gelen escort pris ton pied, je le savais que tu aime ça!

Malheureusement il a raison, j’ai joui, je me dégoûte d’être aussi vulnérable.

Nous roulons sur le côté, toujours soudé ensemble, il me caresse le dos, les fesses tendrement

une main vient entre celle-ci pour masser ma corolle brune avec le jus qui déborde de ma grotte. Il veut y introduire un doigt, je sers les fesses et mon cul.

-Non pas par là!

-Tu es encore vierge de ce côté-là?

Oui je suis vierge de ce côté là , j’ai toujours refusé les demandes de mon mari.

Il débande maintenant, il se retire en me disant.

-Ne bouge pas, reste allongé, tu es bien là, nous avons encore le temps.

Je le vois farfouiller dans un sac qui est au pied du canapé, que peut-il chercher?

Je suis sur le dos, il se place à mon côté et commence à me caresser les seins, le ventre

puis il descend sur mon sexe, ses doigts s’activent sur mon petit bouton, qu’il a décalotté de deux doigts, tandis que son autre main me caresse la vulve.

Je me laisse entièrement aller sous ses caresses, mon sexe s’ouvre sous ses doigts agiles et précis. Deux doigts pénètrent mon sexe gluant, tandis qu’un de ses pouces me masse l’anus.

Je suis tellement mouillée et excitée, que mon amant juge bon de joindre un troisième doigt aux deux premiers qui sont déjà dans ma grotte, je fais entendre mon consentement par un gémissement. Ces caresses me mettent dans un état second, je suis déjà prête à jouir sous ses doigts, mon sexe est en feu.

Il se retourne avec dans une main un pénis! Un gode! Un gode de belle taille, probablement un peu plus gros que son sexe en érection.

Il prend aussi une télécommande et je comprends que c’est un gode vibrant.

– Marcel! C’est quoi! Ça!

– Nicole, tu sais quand même ce que c’est! T’es plus une gamine!

– Bien sûr que je le sais! Mais je préfère un vrai sexe à un truc comme ça que je n’ai jamais utilisée.

Il se positionne à mon côté et une de ses mains écarte encore plus une de mes cuisses pendant que l’autre main caresse mon sexe. Son doigt tourne autour de mon pubis puis passe le long de ma fente. En remontant, son doigt écarte mes grandes lèvres encore humides par notre précédente copulation.

Je me retiens de ne pas gémir encore sous son doigt inquisiteur qui maintenant a passé les petites lèvres. Ensuite ce sont deux doigts qui écartent mes lèvres.

– OO! OHH! La belle petite grotte bien ouverte! Elle a envie de se faire visiter… De ce faire remplir par quelque chose?

Marcel vient de pousser la tête du gode entre mes lèvres intimes.

– Non! Pas avec ça!

J’essaye de bouger mon cul, cependant il enfonce un peu plus le gode et en remuant mes fesses, je sens encore plus ce faux sexe dans l’entrée de mon puits d’amour. D’un de ses doigts caresse le haut de ma chatte pour faire ressortir mon petit bouton de plaisir.

Il fait tourner le bout du gode dans ma grotte avant de le glisser sur mon clito sorti de son capuchon

– AAOUUUHH!

Il vient d’appuyer sur la télécommande et frotte mon clito avec le gode.

NOONNNN!MMMFFFF!

Il remet le gode dans ma chatte et je le sens pénétrer en moi.

Une de ses mains court sur mon ventre puis vient prendre un de mes seins pour le caresser. Et de nouveau cette vibration qui me fait sursauter, puis frissonner.

Il fait aller venir le gode en moi tout en le laissant vibrer et pince un de mes tétons tout dur.

– OOOUUUUUHHH!!…

– Tu vois que t’aime ça! Dis-le!

Il augmente la vitesse des vibrations

– OOUUAAAHH! MMOOUUIIIII…. C’est BONOOOON!

– Tu vois, ce n’est pas difficile d’être une salope.

Il fait aller venir le gode vibrant dans ma grotte comme s’il me baisait. Mais avec cette vibration du gland qui excite les parois de mon vagin, je sens que je ne vais pas tarder à jouir.

– OOUUUIIIIII… Encore… OOOOOOHHHH!

Il vient de retirer le gode de ma chatte en feu!

– Remets-le! N’arrête pas! Continue!

– Si tu le veux, il va falloir que tu le fasses toi-même.

Il se met à genoux à côté de moi, met le gode dans une de mes mains et m’ordonne.

– Fais-toi jouir, aller!

Voilà? Il désire que je me fasse jouir avec cette fausse bite. Assez réaliste, couleur chair, avec des renflements imitant des veines gorgées de sang, et un gland tout rose avec une fente au bout plus foncé et le tout sur une paire de deux belles boules.

-NOONN! Pas ça!!

Il prend ma main de libre pour la poser sur sa bite toute dure et m’ordonne.

– Fais ce que je te dis, salope! Et imagine que tu as deux belles bites à ta disposition!

C’est le déclic! Avec sous mes yeux, la queue de Marcel qui me traite de salope, je remets le gode dans ma chatte et j’en gémis de plaisir.

– MMMMFF! OOOOHHHH, OUUIIII!

– Branle-moi en même temps.

J’en oubliais presque son sexe dans ma main. Au même rythme, je branle sa queue et ma chatte. otele gelen escort Dans ma tête, c’est comme si deux hommes prenaient mon corps pour me soumettre à leurs désirs pervers.

– C’est bien! Pour tes débuts de salope ce n’est pas trop mal.

– Non! Je ne suis pas une salope!

– Si tu vas être ma salope personnelle. Alors baise toi avec cette belle bite, ça fera un beau film.

– NOONNN!! Pas de film!

Je dis non mais je suis terriblement excitée. J’ai chaud, ma grotte ressent avec plaisir cette chose qui la fouille en frémissant. Je l’enfonce le plus loin possible.

– Oui, c’est ça… baise toi bien… va y enfonce le bien au fond. Putain que t’es belle!

J’entends sa voix, mais je plane un peu, En fermant mes yeux, je sens un sexe qui remplit ma chatte et comme j’ai repris le sexe de Marcel dans une main, j’imagine qu’une autre bite me défonce ma chatte. Mon statut d’épouse fidèle s’envole à tire d’aile pour laisser place à la salope qu’il veut que je sois.

– AAAOOUUUUAAHHH!

Le salaud! Il fait varier les vitesses des vibrations avec la télécommande!

– C’est bon hein?

Je ne réponds pas.

-Je t’ai posé une question…

Dans une dernière rébellion, je crie.

– NOOOOONNN!!!

– Menteuse! Je vois ton ventre qui ondule sous des houles de plaisir. Tu es trempée! T’es une salope.

– Dis-le que tu es une salope! Dis-le, que tu es ma salope.

– Je… suis… une… salope.

– Plus fort!

Encore un petit coup de vibreur au maxi et je crie

– AAARRRGGGH… Je suis une salope!

– Voilà. Tu vois que tu peux! Enfonce-le bien! Ou bien? Retire-le si tu n’es pas une salope.

– OONNNN! Je suis une salope! Je vais jouir!

– Retire-le! C’est un ordre!

– Oh non! J’allais jouir!

– Suce-le!

– Quoi?

-Suce le, c’est un ordre

Il me regarde dans les yeux. Son regard est dur, il attend que j’obéisse.

Je pose le faux gland trempé de cyprine sur mes lèvres. Je sens ma chatte quand elle est en chaleur. Ça m’excite encore plus.

– Aller!! Suce.

Du bout de ma langue, je lèche le gland. Je trouve le goût si particulier du jus féminin.

– C’est bon, hein que c’est bon?

– MMMMFFFF!!!

Il vient de m’enfoncer au moins deux doigts dans ma chatte ouverte.

– C’est bien, ma petite salope. Tu commences à apprécier on dirait. Remet le dans ta chatte et fais toi jouir!

– Non! Pas encore avec ça!

– C’est un ordre. Obéie!

En femme obéissance, je réintroduis le gode dans ma grotte.

– Va y!! Enfonce-le bien.

Il n’a pas besoin de me le demander. Maintenant je suis une chienne en chaleur, j’ai besoin de me sentir pénétrer, je veux jouir.

Quand je l’ai bien en moi avec les fausses couilles qui caressent mon cul, il remet en route les vibrations et tout mon corps vibre sous cette incroyable sensation. Involontairement, mon corps se cambre et il augmente les vibrations.

– OOOOOOOOOOHHHH… OOUUIIII!

Mais dans un sursaut, je retire le gode vibrant de ma chatte. Quand il glisse dans mon vagin, c’est encore pire!

– AAARRGGGHH… Arrête salaud… viens baise moi…

– Patience… patience… Tu vas tout d’abord te faire jouir avec ce sexe que tu as en main. Imagine que c’est celui de… ton mari!

– Mais ça va pas? T’es un salaud!

– Peut-être, mais tu es ma salope… ne l’oublie pas, et tu m’obéis!

Je n’en reviens pas! Il me traite de salope et j’aime ça. Où est donc passée la bonne épouse??

Je replonge le gode dans ma chatte brûlante puis je le fais aller venir, en imaginant mon mari au-dessus de moi qui me baise en me traitant de grosse salope. Je suis sur le point de jouir quand Marcel prend ma main et me retire vivement le gode de ma chatte.

– Pas si vite! Dis-moi encore que t’aime ça aussi que tu es une grosse salope.

– OUIIII! J’aime ça! Je suis une salope! Mais remets-le-moi! Je veux jouir! Ou baise- moi! Fais ce que tu désires… Mais baise-moi!

Il m’arrache le gode de mes mains ensuite il m’empale violemment avec cette bite factice qui électrise mon corps

– Tiens salope! Prends ça dans ta chatte!

– AAAAHHH! OOUUIIIIII, plus fort! Défonce-moi! Fais-moi jouir!

Je gémis, je crie, quand il me défonce ma chatte avec cette bite en caoutchouc, mais si proche d’une vraie bite bien dure qui laboure ma chatte détrempée. Comme une folle, je le laisse martyriser ma chatte, je vais même au-devant de ce sexe qui électrise mon corps dans chacune de mes terminaisons nerveuses. Je hurle dès que mon orgasme explose dans ma tête et dans mon ventre.

– OOOOOOOOOOHHHH! OUIIIIIII…. AAARRRRRRRRRHH!

J’attrape sa main et je la bloque entre mes cuisses pour sentir le plus possible cette chose qui m’envoie des vagues de jouissance dans mon ventre et ma grotte. Ensuite, puisque mon orgasme s’atténue un peu, il appuie sur le bouton de la télécommande!

– OOOOOUUUUUUHHH! NOOOOOOONNNNN! Ça repart de plus belle! Je vais mourir!

– Arrête! Arrête! Pitié!

Marcel me laisse encore un peu gueuler et me tordre sous cet orgasme qui n’en finit pas.

-OOOHH… MMM… MF! OOOHH… Puis il retire le gode magique de ma chatte et me demande

-Tu veux que je te baise encore? Tu la réclames encore ma bite?

J’hésite un instant? Je m’avachis sur le canapé.

-Oh oui… Baise moi encore, vient me la mettre! Que je lui réponds excitée.

Bir yanıt yazın

E-posta adresiniz yayınlanmayacak. Gerekli alanlar * ile işaretlenmişlerdir