La Nouvelle InstitutriceLa Nouvelle Institutrice

Babes

Pendant des années, Anne, belle jeune femme de 27 ans, avait rêvé de mettre fin à sa carrière administrative qui ne la menait nulle part : passant de déceptions professionnelles en espoirs déchus, cette juriste de formation avait enfin eu une révélation : plutôt que de perdre son temps à traiter des dossiers poussiéreux concernant des clients âgés, souvent perdus dans les errements administratifs habituels, quoi de mieux que de retrouver une forme de dynamisme et de jeunesse en retournant vers la source de la vie : les enfants?

Sa nouvelle vie avait décidée. Mais elle allait prendre une orientation qu’elle ne soupçonnait pas encore…

En moins d’un an, elle avait passé le concours pour être institutrice et fait ses valises pour la ville rose, la ville des étudiants, jeune et animée où il faisait bon vivre! Elle avait été affectée à une école assez huppée où elle prendrait en charge une classe de CP : elle s’imaginait déjà apprendre à ces enfants à écrire, à compter… elle qui terminait sa trentaine, séparée depuis 2 ans d’un amour de 10 ans sans passion, duquel il ne restait rien, elle qui ne trouvait jamais le temps de rechercher un potentiel père pour ses enfants, accaparée par ses loisirs, le sport, les voyages et la découverte du monde… elle avait décidé de combler ce manque avec ces adorables petits bouts de choux… en attendant un jour de tomber sur l’homme de sa vie qui lui offrirait ce cadeau?

Se relaxant dans son nouveau chez elle, elle se sentait bien, légère, apaisée… à mesure que sa tête se vidait, elle sentait sa libido revivre : le soleil, les étudiants, la joie de vivre, le tout combiné à une absence de sexe prolongée, formaient un parfait cocktail pour faire renaître ses désirs! Le cadeau de bienvenue de sa voisine Laura, une jeune femme excentrique, délurée et légèrement portée sur l’alcool (faire la fête était sa principale activité nocturne), trouverait bien son utilisation : un vibromasseur de 25 cm de long à double embout, vagino-anal!

En principe, elle aurait dû être gênée, ou offusquée vue la taille de l’engin – mais le fait que sa voisine parle si facilement de sexe et de son métier (elle tenait un sex-shop reputé à Toulouse), elle ne pouvait refuser le cadeau qui, par ailleurs, lui avait tapé dans l’œil : il ressemblait à un gros pénis blanc parfaitement imité, d’une texture confondante, avec son double embout… elle n’était pas coutumière de la chose, et sa relation avec son ex la comblait suffisamment pour ne jamais avoir vraiment envisagé l’achat de gadgets.

En repensant à ses joutes sexuelles où des petits jeux de soumission / domination s’étaient développés avec lui, elle plongea les doigts dans sa culotte et commença à se caresser lentement à l’aide du jouet, vibrant délicieusement sur son clitoris… et s’évada… dans un gémissement de satisfaction… avant de s’endormir au soleil, près du balcon de sa chambre…

Ces petits plaisirs solitaires berçaient le rythme de ses soirées , et son imagination se révélait, à sa grande surprise, de plus en plus fertile, peu avare en situation plus insensées et obsédantes les unes que les autres.

Pourtant, ce jour-là, Anne était furieuse! Elle venait d’ouvrir le courrier de convocation de l’académie et non seulement son affectation avait changé « conformément à son souhait » mais en plus elle devait prendre en charge des terminales en échec scolaire, dans l’une des zones réputées les plus chaudes de l’agglomération toulousaine!

Elle avait passé trente minutes au téléphone, mais la secrétaire expliquait qu’en raison de la réforme scolaire qui permettait à l’académie de réaffecter tout enseignant en fonction de son cursus lorsque des raisons de service apparaissaient, elle devait faire cours sur le droit civique à une bande de lycéens rebelles qui se fichaient des cours!

Et sa première journée fut pire encore que ce qu’elle avait imaginé, comme elle le racontait à Clément, un professeur qui travaillait dans cet établissement depuis dix ans mais qui semblait étrangement respecté de ses élèves : il avait la classe d’un espion du MI6 avec son costume noir, ses cheveux grisonnants, ses yeux bleus qui semblaient vous pénétrer, et son regard un brin charmeur. Il avait aussi du bagout, ce qui lui permettait une forme de complicité avec les élèves, mêmes les plus durs… il avait donné à Anne un sentiment de sécurité, rassurant, dans cet enfer scolaire.

Elle se confia à lui et lui raconta comment Vladimir, jeune redoublant à la carrure d’athlète, fils d’une père russe ivrogne et d’une mère ukrainienne qui avait fui son mari, perturbait la classe et menait clairement tous ses camarades à la baguette!

– Oui je le connais bien, je l’ai également dans mes cours d’Histoire. Anne, je te recommande juste d’apprendre à le connaître, d’aller dans son sens, et de lui laisser croire qu’il tient les rênes, voire… que tu lui es soumise… tu le manipuleras mieux ainsi, sourit-il, énigmatique.

Anne fut étonnée et perplexe vis-à-vis du conseil donné Ankara escort par son aîné de quinze ans.

Lors du cours suivant, Anne ne put s’empêcher de se rappeler de la fin du dernier cours où elle avait convoqué l’élève: il s’était approché d’elle, assise sur l’estrade, et il était resté debout, soutenant son regard… il dégageait une virilité que peu de ses camarades avaient, du haut de son mètre 90, simplement habillé d’un t-shirt blanc moulant son jeune corps musclé, trahissant ainsi des exercices de musculation qui lui donnaient l’impression d’être bien plus âgé que ses petits camarades. Ses sens avaient été perturbés par cette force physique et toute la masculinité qui s’en dégageait.

– Euh.. Vladimir… euh, je… , commença-t-elle, hésitante.

– Oui, prof? s’amusa-t-il du malaise de la jeune femme, roulant les « R » d’une façon qui révélait clairement qu’il avait passé son enfance au pays.

– Madame la professeure! le reprit-elle, afin de marquer son autorité.

Mais elle ne reçut en retour qu’un sourire méprisant, dur et froid, tandis qu’il la dévisageait sans aucune retenue, ce qui ne manqua pas de la faire rougir. Elle avait eu la mauvaise idée de s’habiller avec cette jupe traîtresse, qui remontait à mi-cuisses lorsqu’elle s’asseyait, ainsi que d’un petit débardeur décolleté qui révélait en partie ses jolis petits seins ronds, ce qu’apprécia son élève, tel un jeune homme avide de conquêtes féminines.

– Vladimir, je t’ai convoqué afin de te dire que ton comportement était inacceptable en cours et que tu resteras une heure de colle ce soir avec moi!

– Quoi mais ça va pas, le premier jour de la rentrée!

– Et ça sera 2 heures si tu réponds encore! ajouta-t-elle afin de conforter son autorité .

– Bien, M’dame la prof! céda-t-il, lançant un regard noir, avant d’ajouter, sourire en coin : d’habitude, il n’y a pas besoin de me forcer à rester une heure avec une jolie dame, elles me voient et veulent juste passer du temps avec ma… Il marqua une pause, ôtant les mains des poches de son jean moulant, lequel révélait la forme d’un gros serpent trop à l’étroit dans le jean : le jeune homme était clairement excité!

Anne crut d’ailleurs qu’il allait finir sa phrase avec le mot « bite » mais il se contenta de dire « …avec moi… ».

Elle resta sans voix, mais elle se refusa à entrer dans son jeu. Du moins au début.

Elle se remémora les conseils de Clément et se dit que s’il tenait ainsi depuis 10 ans, c’est que ça devait bien marcher!

Vladimir s’en alla sans se retourner, satisfait du petit effet qu’il avait eu sur cette salope de prof : au début, il l’avait méprisée comme toutes ces connasses qu’il avait déjà vu défiler dans ce taudis digne de son école à Marioupol, mais il avait été surpris de la voir habillée comme une jeune pucelle venue se faire tourner en cité alors que ses anciennes profs se croyaient investies des pouvoirs du KGB, notamment ceux de maltraiter les élèves comme lui! Il en avait bandé pendant tout le cours à l’imaginer prise comme la pute de prof qu’elle était! Quand elle avait écrit son nom sur le tableau en tendant haut ses bras, sa jupe était remontée et avait révélé un super cul bien rond, et il avait juste envie de le bouffer sur place! Et la salope ne portait pas de culotte, peut-être même pas de string : la preuve qu’elle voulait de la bite, et Vladimir était prêt à lui offrir ça…

Il partit en pensant à l’heure de colle, la colère l’excitait, et son sexe bandait du long de ses 25 cm… mais avant, il allait devoir parler de tout ça à Clément, son prof d’Histoire. Il allait aimer…

Lorsque 18H00 sonna, Anne se présenta dans la salle de colle : elle était vide! Evidemment, qui aurait-pu un seul instant imaginer des élèves collés un des premiers jours de classe…

– Mon Dieu, je suis punie d’être là! alors que j’aurais pu être avec des petits enfants adorables, soupira-t-elle.

Elle s’installa au bureau et vit cinq minutes passer avant que Vladimir n’arrive.

– Tu es en retard! Tâche d’être ponctuel la prochaine fois! dit-elle fermement, avant de se raviser, en pensant aux conseils de Clément : …mais j’imagine que tu as dû avoir un empêchement?

Interpellé par ce changement de ton, Vladimir s’installa au dernier rang en répondant qu’il avait dû passer quelques instants avec son prof d’histoire (elle comprit qu’il parlait de Clément).

Voyant que la tactique de Clément prenait, elle continua ainsi : « tu ne veux pas venir au premier rang? Près de moi?… »

Vladimir était une nouvelle fois étonné, mais ça lui plaisait… si cette pute voulait qu’il soit plus près, il ne manquerait pas de reluquer ses jambes, et son cul! Peut-être même que c’est ce qu’elle voulait cette petite bourgeoise en manque!

– Madame, vous voulez que je fasse quoi?

Cette question pris Anne de court : elle n’avait rien à lui donner comme devoirs si tôt dans l’année, d’autant qu’elle improvisait un peu son programme, ankara rus escort mais elle eut une idée.

– Et bien, écris un texte sur la relation que doit avoir un élève avec son professeur!

Vladimir se sentit vite soûlé de devoir écrire des conneries, mais il eut une idée et s’attela à la tâche, peut-être pour la 1-première fois de sa vie scolaire.

Anne le vit se mettre à écrire, et se dit que la journée prenait une tournure positive! Une demi-heure passa et Vladimir rendit son travail. Anne commença la lecture.

Anne devint rouge pivoine : Vladimir avait écrit une histoire pornographique où une prof se soumettait à son élève, décrivant tout un tas d’actes aussi odieux qu’explicites!

– Vladimir! C’est inadmissible!

-Mais quoi, m’dame la prof? J’ai respecté ce que vous avez demandé, j’ai raconté une histoire de prof avec son élève!

– Mais… mais tu ne peux pas écrire de telles choses!

– J’comprends pas, j’ai suivi ce que vous m’avez dit, non?, défendit-il sans l’once d’une sincérité, un large sourire révélant les dents blanches de sa mâchoire carrée.

– Ecoute Vladimir… Elle marqua une pause pour canaliser sa colère, car non seulement celle-ci était due à l’affront fait par ce jeune élève mais aussi au fait qu’elle était excitée par les écrits de l’adolescent.

Elle reprit : « … tu écris bien, tu as un sens du … détail, et du… rythme, mais ce n’est pas ça que j’attendais. »

– Mais m’dame, j’ai voulu bien faire! J’ai visualisé une jolie prof qui matait son élève et se rendait compte qu’il était plus virile et mieux gaulé que tous les mecs qu’elle s’était tapée dans sa petite vie de bourgeoise coincée…

– Euh, certes Vladimir, mais… Il l’interrompit de nouveau, avec une sincérité troublante.

– J’ai voulu montrer que par-delà les différences de culture, on était tous pareil, que le cul était le point commun… et que la prof était juste en demande de bite…

– Vladimir! cria Anne, qui ne savait plus comment réagir.

– …et qu’elle voulait juste se retrouver seul avec son élève, le soir. Il se leva en continuant à parler : …et qu’elle l’avait allumé avec son petit débardeur qui montrait ses nichons, sa petite jupe ras la foune, en lui demandant de la mater au premier rang. Il se tenait debout à côté d’elle… il était calme, posé, alors qu’Anne respirait avec difficulté, étonné qu’un jeune homme venu de l’Est, roulant encore les « R », ait acquis un langage aussi familier en aussi peu de temps.

– … et la prof était trempée à l’idée de découvrir une belle bite bien dure…

Anne était scotchée : elle ne savait plus comment réagir, mais son instinct lui commandait de ne pas bouger. Elle se rappelait du conseil de Clément, et aussi absurde que ce soit, elle finit par répondre :

– Oui, je comprends Vladimir… Elle validait ses propos.

Se rendant compte trop tard de son erreur, elle venait de lui offrir une carte blanche sur ce qu’il s’apprêta à faire : Vladimir se plaça derrière la prof et empoigna ses seins avec autorité, mais sans brutalité.

Anne se rendit compte que son jeune élève était encore plus expert que dans ses écrits, et, le souffle court, elle le laissa abuser de sa poitrine, un humble 85B dont elle était fière de la forme : il lui malaxait de plus en plus fortement ses seins, et elle commença à sentir une gêne face à cette forme de violence naissante : il montrait clairement qu’il la dominait et qu’il la traitait comme du bétail, ce qui excitait terriblement Anne.

Il s’amusait avec ses mamelons, enserrant de ses doigts musclés chacun de ses tétons, puis les pinça et les malaxa en mimant la traite d’une vache!

– Hmmm, tes pis sont bien durs! dit-il. Madame la prof, je suis sûr que tes petits bébés ont adoré les téter!

– Ooooh … je n’ai pas d’enfant…. Vladimir… arrête s’il te plait…

Il tourna le siège vers lui, et Anne faisait dorénavant face au tableau. Vladimir s’agenouilla devant elle et lui retira son débardeur sans qu’elle n’offre de franche résistance, de toute façon bien futile face à la force de l’élève.

– Alors Vladimir va jouer le rôle du bébé, un beau bébé de 19 ans… A ces mots, il approcha la bouche d’un de seins d’Anne, le sourire perdu dans une perversité insoutenable, sa forte respiration soufflant sur les tétons de la jeune prof, puis il porta le en bouche… sa langue s’amusa à caresser le téton, durcis d’excitation, puis son imposante bouche s’élargit afin de gober le sein dans son intégralité, comme s’il voulait l’avaler! Il aspira fortement un sein, puis fit de même avec l’autre, alternant entre les deux offrandes, avant de brusquement passer sa main sous la jupe de sa prof.

– Non, Vladimir, pas ça, je t’en prie…répondit-elle, effrayée de la tournure des évènements.

Sans arrêter son mouvement, Vladimir atteint le fin string de la prof et l’arracha d’un coup sec, décrochant au passage un cri de douleur de la ankara türbanlı escort prof : il avait du mal à retenir sa violence naturelle, lui qui avait passé son enfance sous les coups de son oncles, de ses camarades et de ses profs.

– Écoute, madame la prof, laisse-toi faire, profite du moment, sinon tu vas vraiment souffrir. Et aucun de nous ne veut en arriver là… ordonna-t-il, en la giflant.

Anne restait stupéfaite! Elle venait d’être giflée par son élève! Mais pire encore, elle ne comprenait pas son absence de réaction, là où d’autres profs auraient crié à l’aide, se seraient débattus et auraient fait arrêté un tel garçon!

Encore sous le choc, elle sentit les doigts de son élève la pénétrer lentement et l’humiliation suivante brisait ses dernières velléités de résistance :

– Alors comme ça, ma prof est une pute qui mouille d’être mal traitée par son maître …

Le visage rouge de honte face à cette révélation, Anne ne put nier une évidence : elle aimait ce traitement… son sexe était si trempée que son tortionnaire put ajouter, malgré leur taille, un 2e, puis un 3e doigt, avant de la pistonner sans merci au point qu’il put ajouter un 4e doigt en l’élargissant plus qu’elle n’aurait pu imaginer!

– Aaaaah nooooon! pitié!

Le plaisir prenait le dessus sur l’humiliation et la douleur, tandis que Vladimir continuait de sucer les seins de sa prof devenus rouges par l’effet de succion : il la léchait, la gobait, lui mordillait les tétons… elle sentait qu’un orgasme allait venir, mais elle le refusait : elle n’avait pas le droit, pas avec un élève qui, malgré sa carrure et son âge, n’était qu’un enfant… elle réalisa soudain qu’en ne mettant pas fin à cet échange, elle commettait un acte gravement répréhensible! Non, non, c’était lui en fait qui commettait un crime : il la violait! Mais… si elle lui avait donné des signes positifs, était-elle en fait consentante?… Son esprit s’embrouillait, elle ne savait plus ce qu’elle devait faire.

Vladimir adorait la situation : il ne pensait pas que cette pute de prof était aussi soumise!

D’habitude, il mettait un peu plus de temps avant de soumettre ses conquêtes, mais là il n’avait pas trop réfléchi : dès qu’elle avait montré des signes de faiblesse, il en avait profité! En plus personne n’allait les emmerder ce soir, tout le monde s’était barré de l’école! Tout le monde sauf cette bêcheuse de Mareva! La petite fille modèle qui avait sauté une classe, la faillotte des profs, avec de super notes en vue du brevet des collèges! C’était une jolie petite brune de 1m55, cheveux noirs bouclés et yeux verts émeraude, une grosse poitrine, bien trop grosse au regard du reste de son corps, une gamine foutue comme une déesse amazone!

La première fois qu’il l’avait vue, il lui avait dit que c’était « une jolie négresse », car pour lui, tout ce qui était métissé ou noir était un « nègre ». Le racisme était ordinaire en Ukraine. Mais il n’avait pas pensé à mal en utilisant cette expression. La fille n’avait d’ailleurs pas trop réagi et il comprit rapidement pourquoi : elle était très attirée.

Personne ne comprenait ce qu’elle faisait là, dans cette école, mais Vladimir savait une chose : comme toutes les salopes de négresses, elle aimait le cul! Et ça faisait six mois qu’il la baisait dans les chiottes et qu’elle en redemandait! Il lui avait pris sa virginité, et il se demandait comment elle n’était pas tombée enceinte avec toute la purée qu’il lui avait mise ce jour-là! Depuis, elle prenait la pilule en cachette de ses parents et se soumettait à Vladimir quand elle le voulait.

Alors qu’il dominait sa prof, Vladimir l’avait repéré depuis un moment : elle avait même frappé à la porte mais sa prof était trop « occupée » pour s’en rendre compte. Mareva avait jeté un œil par-dessus la porte, au travers des carreaux de la vitre, et était restée bouche bée : la prof était à moitié nue à se faire tripoter par Vladimir!

Après quelques minutes à s’amuser de la situation, Vladimir lui avait fait signe d’entrer…

Anne ne le remarqua pas de suite, elle avait les yeux fermés, perdus entre honte et orgasme naissant, culpabilité docile et plaisir coupable, soumission désirée et humiliation consentie… la lycéenne de tout juste 18 ans regarda le spectacle qui s’offrait à elle : elle n’avait jamais vu quiconque faire l’amour sous ses yeux!

Vladimir embrassa alors Anne, plantant sa langue rugueuse dans sa bouche, jouant avec celle, douce et soumise de sa prof, qui lui rendait son baiser, tandis que ses mains jouaient toujours avec le sexe trempé, pénétrant toujours plus profondément le vagin soumis, lorsque lui vint une idée…

– Allez viens là ma chérie, s’adressa-t-il à Mareva.

Anne ne comprenait pas à qui il parlait jusqu’au moment de voir une gamine en tenue d’écolière, chemise blanche et jupette écossaise, tout droit sorti d’un clip de Britney Spears, mais en bien plus sage!

– Oh mon Dieu! s’exclama Anne, tentant de se rhabiller, mais Vladimir la gifla de nouveau : c’est bon, c’est ma copine, mon petit garage à bites préféré, dit-il en souriant vers Mareva.

Mareva n’aimait pas qu’il l’appelle ainsi, mais il lui procurait tellement de plaisir depuis tout ce temps, et il savait tellement être attentionné derrière ses dehors rustres, qu’elle lui pardonnait tout.

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