Irène, le retourIrène, le retour

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Irène, le retourIrène, le retour. Publié par Gus-Solo le 26 janvier 2020 sur XhamsterPendant la semaine qui a suivi, j’ai pu mesurer toute la signification de l’expression « avoir le cul entre deux chaises »… comme d’habitude je pensais trop et cette histoire de « ristourne » gâchait un peu le plaisir que j’avais pris avec ma cliente… je n’avais rien contre le commerce du charme et je considérais déjà à l’époque que les prostituées étaient des travailleuses comme les autres, mais je n’étais pas client pour autant… je préférais séduire que payer et les relations contractuelles ne me semblaient d’aucun intérêt… d’un autre côté, Irène me plaisait vraiment beaucoup, je trouvais sa liberté rafraîchissante et sa candeur me faisait fondre… mais ce n’était clairement pas la fille d’un seul mec et je préférais ne pas en tomber amoureux… or, pour ça il n’y a qu’un principe efficace : « loin du cul, loin du cœur ». Ce qui voulait dire que je devais éviter de la laisser me toucher pour ne pas en « profiter » et lui laisser quand même une petite ristourne pour qu’elle ne se sente pas obligée de me tenter… c’est ce qu’on appelle un résultat perdant-perdant… vous me trouvez con ? Moi aussi.Je sortais de nouveau de la douche quand elle est arrivée la fois suivante, à croire qu’elle savait exactement quand je la prenais, Je lui ai ouvert en peignoir et son sourire a instantanément fait fondre toutes mes résolutions. Renoncer à une partie de mon bénéfice, ça allait encore, mais me passer de ce petit cul, ça me semblait au-dessus de mes forces.Elle portait une mini robe rouge très décolletée, sur une paire de dim-up noir dans des chaussures aux talons kilométriques du même rouge que la robe… C’était très vulgaire et j’ai eu le bois instantanément. Décidément, plus elle faisait pute plus elle m’excitait. Je me suis retourné pour cacher les mouvements de mon serpent en folie, il fallait que je reste ferme oui, mais pas à cet endroit-là. Elle a sauté dans le divan, à croisé les jambes et en jouant dans ses cheveux elle m’a demandé :— Je te plais, comme ça ?— Écoute, ne le prend pas mal, mais j’adore…— hihihi, pourquoi je le prendrais mal ? Parce que je ressemble à une pute ?— Je plaisantais… en réalité c’est un compliment… j’aime beaucoup ce style…— C’est juste pour toi… pour ta ristourneJ’ai dégluti,j’ai rassemblé mon courage et je me suis sagement assis dans l’autre coin du divan— J’ai réfléchi à cette ristourne…— Tu ne veux plus ? Dommage… mais pour aujourd’hui, j’ai tout juste la somme prévue…— Ne te tracasse pas, je te fais toujours la ristourne…— Eh ben, alors ?Elle s’est jetée sur moi, à mis mon bras autour de ses épaules et m’a regardé par derrière ses cheveux en souriant. Impossible de retirer mon bras. J’ai essayé de poursuivre :— Ce qui me gêne, c’est que tu couches avec moi pour ça…— Je ne te plais plus ?— Mais si, bien sûr… tu me plais à mort même… mais s’il n’y avait pas la beuh, je ne t’aurais jamais intéressé… je suis sûr que je ne suis pas ton genre et je ne veux pas profiter de toi…— C’est peut-être moi qui profite de toi…— Qu’est-ce que tu veux dire ?Elle s’est tue quelques secondes en me regardant, a posé sa main sur ma cuisse et m’a embrassé. Sa langue tournait dans ma bouche, dans ma tête et presque jusque dans mon ventre. Quand nos lèvres se sont séparées, Irène me tenait fermement par la queue… elle me branlait sur un rythme hypnotique, ni trop doucement ni trop vite… elle avait toute mon attention…— J’aime bien obtenir des trucs avec mon cul…Je n’ai pas vraiment besoin d’une ristourne, je suis pleine de fric… même pas besoin de bosser, si tu veux tout savoir…— Mais alors pourquoi tu en demandes une ?— Je ne te l’ai pas demandé, je te l’ai échangée contre ma bouche et ma chatte…— J’ai un peu de mal à comprendre…— Eh bien… disons que je suis une vraie salope… pas une méchante fille, hein ! Une fille qui aime bien se servir de son cul…— Ah ça… j’ai vu… mais si tu n’as pas besoin de fric, pourquoi tu négocies ? c’est pas les mecs qui manquent…— Ah ça, c’est sûr ! De la bite, y en a partout, mais même si je ne suis pas avare de mes charmes, j’aime bien qu’un garçon fasse un truc un peu spécial pour moi… ça m’excite, tu comprends ? Mais si ça peut te rassurer, je ne fais ça qu’avec les mecs qui me plaisent beaucoup, et pour éclairer ta lanterne, je t’ai repéré bien avant de savoir que tu vendais de l’herbe…Je suis resté sans argument, d’autant plus qu’elle m’avait glissé entre ses lèvres et que sa langue magique recommençait à me tourner la tête, mais cette fois ci en passant par ma queue… j’ai juste eu le temps de me dire « surtout, ne pas tomber amoureux… » avant de lui abandonner les commandes.Elle me faisait pâmer comme une vierge, me faisait goûter toute sa science dont il m’arrivait de me demander, entre deux soupirs, d’où elle la tirait. Je n’en revenais pas d’une telle innocence dans le vice, elle me faisait coulisser entre ses lèvres en me regardant comme une petite fille gourmande, elle riait et minaudais et puis elle redevenait sauvage…— Tu aimes enculer les filles ?— Je ne sais pas, je n’ai jamais rencontré de fille qui veuille…— Tu veux m’enculer ?— Tu aimes ça ?— De temps en temps oui… je me sens comme la dernière des putes, quand on m’encule… et j’adore ça… tu veux essayer ?Elle m’a d’abord fait entrer dans son cul en restant face à face, elle était couchée sur le dos sur le siège du divan et moi à genoux, entre ses cuisses. C’est rentré tout seul et pourtant je ne suis pas exactement sous-équipé. Il faut croire qu’elle avait quelques heures de travaux pratiques… elle me regardait comme une folle, complètement partie… je suis tombé instantanément amoureux de ce regard.Elle est revenue sur terre un peu avant que je ne vienne. Elle nous a calmé avant de me sortir doucement et de se retourner à genoux sur le divan en me tendant le cul— C’est encore meilleur comme ça, tu vas voir… vas-y, met la moi…Je ne suis pas entré, elle m’a aspiré à l’intérieur . j’étais scié et elle me regardait en coin en souriant de me montrer tout son talent, et puis j’ai recommencé mes va-et-viens— Vas-y !Je l’ai attrapé par les hanches— Baise…MmMm Bai…sej’ai commencé à frapper mon bas ventre contre ses fesses…— OooOO Fuck… OOo Fu..ckm..eee ooOj’y suis allé à fond, je l’empoignais de toutes mes forces et je bourrais comme une bête— Bai…seeEe la pu… tAhh… Put… PuUttt… SaaAaLe Pet… ttitP… UttteElle se doigtait la chatte et le clito pendant que je la défonçais, et quand elle a commencé à me caresser les couilles j’ai explosé… J’étais défoncé à l’ocytocine, J’ai giclé au fond de ses entrailles comme dans un rêve, et j’ai senti son cul se contracter plusieurs fois comme pour me traire… on s’est écroulé dans le divan, essoufflée et complètement shootés, je ne suis sorti du c*** qu’après cinq bonnes minutes, j’étais toujours dans son cul et je n’avais certainement pas envie d’en sortir, mais elle m’a gentiment expulsé— C’était un très beau voyage, Mademoiselle… je ne connaissais pas du tout ce pays, mais je suis conquis. Merci beaucoup pour votre invitation…— Ce fut un plaisir d’être votre guide Monsieur, j’ai adoré votre visite…On a chuchoté, ricané, baisouillé… et je lui ai demandé pourquoi elle parlait anglais dans ces moments là. Elle a répondu qu’elle kaçak iddaa ne savait pas, qu’elle ne se rendait pas compte mais qu’on le lui avait souvent dit… par contre, elle savait très bien pourquoi elle se traitait de sale petite pute, c’était parce que son beau-père lui demandait de le dire quand il la baisait, et que depuis elle adorait se le dire, ça la faisait jouir plus fort… — T’as pensé à ton beau-père quand je te… enfin… quand on baisait ?— Non, aucun risque, c’est un sale con et en tant qu’homme, il me dégoûtait… par contre, il m’a fait découvrir beaucoup choses que j’aime toujours énormément…Elle m’a raconté que son beau-père a commencé à la tripoter dès ses premiers soutien-gorges … il l’avait par la manipulation, par le chantage mais jamais par la v******e… ça la foutait très mal à l’aise mais en même temps il avait une redoutable technique et l’envoyait au paradis à chaque fois, ce qui amoindrissait gravement sa résistance. Elle espérait que sa mère s’apercevrait de ce qui se passait et interviendrait spontanément, parce que chaque fois qu’Irène avait essayé de lui en parler, son beau père avait réussi à la faire passer pour une fabulatrice…Heureusement un soir, sa mère a quand même découvert le pot au rose. Suspicieuse, elle avait suivi son mari quelques minutes après qu’il était monté pour prétendument « border la p’tite », elle avait entendu la petite Irène résister, refuser les avances de son beau-père, et entendu celui-ci la menacer de raconter à sa mère qu’Irène était une fille indigne qui essaye de séduire le mari de sa mère.l’affaire a été vite réglée. Plainte, tribunal, condamnation du mari, devenu ex-mari puisque forcément divorce à l’avantage de l’épouse bafouée et de la gamine abusée. Quelques années de prison dont il est ressorti ruiné après quoi il est allé se faire pendre ailleurs, littéralement. Il a tripoté le gamin de trop dans un pays ou ça coûte cher et qui applique encore la peine de mort, il a été pendu.La mère d’Irène s’était retrouvé à la tête d’une petite fortune, et quand Irène a eu terminé ses humanités, elle lui a bien garni un compte en banque et lui a intimé l’ordre de bien s’amuser. Tout naturellement, Irène d’abord mis en œuvre les compétences qu’elle avait acquises avec son beau-père, c’était une forme de vengeance contre lui, une manière de transformer une insulte en compliment.Irène se confiait facilement à moi, elle disait que j’étais le seul mec avec lequel elle aimait parler de tout ça, j’étais le seul à vraiment m’intéresser à elle d’ailleurs, mais c’était comme ça, j’adore les gens qui se promènent sur les chemins de traverses, il me semble que ce sont les seuls vrais gens.Nathalie, ma voisine d’en bas, était de plus en plus souriante, chaque fois qu’on se croisait on parlait d’Irène et de ses bons conseils, je remarquai qu’elle se maquillait légèrement et ça lui allait très bien… je la complimentais mais ça lui faisait chaque fois piquer un fard. Elle ne restait jamais très longtemps en ma présence ces derniers temps, toujours un coup de téléphone à donner ou ses patates sur le feu, je me suis même demandé un moment si je puais…Irène passait une fois par semaine et à la fin du mois j’ai fait mes comptes. Mon fournisseur était sympa mais pas vraiment bon marché. Si je voulais m’aligner sur les prix des autres, je ne pouvais pas faire une trop grande marge, et Irène étant ma meilleure cliente en quantité, la ristourne que je lui accordais me faisait presque vendre à perte, en effet, si je mettais mes frais de logement et de nourriture dans la balance, il ne me restait que le strict minimum pour payer la livraison suivante, c’était très serré, surtout si on comptait les risques que je prenais avec la loi. j’en parlai avec Irène.— T’as qu’à renégocier avec ton fournisseur, c’est facile pour lui, tu fais tout le boulot et lui il encaisse…— Mwais, le gars n’est pas méchant, mais il est un peu bourru… il vit dans les bois et n’en sort que pour me livrer la beuh, pour lui, tout ce qui compte c’est les pépètes, du coup je vois mal lui annoncer que je vais lui en donner moins…— Je peux lui dire, moi… à ma manière…— Comment ça ?— Ben, la prochaine fois qu’il passe pour sa livraison, je lui fais mon petit numéro et tu peux être sûr que tout le monde sera content à la fin de la soirée…D’habitude, quand Firmin passait avec la livraison, il montait trente secondes et repartait fissa avec son fric. Mais cette fois ci quand il est entré, Irène l’attendait dans une de ses tenues assassines. Assise les jambes croisées dans le canapé, on voyait clairement le haut de ses bas sous le bas de son haut qui ne descendait vraiment pas trop bas. Firmin est resté scotché pendant quelques secondes en lui souriant bêtement… foudroyé debout ! Et encore, dans cette pose-là, il n’avait encore rien vu du décolleté diabolique. Au bout d’un temps il s’est tourné vers moi avec son regard exalté, m’a fait quelques grimaces de connivence l’air de dire « putain celle-là, quelle bombe ! » (et je reste poli), je l’ai ferré :— Une petite bière, Firmin ? Faut qu’on cause…J’ai décapsulé une bouteille, lui ai tendu et je suis allé m’asseoir dans le fauteuil placé en face du canapé, en embuscade.Firmin a une taille moyenne et un peu de ventre, il a une dizaine d’année de plus que moi, beaucoup de cheveux en moins et le même nombre d’yeux mais bien plus gros, les siens donnent l’impression qu’ils vont sortir de leurs orbites et tomber dans sa barbe d’homme des bois. Le plus parfait des airs pervers. Il est célibataire depuis des années et dans un manque sexuel incommensurable, genre condamné au célibat à perpette sans aucune chance de remise de peine.Je l’ai invité à s’asseoir avec nous et il a été forcé de s’asseoir prés d’Irène, elle lui a fait son plus beau sourire et il a dû se demander s’il ne rêvait pas, surtout depuis qu’il avait une vue imprenable sur le piège qu’elle lui tendait dans son décolleté. La mouche volait déjà très près de la toile.— Firmin, je crois que ça sera notre dernière affaire ensemble…— Ah bon ? Pourquoi ?— Je ne m’en sors pas avec de si petites marges— T’as qu’à vendre plus cher…— Si je fais ça, mes clients iront ailleurs, je ne vendrai plus rien et du coup toi non plus… ce qui nous ramène au point de départ : ça ne peut pas continuer dans ses conditions là.Firmin a semblé réfléchir mais Irène ne lui a pas laissé trop de temps, en lui adressant un sourire désolé elle a dit :— En fait, Gus n’ose pas le dire, mais tu vends ton herbe beaucoup trop cher— Attends, euh… c’est qui elle ?— C’est mon associée— Associé de quoi ? C’est pas une pute ?J’ai failli bondir de mon fauteuil pour lui mettre un pain, mais Irène m’a calmé d’une œillade complice— Si… parfois je fais la pute, mais pas ici… là je discute affaire, tu comprends chéri ?J’ai été scié par la technique, elle l’avait coupé en deux avec ce seul petit « chéri » à la fin de la phrase. Elle venait de lui dire : « je suis peut-être une pute, mais tu n’es pas le genre de ma clientèle » Elle l’avait désarçonné et il ne savait plus s’il devait la mépriser ou s’écraser. C’est sa bite qui a choisi :— Excuse, hein… je voulais pas te traiter…— Pas de soucis, mais t’es gentil alors, tu vas me chercher une bière, j’ai la flemme…Il s’est levé comme un seul homme kaçak bahis (et pour cause) et lui a ramené une bouteille décapsulée, il était cuit. j’ai repris la conversation.— C’est vrai que tu es plus cher que tous les autres producteurs… t’es un copain, mais je ne peux plus me servir chez toi…— Tu veux dire que t’as d’autre plans ? c’est dégueulasse…Je ne connaissais aucun autre fournisseurs, mais il avait conclu tout seul que si je n’achetais plus chez lui c’est que j’achèterais ailleurs, Irène a saisi le bluff au vol.— Gus ne connaît pas d’autre plan, mais moi bien, on vient de me faire une offre au tiers de ton prix…— Vous êtes fous ? Le tiers ?Le gaillard essayait de calculer combien ça lui laissait, et manifestement il n’aimait pas le résultat de ses calculs, j’ai enchaîné :— C’est dommage, parce que la tienne est meilleure— Oui mais à ce prix là, si tu me comptes les engrais, le chauffage et tout le petit matériel… et puis tu te rends pas compte, je viens de relacer une plus grosse production, pour t’en donner plus… qu’est-ce que je vais faire de tout ça ?— Vends-le toi-même, tu te feras tout le bénef… — T’es fous ? t’a vu ma gueule ? Je me ferais arrêter tout de suite… et puis je connais personne…Je le laissai macérer un peu, il fallait qu’il voie s’envoler ses biftons, et puis Irène a pris le relais— Si tu veux, je te refais une beauté, t’aura l’air moins suspect…— Ah ouais ? y a du travail…— Écoute, si tu nous la fais au même prix, tu n’auras pas tout perdu…— La moitié alors… ça, peut m’arranger— Quarante pourcents et je te refais une beauté— Comment ça ?— Ben, je te fais une bonne douche, je te rase, je te coiffe un peu, je te fais beau quoi… laisses toi faire, je suis esthéticienneDu fauteuil d’en face, je voyais presque des autos-tamponneuses dans le crâne de Firmin et j’admirais la technique d’Irène. Elle lui avait fait miroiter la nudité dans la douche, une jolie paire de volumes flottant devant ses yeux pendant la coupe de cheveux, les chatouillis du rasage… pour un homme qui n’avait plus vu une femme de près depuis longtemps, c’était comme présenter du miel à un ours affamé. Il a accepté pour quarante-cinq pourcents, ça nous arrangeait bien puis que nous visions les cinquanteOn s’est tapé dans les mains et ils sont partis dans la salle de bain pendant que je préparais le salon pour la mise à mort. Ce n’est que plus tard qu’Irène m’a raconté ce qui s’était passé sous la douche.Il s’est déshabillé pendant qu’elle préparait la douche, elle l’a savonné et frotté et bien sûr l’eau a éclaboussé la robe d’Irène, la rendant transparente en quelques minutes. Alors elle l’a simplement retirée pour continuer en porte-jarretelle. Firmin hallucinait et ne regrettait déjà plus du tout la grosse ristourne qu’il nous avait accordé. Mais au rinçage, ses mains ont commencé à se balader sur les appâts d’Irène… Elle lui a fait remarquer qu’il était trop gourmand, mais il ne pouvait pas résister, alors elle lui a dit d’être sage et que si je pouvais regarder, elle serait d’accord de se laisser faire à condition qu’il descende encore son prix, il a retiré ses mains…Ils sont revenus dans le salon, lui bandant sous une serviette et elle toujours en porte jarretelles. Elle lui a retiré l’essuie de la taille, l’a posé sur ses épaules et l’a assis sur une chaise avant de commencer à lui couper les cheveux. Hypnotisé par les généreuses lunes qui orbitait autour de lui il se laissait faire docilement. De coups de peigne en coups de ciseaux et de coups de ciseau en coups de rasoir, le yéti qui était entré chez moi c’est transformé en un homme pas si laid que ça. Je n’aurais jamais cru qu’Irène saurait si bien y faire. Surtout qu’elle était régulièrement dérangée par les paluches de Firmin qui s’égaraient sur ses formes, mais ça ne durait pas longtemps, Irène n’avait qu’à lui demander : « trente pourcents ?… » pour qu’il rapatrie tous ses doigts fissa.Son œuvre terminée, elle a apporté un miroir à Firmin. J’ai clairement vu son menton descendre de deux ou trois centimètres quand il a vu sa propre image, il rencontrait quelqu’un d’autre et ce nouveau visage avait l’air de lui plaire… Franchement, avec une paire de lunette de soleil, il aurait pu être séduisant. Comme pour ajouter une touche ultime à sa réalisation, Irène a déposé un bisou au coin des lèvres de Firmin, il a fermé les yeux deux secondes avant de prendre une grande inspiration et de dire :— D’accord…Irène et moi, on s’est regardé un court instant en souriant avant qu’elle prenne son air le plus innocent pour demander :— D’accord pour quoi ?— Trente pourcents… Je vous la fais à trente pourcents…— Mmm…J’ai vu Irène vraiment enthousiaste, elle triomphait intérieurement, elle avait réussi à baisser le prix à moins du tiers de ce qu’il était alors qu’on aurait déjà été très heureux de l’avoir pour la moitié… La connaissant un peu, j’étais sûr qu’elle mouillait sa race… Elle l’a saisi par la bite et l’a embrassé dans le même mouvement, mais pour un vrai baiser cette fois, avec les lèvres ouvertes et la langue mutine… C’est précisément à ce moment là que j’ai compris ce qu’était vraiment une pute dans le plus noble sens du terme : son client avait payé le prix convenu et du coup elle se donnait sans compter, elle devenait une amoureuse professionnelle, sans aucune simulation, sans fard, sans barrière, elle se donnait vraiment… Mais Firmin était sous tension depuis trop longtemps, ça faisait trop d’émotions d’un coup. Le baiser, la langue, la merveilleuse poitrine qui s’écrase sur son torse, la main qui le saisi par les sentiments, c’en était trop, il a tout lâché sur le tapis et la conscience professionnelle d’Irène n’a eu que le temps de lui faire un ou deux mouvements d’encouragement…La tête de Firmin pendait jusqu’au sol, Je le sentais défait et j’étais vraiment déçu pour lui.— C’était bon, chéri ?— Très… mais si court, je suis désolé…— Ne te tracasse pas va, tu n’es pas obligé de partir tout de suite…Elle lui a fait un clin d’œil coquin à la fin de sa presque proposition et j’ai été heureux pour Firmin. C’était quand même un copain en plus d’un voisin et le goût de la ristourne m’aurait été amer si je l’avais obtenu au prix d’une telle arnaque, j’ai insisté :— Une petite bière, ça vous dit ?— Amène !Irène avait répondu pour Firmin, elle voulait vraiment qu’il reste et qu’elle puisse faire sa part du contrat, c’était comme si elle avait été frustrée autant que lui.On s’est avachi tous les trois dans le canapé, Irène entre nous, et un petit boulon est passé de lèvres en lèvres, on était bien détendu et assez contant, à un Firmin près. Pour lui rendre le sourire, Irène lui a proposé une petite gorgée « à la mode de chez elle », Firmin a tellement levé les sourcils que j’ai crains un instant que ses yeux ne tombent, alors elle s’est redressée sur un genou et face à lui, s’est penchée juste assez pour qu’un de ses longs tétons se pose sur les lèvres de Firmin avant de verser doucement de la bière plus haut sur son sein. Avec l’éclairage ambiant, on aurait dit que de l’or liquide coulait par le mamelon dans la bouche de Firmin qui regardait Irène dans les yeux comme un nourrisson sa nourrice. Pour ne pas faire de jaloux, Irène s’est tournée vers moi.— À ton tour, « associé »… Enlève ta chemise si illegal bahis tu ne veux pas qu’elle pue la bibine…Je me suis entièrement déshabillé et ai ouvert mes lèvres en faisant claquer ma langue. Elle m’a tendu son autre téton et m’a versé une gorgée, c’était étrangement agréable… C’était rigolo, bien sûr, mais pas que… il y avait comme une ombre psychanalytique entre son mamelon et mes sensations primales… ma queue a fait un petit bond et a commencé à se déployer. Irène avait cette petite lueur dans les yeux, celle dont j’étais amoureux, la lueur de petite salope. Elle a lancé les festivités :— À mon tour maintenant ! Debout Firmin…Firmin bandait à moitié, Irène s’est accroupi devant lui et a ouvert ses lèvres toutes grandes, attendant que La bière coule de la bite, mais Firmin avait un peu de ventre et il avait du mal à placer le goulot au bon endroit. Il a haussé les épaules…— Désolé, j’vois rien avec mon ventre de vieux schnoque— On s’en fout de ton ventre, j’ai soif, passe-moi la bibine…Elle s’est chargé de verser la bière pile au bon endroit et un filet ambre s’est écoulé sur la langue assoiffée d’Irène qui ne lâchait pas Firmin des yeux. À fur et mesure que la bière dégoulinait, la queue se redressait et bien sur, à un moment la pente n’a plus été suffisante, Irène a avalé la gorgée, a fait claquer sa langue et s’est tourné vers moi— Encore ! encore ! À ton tour de me pisser dans la bouche…Ça m’a fait bizarre, l’urophilie ne faisait du tout pas partie de mes fantasmes, mais comme ce n’était pas de l’urine, j’ai placé ma bite à fleur de ses lèvres et j’ai approché le goulot de ma hampe, mais ma queue ne l’a pas entendu de cette oreille. Rien que de la voir dans cette attitude, vicieuse et dépravé, ma bite s’est transformée en braquemart par petit bonds. La bière à coulé dans l’autre sens et Irène, m’empoignant la queue, m’a tiré en avant pour amener le bas de mes boules à la verticale de sa bouche. Plus de la moitié du liquide s’écoulait hors de ses lèvres et gouttait tout le long de ses courbes, toutes les bites dans la pièce se sont retrouvée à la verticale.Elle nous a regardé tous les deux avec gourmandise. Me tenant toujours par la poignée, elle m’a guidé vers le canapé ou elle n’a fait asseoir en faisant signe à Firmin de venir s’installer à côté de moi. Elle s’est d’abord occupé de sa bite, la massait sensuellement ou l’agaçait d’un passage d’une langue humide ou d’un téton durci avant de le faire glisser doucement entre ses lèvres jusqu’au fond de sa gorge. Firmin a fermé les yeux, basculé la tête en arrière et a respiré plus fort. En le regardant se pâmer, je me suis demandé s’il avait seulement le souvenir de ce genre de caresse, je ne lui avais jamais connu de copine et ne le pensais pas du genre à faire appel à une professionnelle… si ça se trouve, c’était sa première pipe. Finalement c’était heureux qu’il ait lâché un peu de lest trop tôt, ça lui permettait de profiter plus longtemps des merveilleux talents de mon artiste de salope adorée.On voyait bien qu’Irène mettait un point d’honneur à en donner à Firmin pour son argent, mais elle ne m’oubliait pas pour autant. Sa main gauche me faisait patienter agréablement avant que ce soit mon tour et quand elle a senti Firmin presque à bout de résistance, elle l’a laissé se calmer un peu en m’accordant un peu de sa magie. Sa langue serpentine, ses lèvres amoureuses, ses doigts délicats qui me flattaient les couilles, j’adorais tout ce que cette fille me faisait, je commençais à penser que j’avais rencontré la huitième merveille du monde.Quand elle a estimé que le copain était assez calmé, elle m’a abandonné pour présenter ses aréoles sensibles aux lèvres avides de Firmin. Elle m’a lâché pour s’agenouiller au-dessus de lui et faire glisser sa queue tendue dans son fourreau. Quand elle est arrivée à la garde elle n’a plus bougé. pour que Firmin apprécie calmement la nouvelle sensation… on aurait dit une jeune fille de dix-huit ans dépucelant un homme de presque quarante ansFirmin avait la tête renversée en arrière, les yeux fermés et soupirait profondément.— Ça te plaît, chéri ?— Ooooohhh Oui… Mademoiselle— Et si je bouge un peu, ça te plaît toujours ?— Ouihhh ouih, c’est trèèès bon— Doucement, hein ! Profite bien… on a tout notre temps…Firmin s’est détendu et Irène a commencé à onduler doucement, Il dégustait touts ces sensations comme du petit lait pendant qu’Irène baladait ses mains fébriles sur ses seins, ses fesses, sa taille et toutes ses zones les plus douces, il souriait comme un bienheureux, elle souriait aussi. Elle a tourné son visage vers moi et m’a fait les rejoindre d’un signe du doigt, elle m’a saisi par la hampe et s’est passé mon gland sur sa langue baveuse quelques secondes avant de m’avaler goulûment, elle m’a lancé son regard de petite salope pour me montrer à quel point elle aimait osciller entre deux bites, elle savait qu’elle méritait toute la gloire de la conclusion de cette affaire, son âme jubilait. Son regard commençait à se voiler, elle allait partir dans les tours, mais elle m’a sorti de sa douceur pour s’adresser au bienheureux qui planait entre ses cuisses.— Alors chéri, ça valait bien une petite ristourne, non ?— Ouihhh oOHhh oui…— Attends, on va corser les choses…Elle n’avait pas lâché ma grosse poignée et elle m’a guidé de force entre ses fesses— Vas-y, met la moi aussi…Son regard me fascinait, le regard intérieur d’une femelle en chaleur, ça lui donnait une autorité sans borne et je n’avais plus qu’à m’exécuter. J’ai présenté mon gland à son anus et celui-ci s’est rendu sans aucune résistance, il m’a accueilli avec joie, il m’a englouti au plus profond du vice… Irène respirait très fort, elle a soufflé un long moment sans bouger avant de dire :— Putaiiiin, c’est boOon … d’être… une… saaalope…Et ça a été son dernier mot intelligible, après ça, rien n’a plus distingué les cris ou des syllabes de mots sans cohérence. « fuck » revenait souvent, « bais…» aussi, ainsi que « cul » ,« pute » et quelques fois « …tite pute…  » , elle a tenu le crachoir pendant cinq bonnes minutes et elle braillait si fort que mes oreilles vrillaient presque, elle spasmait de partout, les contractions allaient bon train avant qu’elle nous calme doucement. Elle a demandé grâce pour la forme, mais elle avait une idée bien précise en tête, elle s’est agenouillée au sol et nous a demandé de l’abreuver (je cite). Deux minutes plus tard son visage dégoulinait de sperme, et en particulier de celui de Firmin dont le flot semblait ne jamais se tarir… ça faisait sans doute très longtemps qu’il fourbissait ses armes.Quand on a émergé de notre torpeur, on a ouvert de nouvelles bières et on a papoté comme des vieux amis, Firmin était ravi de la soirée et heureux de l’accord qu’on avait trouvé et de son nouveau look. Il est parti après sa bière, tout guilleret et notablement plus fier que quand il était arrivé.Irène et moi avons fêté ça entre nous, et pendant nos galipettes elle me révéla que sans qu’elle ne prévienne, elle avait en fait réalisé un de ses propres fantasmes : être une call-girl offerte en cadeau dans un juteux contrat d’affaire. Je lui fis remarquer que le contrat n’était juteux qu’à notre modeste dimension, mais ça n’avait pas d’importance, pour elle c’était l’intention qui comptait.Je l’ai regardé amoureusement, elle m’a lancé son regard de petite salope et la soirée a terminé très tard et dans les cris…Irène, le retour. Publié par Gus-Solo le 26 janvier 2020 sur Xhamster

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