Histoires de la Bienheureuse Agnès 05Histoires de la Bienheureuse Agnès 05

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1ère Histoire – Soir d’octobre en Beaujolais — 5 –

Episode 5 / 6 : Où le lecteur voit que le guet-apens vire à l’orgie…

Remarque préliminaire : Pour la compréhension de l’histoire, il est très utile d’avoir lu les épisodes précédents.

*

… On servit à boire. Agnès tenta de refuser tant la tête lui faisait mal de tout ce qu’elle avait déjà bu et de tout ce qui s’était passé dans cette soirée, mais en vain. Le Jacquot, ivre, se tenant à elle et lui intimait l’ordre de boire tout son verre d’un vin blanc liquoreux et très fort. Il avait de plus en plus de mal à parler distinctement et Agnès ne comprenait pas tout ce qu’il disait :

– ” Maintenant, petite garce tu vas avoir tous les hommes à ta disposition!… Je veux dire que tu choisis celui qui va te baiser en premier. Un verre…, un homme… Et ainsi de suite…! T’as compris. Voilà un verre… Tu bois et tu es prise… Et vous les gars, vous la prenez par où vous voulez… Devant…, derrière… Comme vous voulez…! “. Agnès avait du mal à suivre ce qu’il cherchait à faire. Aussi, elle ne répondit rien.

La Brigitte qui revenait vers la table accompagnée de Johann expliqua à Agnès juste ce qu’il fallait :

– ” En fait, on te demande de choisir un homme dans l’assistance pour commencer, puis un autre, de prendre avec lui du bon temps et de boire un verre entre chaque coup qui sera tiré. Tu vois ce n’est pas compliqué et si tu ne veux pas, c’est moi qui vais m’occuper de toi, salope!… Alors, choisit!”. Agnès était interloquée par le ton sans appel de la jeune patronne. Tout allait trop vite pour le niveau de sa compréhension du moment. Elle osa demander :

– ” Mais que me voulez-vous au juste?… Que vous ai-je fait pour que vous me traitiez comme ça? “

– ” Tais-toi, putain!, lui asséna la Brigitte… Tu le sauras bien assez tôt et alors pour toi, ce sera le commencement de la fin! Garce! “

– Oui, vas-y, ma Brigitte, renchérit la Bernadette, ne t’en laisse pas conter par cette sale bourgeoise qui aime plus les bites et les types que le travail. Petite salope!… Même si tu es encore jeune t’en as vu tellement que si on les mettait bout à bout, cela te ferait un beau train au cul!… En plus, t’as vu ton trou, distendu qu’il est!… Et tes nichons : des horreurs. Ils sont juste bons pour que les hommes y passent leur bite, hein mon Françou! “

– ” Oh, oui, c’est tout! ” renforça bêtement le Françou.

– ” Aller, assez discuté… coupa la Brigitte, qui choisis-tu? “.

Agnès ne voulait pas répondre. Elle savait parfaitement que si elle coupait dans ce jeu, elle était cuite, il en était fini de la parcelle de liberté qui lui restait et qu’elle ne pourrait remonter la pente. Elle se renfrogna en refusant de répondre. Après un court silence la Brigitte reprit :

– ” Bon, comme tu voudras! Tu peux faire ta mijaurée, tu n’auras pas raison!… Alors je choisis pour toi. Verse-lui d’abord un grand verre de vin, Françou… Et qu’elle le boive, elle va en avoir besoin! “.

Agnès tenta de résister un moment et ne desserra pas les dents. Mais le Françou qui en avait vu plus d’une, fit mine de l’embrasser sur la bouche. Agnès voulut esquiver le baiser, et tournant la tête fit un “Ahhh” de dégoût. Le vieux profita de la diversion pour lui verser le verre dans la bouche. Bien qu’elle essayât d’en rejeter la moitié, elle en avala une bonne partie. Le vin lui dégoulinait sur les seins et surtout dans le sillon entre les seins et venait lui coller les poils du pubis. Le Françou léchait les trainées de vin sur son buste, son ventre et jusque dans ses poils… Agnès eut de nouveau un haut-le-cœur, mais ne parvint pas à vomir les grandes goulées de vin qui lui brûlaient l’œsophage.

Sans ménagement la Brigitte qui était venue à sa hauteur, la couchait sur la table où elle se retrouvait de nouveau allongée sur le dos. Elle fit signe à Bernadette de la tenir de l’autre côté et à Françou de venir sur elle :

– ” Allez mon Françou, monte-là bien et mets lui ton beau calibre dans la fente! “. Le vieux ne se fit pas prier :

– ” Oui, oui… Patronne!… Tu peux compter sur moi!… dit-il en enjambant la petite infirmière. Je vais la baiser bien à fond!”. Le Françou entreprit donc de la chevaucher. La belle Agnès ne desserrait pas les jambes, bien qu’au fond d’elle-même elle eut très envie de connaître enfin cet engin monstrueux en elle, ce membre si différent qui l’obsédait… Brigitte était repassée au bout la table, aux pieds d’Agnès :

– ” Hubert, Adrien, écartez-lui bien les jambes! “. Les deux garçons empoignant les chevilles de la belle bourgeoise et y pesant de tout leur poids lui écartèrent les jambes, non sans difficultés. Agnès résistait de tout son corps. Elle savait que si elle laissait le vit monstrueux du Françou effleurer sa chatte, celle-ci l’avalerait sans qu’elle puisse faire quoi que ce soit et elle serait vaincue… Mais les garçons arrivèrent à lui faire écarter les cuisses. Brigitte s’était mise kızılay escort entre les jambes écartées d’Agnès et guidait déjà la queue énorme vers la fente de la jeune femme. Le Françou, déjà petit et tant sa bite était longue n’était étendu que sur les cuisses et le ventre d’Agnès, pour pouvoir entrer en elle. Sa face édentée était tout juste au niveau de ses seins. Cette position de l’homme sur elle, lui provoqua une forte répulsion. Quand d’habitude elle était prise ainsi à la missionnaire, c’était toujours par des hommes plus grands qu’elle, qui pouvaient lui rouler de patins pendant qu’ils s’introduisaient dans sa chatte… Là, c’était manifestement un nabot qui la sautait. L’expression était tout à fait juste. Il n’empêche, lorsqu’elle évoquait le membre Quasimodo de son cavalier, elle se sentait défaillir à la seule idée de l’avoir enfin dans son trou de femme.

La Brigitte, qui avait saisit le vit du Françou à pleine main, en agitait la tige pour que l’énorme bout se fasse un chemin entre les lèvres du con d’Agnès. Rapidement le gland démesuré, vint frapper à la porte de la chatte. Agnès ne put réprimer un frémissement que la Bernadette, juste à côté d’elle ne manquât pas de remarquer :

– ” Vas-y mon Françou, tu y es… Pousse doucement et tu vas enfin la baiser!… Vas droit à son con… Tu l’as vu, le trou est assez grand pour te recevoir en entier! Elle a un immense trou de salope déjà bien taraudé!… Elle a du en prendre des bites, et pas que des petites, tu peux me croire!… “

La main de la rouquine avait dépassé le bout de l’engin du Françou et de ses doigts, elle écartait les lèvres de la fente et les bords du trou pour faciliter le passage de la tête du nœud :

– ” Tu parles que ça lui fait de l’effet, dit la Brigitte, le bout de la bite l’a à peine touchée, qu’elle mouille déjà, la grue… C’est la preuve qu’elle aime les bites et qu’elle ne peut s’en passer…! Vous allez voir : dès qu’il va enter, elle va décharger …!” Agnès voyait bien qu’elle ne pouvait dompter sa mouille qui avait commencé à couler dès qu’effectivement la bite du Françou lui avait touché la moule. Oui, oui qu’il lui mette enfin dans le trou et qu’on en finisse qu’elle le sente le pénétrer comme elle le souhaitait depuis une heure!… Mais la Brigitte toute en perversité prenait un malin plaisir à retarder l’entrée du braquemart dans la grotte. Elle faisait aller et venir le bout de l’énorme gland juste sur les piliers de la porte, sans l’introduire vraiment. Agnès sentait que son clito était rebroussé vers le haut par le diamètre excessif du gland, en même temps le bas de son trou à baiser était complètement frotté par le frein du pénis du Françou.

Afin de précipiter les choses, elle donna un coup de rein de sorte que le bout du gland entra jusqu’à la moitié de son con, distendant les lèvres et forçant le trou pourtant très dimensionné de la belle infirmière. La Brigitte s’en aperçut et fit remarquer pour tout l’entourage :

– ” La garce en veut tellement, qu’elle se baise elle-même sur la grosse queue du Françou!… Hein, putain, tu la veux dans le trou et bien va, tu l’as maintenant! “. Disant cela, elle enfonce de la main le vit du Françou plus profondément. Agnès pense qu’elle est déchirée tant la poussée est brutale et la grosseur du vit importante. En fait il n’en est rien. Ses lèvres sexuelles épousent les formes biscornues du braquemart qui pénètre lentement mais sûrement plus avant en elle… Elle défaille ; ses sens chavirent. Le monstre est dans la place et pousse encore, gagne du terrain et en arrive à toucher le fond de la matrice alors qu’il n’est pas à moitié entré… Elle se sent devenir une salope pour qui seule compte, la bite qui l’habite…

Sous l’impulsion des coups de poignets de la Brigitte, le vit énorme du Françou commence un lent va-et-vient. Il percute à chaque passage le point G., bouscule les lèvres du vagin, la hampe frotte sur le clitoris qu’elle sent prêt à exploser… La configuration en coudes successifs de la tige du vit, lui procure des sensations inouïes, qu’elle n’avait jamais éprouvées jusque là… Cette bite immonde et tourmentée est capable de lui branler le point G, en même temps qu’elle boute au fond de sa matrice et qu’elle frotte le clitoris… Un divin régal, jamais égalé… Elle sent qu’elle va éclater en mille morceaux et qu’elle ne va pouvoir contenir un véritable déluge de jouissance…

– ” Ooooooh, oui, vas-y mon bon ami… Fais danser ta bite au fond de moi… Oui, comme ça… Oooohhhh, tu es merveilleux!… Merveilleux, j’ai jamais connu ça… Baise-moi bien à fond! Tu es super! Oh oui, vas-y!… Vas-y encore!! Je suis une salope, une putain tout ce que vous voudrez, mais c’est bon!… C’est trop bon!… Ah salauds, je jouis, je jouis comme une folle!… Pousse ta bite encore! Encoooorreee… Je jouiiiiiiiiiis… Je décharge encoooooore… Là!! Pour toi!!…”

Elle déferla sur la queue de son baiseur qui lui bouchait kolej escort si complètement le con que la liqueur ne pouvait sortir. Sous la pression le vieux retirait sa bite, ce qui laissa la place à un déluge de cyprine chaude. La jolie putain déchargeait comme jamais, avec des soubresauts et contractions spectaculaires.

– ” Ca y est dit la Brigitte dont la main et le bras était inondée de la liqueur d’Agnès, la garce vient encore d’en tirer une bordée… Mais comment peut-elle jouir comme ça à répétition? “

– ” C’est l’habitude ma belle, à croire qu’elle fait ça toutes ses saintes journées…!” ajouta perfidement La Bernadette qui lui palpait durement les seins… Après ça, tu ne diras pas la pimbêche, que t’es pas une putain et une grande, hein?… Salope!! “

Agnès était trop à sa jouissance pour entendre les injures… Elle émergeait seulement de l’extrême plaisir où le vit énorme du Françou l’avait plongée, en se disant que malgré tout, il eût été dommage, qu’elle ne connût pas ce moment là…

Rapidement la Brigitte la fit rouler sur le côté de la table, puis elle fit étendre au milieu le Françou sur le dos, à même la cyprine qui faisait une immense flaque sur la table. Elle fit boire un nouveau un grand verre de vin à Agnès. Elle n’avait plus la force de résister à quoi que ce fut. Le ventre encore tremblant de son orgasme formidable, elle se laissait aller à ce qu’on la contraignait de faire… Elle sentait maintenant nettement l’ivresse de l’alcool la gagner, ivresse qui en plus de sa jouissance, lui tournait la tête. La Brigitte la fit monter à plat ventre sur le Françou, face à lui. Le vieil édenté n’avait pas déchargé une seconde fois et bandait toujours, au point qu’Agnès dans l’inconscience de son ivresse se demandait si elle écarterait assez les cuisses pour qu’il puisse entrer de nouveau en elle… C’est cela et seulement cela qui pour l’instant la préoccupait : pourrait-elle s’écarter assez pour qu’il puisse venir se remettre dans son trou distendu…

La grande Bernadette lui avait saisi les chevilles et lui ouvrait les cuisses au maximum. Agnès sentait que sa fente encore dégoulinante de sa jouissance précédente, baillait largement. Elle pensait dans la confusion de son esprit que la vieille allait en profiter pour faire encore des allusions désagréables à son intimité. Ce n’était pas sans raison :

– ” Regardez-moi cette ouverture, railla la Bernadette, un trou de salope à y fourrer mon poing!… Même si le Françou l’a bien dilatée, il est quand même sûr que la garce a une entrée comme on en a rarement vue!… Pire qu’une bouche de métro!…” Bien qu’Agnès s’attendit à ce sarcasme, elle en fut, comme toujours lorsqu’on l’atteignait sur ce plan, très offensée. Mais elle n’eût pas le temps de s’en occuper bien longtemps, car la Brigitte avait saisit l’énorme vit du Françou encore dégoulinant de cyprine, dont elle lui menaçait l’entrée du con. L’engin était si gros que la main assez fine et délicate de Brigitte n’en faisait pas le tour, loin s’en faut. Elle appuyait le gland toujours aussi gonflé sur les lèvres de la vulve d’Agnès, pour les faire s’ouvrir sous la pression. Dès qu’il fut de nouveau entre les lèvres de sa vulve, Agnès sentit ses sens chavirer et elle se dit qu’elle allait encore jouir sans pouvoir se maîtriser. Ce sentiment de non maîtrise la rendait folle de honte, mais en même temps l’excitait à l’extrême : échapper ainsi à tout contrôle la rendait encore plus accessible au plaisir, ou plutôt décuplait celui-ci… Des mots, des qualificatifs les plus osés, comme : “salope”, “putain”, “gourgandine”, “traînée”, et même “truie”, lui traversèrent l’esprit, mais elle les garda pour elle, ne les donnant pas à entendre à l’extérieur.

La Brigitte avec une grande application faisait pénétrer la bite noueuse dans la fente et le trou de la petite infirmière… Elle se mit à tout organiser autour d’elle :

– ” Toi, dit-elle à Armand, appuie bien sur les fesses de la bourgeoise et écarte les lui bien à fond pour que le Françou entre bien comme il faut. Toi, Bernadette, branle bien mon homme et tiens-le prêt pour tout à l’heure, et toi mon petit Hubert, mets-toi à genoux devant la bourgeoise pour qu’elle suce ta belle bite, pendant qu’elle se baisera sur le vit du Françou! “. Puis dans la foulée sans attendre les mises en place qu’elle préconisait, elle ajouta à l’adresse de la petite brune :

– ” Elise, viens entre mes cuisses et suce-moi le clito et toi, Johann viens me baiser en levrette pendant toute l’opération. Il n’y a rien que j’aime autant que d’être prise au con et en même temps être léchée au clito!… Adrien, viens prendre Bernadette en levrette, elle aussi à envie de se faire baiser pendant qu’elle maintient la bandaison du Jacquot…”.

Pendant que tout cela s’organise, Agnès sent le vit monstrueux pénétrer lentement en elle, écartant ses lèvres, dilatant son trou, distendant les parois basses de son vagin. L’image du braquemart maltepe escort énorme qui l’obsède depuis le début s’incruste dans son mental. Elle voit dans sa tête le vit avancer en elle autant qu’elle le sent… Son orifice urinaire juste à l’intérieur de ses lèvres est tellement comprimé par l’engin qu’elle a l’impression d’avoir envie de pisser. Le vit entre et se cale progressivement dans son antre. La bite a peu de place pour manœuvrer à l’intérieur du con tant elle est énorme et touche d’emblée toutes les parois en même temps. Elle est tellement coudée et de biais que chaque frottement à l’intérieur de son vagin, excite Agnès comme jamais. Le gland difforme, passe et repasse pile sur son point G, et dès qu’il s’enfonce au fond de la matrice, c’est un nœud énorme de la tige qui masse alors le point en question… Et au-dessus d’elle, Armand plus qu’à demi ivre lui aussi, lui appuie par à coups sur les fesses, faisant entrer encore plus profondément le membre démesuré du Françou. Agnès n’en pouvait plus, elle était encore sur le point de jouir, tant elle était baisée bien à fond. De plus Armand, qui de par sa position dominait les fesses d’Agnès lui a mis un doigt dans son joli cul. Pour elle, être baisée devant et avoir un doigt qui lui branle le cul, est un délice qu’elle recherche le plus souvent possible. Elle sentait que son plaisir montait en elle et se développait. La Bernadette donna de nouveau de la voix :

– ” Ah, putain…! Je savais bien que mon Françou, il t’en boucherait un coin de ton trou de salope!… Tu as beau en avoir un superbe, il est quand même bien bouché, hein!… Qu’en dis-tu?… C’est encore mieux qu’une bite de nègre, hein! ” Puis s’adressant à Adrien qui la prenait en levrette, elle l’invita à la baiser bien à fond :

– ” Oh oui, vas-y mon joli… Va bien au fond!… N’aies pas peur de pousser, j’aime que tu sois bien au fond de moi, pendant que je me branle le clito…! “

Brigitte qui surveillait le bon déroulement des opérations, avait fait signe à son homme pour qu’il vienne se mettre sur la table, à genoux derrière Agnès entre les jambes du Françou :

– ” Là, viens mon bon, dit-elle au Jacquot dont elle empoignait la bite bandée en même temps, viens, tu vas l’avoir ta récompense! C’est la prise de la soirée et elle réservée au patron…! ” Et la salope appuya la bite de son homme sur le petit trou d’Agnès qui les genoux sur la table de chaque côté des jambes du Françou lui présentait bien involontairement l’intérieur de la raie de ses fesses ouverte par Armand…

Dans cette position, Agnès n’avait évidemment pas vu venir le coup, si ce n’est qu’Armand avait retiré le doigt de son cul. L’engin large et bien bandé du Jacquot effleura d’abord son œillet, puis sur une poussée de l’homme, le gland pénétra sans mal dans le cul déjà préparé par le doigt d’Armand. Mais la largeur du membre du Jacquot distendait quand même les bords de la rosette. Elle eut une douleur très vive quand la bite s’enfonça dans son cul. Mais très vite, les aller-et-retours de la queue, dissipèrent rapidement la douleur qui fit place à un plaisir indicible et tellement différent de l’autre, si complémentaire. Elle était prise en double et elle aimait ça. Ses soupirs et ses râles qu’elle essayait d’abord de contenir, ne trompaient personne… Armand, comme la Brigitte, ou encore évidemment le Françou, juste en dessous d’elle, et même les femmes autour, avaient bien compris que le plaisir montait tout droit en elle.

– ” Salope, elle aime ça, hein, la cochonne!… Une bite dans le con, une autre dans le cul… Y a qu’à voir…! Elle aime ça, j’vous dis!!…”, lui envoya la Bernadette…

Mais Agnès, tout à son plaisir, l’entendait-elle? Pas sûr… Elle accompagnait doucement les mouvements de l’homme derrière qui l’enculait et en même temps elle s’empalait davantage sur le vit du Françou qui la comblait si bien, dans tous les sens du terme. Le vieil édenté juste à la hauteur de sa poitrine, mettait les bouts de ses tétons dans sa bouche impure et les suçait. Les relents d’haleine fétide du vieux mâle montaient jusqu’à elle. Mais elle n’en avait cure maintenant… Elle n’avait jamais été baisée et enculée comme ça et donc elle profitait! Elle sentait que les autres, autour, tous les autres, hommes et femmes, la regardaient avec étonnement, curiosité et réprobation, mais aussi avec une certaine admiration. Maintenant elle n’en fichait. Armand avait glissait une main entre le Françou et elle, et lui avait pris un sein ; il le pelotait tout en la raillant :

– ” C’est égal disait-il, tout en la tripotant, avoir un cul d’enfer et des nichons qui valent pas tripette, c’est un monde, ça!… “

– ” Oui, insistait Bernadette, dans un bordel, elle gagnerait beaucoup d’argent avec son cul, mais il faudrait qu’elle rembourse tout à cause de ses nichons de vieille salope! “. Cette remarque déclencha les rires alentours. Johann tout en baisant la patronne, regardait avec admiration le trio sur la table devant lui, n’en revenait pas :

– ” Alors ça, disait-il, c’est la première fois que je vois une femme se faire prendre en sandwich… C’est super! “

– ” Oui, lui répondait en écho Hubert, enconnée et enculée en même temps!… Je n’avais jamais vu ça! On devrait appeler ça : se faire “encon-culer”, non?! Et tout le monde de rire du bon mot.

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