Un Voyage à Atlanta Ch. 06Un Voyage à Atlanta Ch. 06

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Amateur

Cette histoire se passe dans un monde imaginaire où l’esclavage a été légalisé par certains pays dont les USA. Nous nous sommes très largement inspirés de l’univers inventé par John_Doe_Stories et utilisé également par Carl_Bradford sur Literotica en langue Anglaise.

Chaque histoire est indépendante, les personnages secondaires se retrouvent d’une histoire sur l’autre.

Ont déjà été publiées :

*Un centre Pour Roux

*L’esclave Mystère

Emmanuelle et moi avons mixé nos différents points de vue.

Ceci est une fiction, écrite en tant que divertissement. Cela n’a pas pour but de faire l’apologie de l’esclavage, Il y a des scènes de violence, de relations sexuelles forcées, de manipulation qui n’ont pas leur place dans la vraie vie.

Si ce genre de chose n’est pas votre goût, je vous déconseille de poursuivre votre lecture.

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L’évaluation

Une des spécialités culinaires d’Atlanta c’est le Grit. La version officielle est une abomination comme seuls les Anglo-saxons savent le faire : un porridge à la sauce de graisse de porc. Les Atlantan ne manquent pas d’humour cependant, car c’est ce plat qui a été choisi comme nourriture officielle des esclaves.

— Bonjour, nous allons passer à l’équipe de nuit, » me dit un homme en pénétrant dans ma cellule, pour me détacher mes mains.

— Grit, bon appétit! » dit son collègue en jetant une gamelle métallique sur le sol.

Effectivement, beaucoup de lumières s’étaient éteintes et l’ouverture sur l’étage des acheteurs faisait moins son office de puits de lumière. Le bruit aussi s’assourdissait. J’étais là, nue, face à cette assiette.

Il paraît que nous, français, critiquons toujours la nourriture, où que nous allions. Le Grit, tel qu’il est servi aux esclaves, ne bénéficie pas d’une présentation soignée. Il est servi dans une gamelle métallique, lancée à même le sol. Le plat, tiède, à une allure blanchâtre peu engageante avec des morceaux dedans. Soyons clairs, le plat n’est pas vendeur, mais il bénéficie d’une clause : « ceux qui ne finissent pas seront punis » qui incite à s’intéresser à lui, plus qu’on ne le ferait spontanément. Par ailleurs l’absence de concurrence, évite à l’esclave l’embarras du choix. Qui plus est, au titre de la présentation, nous noterons l’absence de couverts. Tout était fait pour signifier à l’esclave que son statut était celui d’un animal domestique. Pour autant, une question me taraudait. Devais-je me mettre à quatre pattes, ou pas? Sans doute dans une volonté de défiance, je décidais de ne pas me mettre à genoux : j’attrapais la gamelle. Le fluide gluant n’avait pas vraiment d’odeur, mais il était trop gluant pour le boire, trop fluide pour le prendre avec les doigts. Je me disais que j’allais le laper, mais il allait couler sur mes joues, et, de là, sur mes seins. Comment ne pas penser que le but était de donner l’illusion que j’allais être couverte de sperme? Tout semblait si bien pensé ici-bas. Je levais les yeux au ciel dans l’espoir d’y voir Laurence, enfin, ma Maîtresse. Mais il ne devait plus y avoir personne à l’étage. Un coup d’œil circulaire me ramena sur terre : je n’étais pas la seule esclave à passer une nuit au marché. Là, un homme était à genoux devant son assiette et se penchait en avant pour lécher. Il avait les mains attachées dans le dos. Ces choix étaient plus limités que les miens. Je me demandai pourquoi certains avaient les mains dans le dos, et pas d’autres. Un peu plus loin, un esclave était assis sur le banc avec sa gamelle à côté de lui. Plus loin encore, une esclave, elle était assise par terre : je décidais de l’imiter : assise par terre avec la gamelle sur le banc. Je n’avais plus qu’à laper, en essayant d’être propre puisque je n’avais rien pour me laver.

Ceci me permit de passer à l’étape du goût. Peut-on donner des étoiles négatives? J’hésitais entre, dire que le plat était ignoble, ou au contraire génial dans ce qu’il abaissait celui qui le mangeait. Le Grit n’avait pas grand goût, il était collant et salé en plus d’être épais. La seule différence avec le sperme, c’est qu’avec ce dernier on en a rarement autant à avaler.

Pour se jumeler avec l’université de Géorgie aux États-Unis, mon établissement m’a demandé de remplacer Laurence en urgence, car celle-ci s’était brûlée en TP. Tom, mon accompagnateur américain m’avait agacé pendant toute la durée du trajet en me vantant le rétablissement de l’esclavage via le 35e amendement. Sur place, je logeais chez les Ni Dioman, et Madame était une manipulatrice d’esclave au grand marché aux esclaves d’Atlanta. Elle aussi a voulu me convaincre en me faisait visiter ce temple local de l’esclavage. Je trouvais son point de vue facile avant de découvrir qu’au travers d’un FREED elle était esclave à temps partiel : les nuits. Tom me fit aussi visiter le chenil de l’université, où elle loge les esclaves qu’elle possède ou dont elle a la charge. Je dois dire que Jim et Jillian, deux étudiants trop dissipés trabzon escort avaient su me séduire en chiens-esclaves. J’avais moi-même quelques étudiants… Mais ce n’est pas ici le sujet. Je m’étais renseignée sur l’évaluation, une procédure visant à savoir combien on valait sur le marché de l’esclavage. Tom m’avait proposé de m’accompagner tout en m’indiquant le piège que constituait la page 5. Si on ne le rayait pas, on pouvait devenir la propriété de son accompagnateur. Celui-ci étant alors libre de vendre son nouvel esclave. Tom m’avait conseillé de ne pas rayer ce paragraphe, pour mieux ressentir toute l’intensité de l’esclavage. Les blessures de Laurence étant guéries rapidement, celle-ci venait me rejoindre, et je décidais alors que nous nous ferions évaluer, en laissant ce chapitre actif. Un peu taquine, je forçais pour passer la première, avec la ferme intention de lui faire payer de m’avoir fait venir ici en lui faisait croire que j’allais la vendre. Manifestement, la gentille et placide Laurence avait eu la même idée. C’est comme ça que, entrée pour évaluation de 2h, je me retrouvais à passer la nuit au Slave Cock’n’Cunt Market. Laurence avait aussi dit que le lendemain, elle viendrait me chercher avec mon mari, Michel, que je croyais être resté en France.

Le gris n’est pas un plat que j’affectionne, je crois que vous l’aurez compris. Mais il me semblait nourrissant : c’est une espèce de semoule de Maïs hydratée. Après avoir mangé, je m’allongeais sur le banc, en me disant que je devais essayer de dormir, histoire d’être en forme pour mon évaluation le lendemain.

— Donne-moi ta gamelle, on repassera te donner une couverture si tu es une gentille fille, » me dit un des deux gars qui étaient venus me donner le Grit.

— Oui, Monsieur » dis-je en faisant attention de suivre les instructions données par Macha Ni Dioman.

— Retourne-toi, et viens contre la grille » me demanda l’autre alors que le premier récupérais la gamelle vide.

— Tu arrives à prendre chaque coude dans la main opposée » demanda-t-il. Il me fallut un moment pour comprendre son anglais, puis, à mettre en œuvre la commande. Il attacha mes mains dans cette position contraignante.

— Ne fait pas de folie, ma jolie, on revient te voir dans un instant, le temps de faire le tour, » me dirent-t-il. Disaient-ils ça à tous les esclaves? Quelle endurance sexuelle avaient-ils?

Je me rendais compte rapidement que la position demandait plus de souplesse, et rendait mes bras totalement inutilisables. Ils allaient revenir, pensais-je, et leur but serait de profiter d’une esclave. Après tout avais-je fait différemment avec Macha, Jim, ou Jillian? Ce qui me surprenait finalement plus c’est que je n’ai pas pensé à me masturber tant que j’avais les mains libres. Mais n’était-ce pas une astuce pour me ‘chauffer’? Je serrais les cuisses, ce qui me confirma mon excitation.

N’ayant rien à faire, je tournais en round dans ma cellule, et je pensais à m’asseoir sur le banc, quand, repensant à Macha et à ses fesses zébrées de rouge, j’entrepris de m’agenouiller, et d’attendre les deux gardiens, pardon, les deux Maîtres.

Je les ai attendus plus longtemps que je ne croyais. Et quand ils sont arrivés, j’avais mal aux genoux. Être une esclave n’est pas si facile.

Finalement, ils entrèrent dans ma cellule, et baissaient leurs braguettes. J’hésitais à prendre cela pour une invitation, ou plutôt un ordre. Mais je me ressaisis.

— Est-ce un ordre, Maîtres? » demandais-je!

— Mais bien entendu, s’en est un, ma salope. Tu devrais déjà être au travail! » me dit l’un des deux. Bien sûr, je me précipitais sur son sexe, enfin aussi vite que je pouvais à genoux avec les bras attachés dans le dos.

— David, tu es taquin, elle semble bien disposée » dit le second, je me détournais du premier pour m’occuper du second. Sans mes bras, je ne pouvais utiliser que ma bouche.

— Steven, Steven, Steven, les esclaves n’apprennent rien sans correction! » répondit celui qui avait la peau claire.

— Et comment comptes-tu la corriger? »

— On va lui laisser le choix. Tu préfères : des coups de canne sur les fesses, ou que je te sodomise? » Déclara David.

— Je crois la sodomie, Monsieur, » dis-je, soulagée de pouvoir m’en sortir à ce compte-là. J’espérais que la sodomie serait avec préparation, mais en même temps, je pensais que ces messieurs pouvaient utiliser la marchandise à condition de ne pas l’abîmer. J’essayais donc de me mettre dans l’état d’esprit correspondant. De toute manière, tout autre comportement ne m’apporterait que plus de soucis.

— Tu es incorrigible David, aller, commence à me sucer, et laisse-lui un accès entre tes fesses., » dit Steven à son collègue, puis à moi. Je me concentrais sur le sexe tendu, offert, alors que l’autre manipulateur s’occupait de mes fesses. Je ne compris que ses doigts étaient lubrifiés, que lorsqu’il commençait à les enfoncer dans mon fondement. J’aurais pu espérer plus de douceur, ou de progressivité. tunceli escort Je crois que je dois me satisfaire qu’il n’ai pas été plus brutal. En fait, la situation était très excitante, avec ces deux hommes pour moi, c’était aussi un plaisir. Un doigt, puis deux doigts.

Il s’accroupit derrière moi, et me guida sur lui. J’avais peur de ne pas être prête encore.

— Relaxe-toi, mais je crois que tu sais faire… » me dit-il, avant de me balancer en arrière si bien que je venais m’asseoir sur son bâton tendu par l’excitation. Bien qu’ayant un autre sucre d’orge dans la bouche, je ne pus retenir un « oh! » alors que je m’empalais sur le garde de derrière. C’était un peu rapide, et ça tirait et frottait. Je douillais un peu, mais vite je me repris à lécher et sucer le sexe devant moi moi. J’étais toute excité d’être ainsi prise de chaque côté. Et à tout choisir, je préférais cela au fouet!

— Hum, je vais envoyer ma purée, tu sais faire comment faire comme une esclave? » Me demanda-t-il, alors que son collègue me donnait des coups de reins. Il dut comprendre à mon regard que je ne savais pas.

— Tu n’avales pas, tu me montres ma semence et tu attends mon ordre pour avaler! » me dit-il. Je riais intérieurement. Cela devait être difficile pour celles qui n’aimaient pas avaler, ou qui avalaient pour ne pas avoir le goût dans la bouche. Sans goûter particulièrement les qualités gastronomiques de la semence humaine, et donc du Grit, je n’avais pas plus de difficulté à en avoir plein la bouche que plein le vagin… ou plein l’anus.

En fait, la difficulté fut que celui devant éjacula alors que celui de derrière me ramonait encore. Mais finalement je pus me mettre en position langue tendue enduite de semence.

— Hum, bien, avale, » me dit-il. Puis ils quittèrent ma cellule en me laissant une couverture étalée sur le banc. La concentration qu’il m’avait demandée m’avait empêché de jouir, mais j’avais passée un moment excitant, et de toute manière attachée comme je l’étais je ne pouvais rien espérer de mieux.

Une fois installée, je frottais mes cuisses l’une contre l’autre ce qui m’aidait à oublier la peur de ce qui allait se passer le lendemain. Finalement, un orgasme me surprit et me permit de m’endormir.

— Voilà votre Grit! » Dit une voix qui me réveilla au petit matin. La gamelle métallique glissa sur le sol.

Mon petit trou était encore irrité du traitement qu’il avait subi la veille au soir, mais surtout ma vessie protestait afin que je lui offre le repos dont elle avait besoin. Me levant, j’étais un peu désemparée. Finalement, j’aperçus un saut sous le banc. Je le sortis avec mes pieds, et je m’accroupis au-dessus. La séance de sexe de la veille au soir m’avait plutôt amusée. Le réveil au Grit et faire pipi sur un saut, nettement moins. Pour autant, je n’avais pas le choix, et je m’agenouillais devant de la gamelle de Grit, et j’essayais de laper l’infâme mixture.

— Mais, tu as été oubliée toi, » me dit une petite blonde en me voyant. La manipulatrice d’esclaves ouvrit ma cellule. Elle s’approcha de moi, et défit mes liens.

— Merci Madame, » dis-je, en agitant mes bras ankylosés.

— Je t’envoie au lavage dès que tu as fini, » me dit-elle, en me faisant un clin d’œil. J’étais un peu soulagée et je posais ma gamelle sur le banc, alors que la blonde repartait avec la couverture et le saut.

Quelques minutes plus tard, elle repassa prendre ma gamelle.

— Il y a un contre-ordre, je dois, te faire attendre un peu » me dit-elle.

— Bien, madame » répondis-je, sans oser demander quel était le contre-ordre. Bien qu’esclave, j’aurais voulu pouvoir me laver, et me recoiffer.

L’attente me paraissait interminable alors que l’activité reprenait dans le marché. Finalement, la blonde revint me chercher.

— C’est bon, nous y allons. 7007? » Me demanda Shirley à en croire son badge. Elle me passa des menottes, sa main se posa sur le bas de mon dos, pour aller chercher ma raie des fesses, et de là me guider dans les couloirs ménagés entre les cages.

— Oh, 7007, les esclaves n’ont le droit de parler que quand on s’adresse à eux, » me dit-elle sans que je comprenne pourquoi.

— Oui, Madame, » répondis-je.

Nous arrivâmes à des plateformes sur un tapis mobile.

— Tu montes là-dessus, » m’ordonna-t-elle. Il y avait des emplacements pour les pieds. Elle attacha mes chevilles à des supports qui m’obligeaient à avoir les jambes écartées. Elle régla la barre horizontale qui était devant moi pour qu’elle soit à la hauteur de mes hanches. J’étais intriguée de savoir sur quelle machine on m’attachait. Était-ce une des ces fucking machines qui peuvent vous pénétrer et vous ramoner pendant des heures. Je préférais une bite de chair avec un mec derrière, ou une langue habile. Mais surtout, je ne disais rien. Je me rappelais de la consigne, et implicitement de la menace liée à sa transgression.

— Attrape les poignées, » me dit-elle. Je me penchais en avant et quand je pris les poignées uşak escort des cages métalliques virent envelopper mes mains : je ne pouvais pas bouger de cette position fesses en l’air. Offerte. Regardant entre mes cuisses, je vis une chose inattendue.

— Oh… » dis-je, avant de repenser à l’interdiction de parler qui m’avait été faite. Je ne dis donc rien. Il y avait un mec derrière moi. Il y avait mon mec derrière moi. Michel était là. Il me fallut un moment pour réaliser qu’un manipulateur le faisait monter sur la plateforme suivant la mienne. Lui aussi,, jambes écartées, penché en avant.

— Je vais te mettre un plug, » me dit Shirley. Étais-je irritée ou était-elle moins délicate que l’équipe de nuit. Soudain, j’eus une curieuse sensation. Je ne compris pas tout de suite : je subissais un lavement. Quand la pression devint insupportable, elle débrancha le plug, puis la plateforme se mit en mouvement, suivant le tapis. Nous passâmes sous un premier portique qui projetait de la mousse. Ensuite, il y eu des rouleaux. Je sais qu’on dit que certaines filles ont une belle carrosserie, mais je trouvais cela inadapté! Un rouleau, plutôt doux, passa sur mon ventre et mes seins. Puis Shirley passa une main derrière moi et retira le plug : je me vidais d’un coup, tandis que la plateforme avançait entre des pulvérisateurs d’eau. Le rinçage qui ne laisse pas de traces, pensais-je. Puis il y eut le séchage à l’air chaud.

J’étais contente que Shirley me détache. Michel, derrière, était encore dans les rouleaux.

— Ho là là, mais, regardez-moi dans quel état elle est! » S’exclama un homme à l’accent français prononcé.

— Moi, c’est Bernard, je vais te refaire une coiffure! » ajouta-t-il

— Merci Monsieur, » dis-je.

— Mais tu es française, » s’exclama-t-il.

— Moi c’est coiffure et maquillage. Et ici n’hésite pas à te caresser, plus tu seras excitée, meilleur sera ton évaluation, » ajouta-t-il en m’indiquant un fauteuil libre.

— Ho là là, mais comment il est lui… » s’exclama-t-il en voyant Michel.

Et le fit s’installer à côté de moi, ravi d’avoir deux Français l’un après-l’autre.

— Je ne comprends pas, Laurence m’a dit que je devais venir pour te sauver? » Me dit-il.

— Me sauver? »

— Oui, je n’ai pas tout compris, Laurence m’a dit que Tom voulait te vendre comme esclave? »

— Mais pas du tout, » dis-je…

— Elle m’a fait venir de France pour ça… » me continua-t-il.

— Mais aucun de vous ne va être vendu. Vous avez des colliers avec une marque violette. Les esclaves destinés à la vente ont une marque rouge, » nous expliqua Bernard.

— Tu vois, dis-je. C’est juste une évaluation. Et c’est Laurence qui me gère, » complétais-je pour Michel.

— Alors ce n’est pas juste une évaluation, sinon ce serait une étiquette bleue. Mauve, c’est la couleur des esclaves en évaluation privée. Votre Laurence est votre Maitresse maintenant. Avez-vous rayé la page 5? » Demanda Bernard.

— Non, » répondîmes-nous ensemble.

— Mais, elle m’a dit qu’elle changerait au dernier moment, » ajoutais-je, en me souvenant de mon entrée au marché.

— Ce serait surprenant, » dit Bernard en finissant mon maquillage.

— Ne dites plus rien, je n’ai pas le droit de vous laisser parler comme ça, mais pour une fois que j’ai des français. »

Shirley, vint me chercher, et me conduit, toujours au toucher fessier, dans une cage étroite. Michel était derrière moi. Je notais qu’il n’avait plus sa cage rose : il était en érection derrière moi.

Laurence avait-elle voulu me faire une surprise? Avait-elle réellement été blessée?

J’étais perdue dans mes pensées quand la cage s’ouvrit devant l’esclave devant moi.

— Allez, on avance, vous êtes les premiers de la journée » Dirent les deux manipulateurs d’esclaves qui nous guidaient sur les tapis de velours rouge que j’avais vu de loin le premier jour. Installés à genoux, jambes écartées, nous fûmes attachés à des crochets au niveau de ces mêmes genoux, puis les mains liées à des mas derrière nous.

— Ouvre la bouche, » me dit un des deux manipulateurs. J’obéis. Il glissa un objet dans ma bouche. Cet objet s’ouvrit et bloqua ma bouche ouverte. Pour m’en débarrasser, j’ouvris la bouche pour le recracher, mais il fit quelques clics et s’ouvrit davantage, et je ne pouvais plus refermer la bouche. Je regardais Michel et je le vis ouvrir la bouche, clic-clic-clic, lui non plus ne pouvait plus la refermer. Je crois que j’aurais aimé être avec ces manipulateurs et voir la surprise des esclaves quand ils découvrent cet objet.

— C’est bon Peter? »

— C’est bon Paul! »

La plateforme se mit à monter jusqu’à l’étage.

Au matin, il ne doit pas y avoir beaucoup de monde. Ce matin-là, il y avait Laurence, et quelques gamins.

— Alors ma chérie, tu fais moins la maline maintenant, » me dit Laurence. « Tu es à moi, littéralement. Tu vas commencer par faire une formation pour être une esclave obéissante. Ça te changera de me faire te lécher quand tu apprends que je suis gravement blessée, » me dit-elle avant de repartir.

— Et toi, tu n’as jamais voulu me faire confiance et la laisser pour moi… tu partageras son sort. Et puis, quand je serais lassée, je vous vendrais dans un bordel du Texas ou de Floride, » dit-elle à Michel.

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